Brève
Mesrine, les grenades et Le Parisien (Libération)
Libération consacre sa rubrique portrait à Sylvia Jeanjacquot "la dernière compagne de Jacques Mesrine" le célèbre truand "qui est mort à ses côtés" alors qu'un film racontant l'histoire de Mesrine vient de sortir.
"Le «Jacques» qu’elle a connu était «charmant, attentionné, délicat» . «Je ne l’ai jamais vu méchant, mais je l’ai vu commencer à s’énerver. Une fois, il a voulu balancer des grenades au Parisien à cause d’un article qui disait du mal de lui. J’essayais de le calmer. On est allé à pied la nuit du XVIIIe à Saint-Ouen [Seine-Saint-Denis, ndlr] et devant les locaux du journal, je lui ai dit qu’il n’allait quand même pas tuer un pauvre gardien. Il m’a écoutée.» Mesrine ne se séparait jamais de ces deux grenades" Quotidien Libération du 19 janvier 2008 ![]() |
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