Pour Laurent Jullier, théoricien du cinéma, auteur de Star Wars : Anatomie d'une saga, la "patte" de Disney est évidente. Si l'on compare les séquences d'initiation à la force, celle de Luke dans l'épisode L'Empire contre-attaque (5) et de Rey dans Le Réveil de la Force (7), l'image n'est pas la même. Georges Lucas laisse une "liberté interprétative" grâce à des plans fixes, avec des marionnettes, un décor fait à la main. Tandis que le film de 2015 "dirige le regard", grâce à des mouvements de caméra, et un usage de la musique.
L'occasion de voir notre émission : "Le moteur narratif de Star Wars est masculin."
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