Abattoirs : Rémi Gaillard s'engage pour L214
Brève

Abattoirs : Rémi Gaillard s'engage pour L214

L’humoriste

Rémi Gaillard se met au service de la cause animale dans la nouvelle enquête vidéo de l’association L 214 (invitée récemment sur notre plateau). Intitulée "Deux abattoirs, une même horreur", la vidéo montrant des maltraitances animales est la quatrième diffusée par l’association en quelques mois.

"Dommage pour les animaux de cohabtier avec sept milliards de cons" (Gaillard)

Sur ces images, tournées entre novembre 2015 et mai 2016 dans les abattoirs de Pézenas (Hérault) et de Puget-Théniers (Alpes Maritimes), Gaillard commente les scènes d’abattage de chevaux, moutons, cochons et bovins. Originaire de l’Hérault, l’humoriste qui se fait rare dans les médias appelle à signer la pétition pour "le choix quotidien d’un menu au minimum végétarien, au mieux vegan, dans toute la restauration collective publique". "De plus en plus de personnes diminuent leur consommation de viande et j'en fais partie. D'autres choisissent de ne plus manger les animaux et j'espère arriver à ça" conclut Gaillard. Dans plusieurs vidéos publiées sur son site "N’importe qui", l’humoriste mettait en scène des situations sur la question animale (des animaux qui mettent en joue des chasseurs ou un mouton en deuil dans un kebab)

Dans notre émission du 3 juin, Sébastien Arsac, co-fondateur de L214, expliquait l’intérêt d’avoir recours à des personnalités publiques pour commenter les vidéos d’abattoirs : "au lieu de rentrer brutalement dans le sujet, il y a une personne qui est là, qui décrit les images et accompagne les gens au fil des images. [....] C’est plus personnel" avant de confirmer avoir déjà "repéré des gens qui étaient potentiellement intéressés par la question animale". Avec la notoriété de l’association, ce sont même les célébrités qui sollicitent d’elles-mêmes L214 comme Aymeric Caron ou la chanteuse du groupe Lilly Wood and the Pricks Nili Hadida. L’association a porté plainte contre les deux abattoirs devant les tribunaux de grande instance de Béziers et de Nice pour maltraitance et actes de cruauté.

(Par Juliette Bourgeois)

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