Trierweiler a disparu (Corriere della Sera)
Alors que François Hollande est en visite officielle à Londres, sa compagne au caractère volcanique et jaloux ne l'a pas accompagné, écrit le Corriere della Sera. "La Première dame parfaite c'est celle qui reste à la maison", écrit le journal, vachard.
"Le fait est que Valérie Trierweiler, après son tweet catastrophique du 12 juin dernier, a disparu aux yeux du public. (...) Cent quarante caractères avec lesquels Trierweiler a prouvé qu'elle est une femme au caractère indépendant, mais aussi qu'elle est jalouse, peu sûre d'elle, qu'elle ne respecte pas le président, qu'elle est vindicative et incapable de comprendre l'importance et le caractère sensible de son rôle."
Le quotidien italien rappelle que Trierweiler n'a suivi Hollande ni aux Etats-Unis, ni au Mexique, ni à Rome ou à Bruxelles, pas plus qu'à l'anniversaire de la réconciliation franco-allemande ce week-end. On ne l'aurait vu qu'une fois dans un événement officiel, lors de la visite d'Aung San Suu Kyi, et encore "elle ne l'a pas accompagnée dans la cour de l'Elysée comme c'est la coutume".
Cruelle coïncidence ces absences contrastent avec la sortie du livre de photos montrant la campagne de Hollande où Trierweiler est omniprésente (et où elle a écrit les légendes des photos) : "La différence saute aux yeux".
"Après le tweet, les fils de Hollande ont cessé toute relation avec la petite amie de leur père. (...) Qu'elle soit présente ou absente, Trierweiler est maintenant une affaire d'Etat", conclut le Corriere della Sera.
Trierweiler était pourtant une star en devenir de Normaland, comme l'avait constaté Chloé Delaume.
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