L'accusation de l'ex-président tombe dans l'indifférence |
Selon l'ex-président de la République, il existerait donc des "banques et des officines", en général américaines, dont "le travail est d'organiser la spéculation en Europe", et dont la France serait la prochaine victime après l'Italie. Une telle affirmation aurait mérité quelques questions de la part de l'équipe du Grand Journal, notamment de Jean-Michel Aphatie très au fait des questions économiques. Et pourtant rien. Denisot, qui semble ne pas prendre au sérieux les propos de VGE, se contente de lancer la publicité.
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