L'ex-policier Pichon quasi-reconnu comme "lanceur d'alerte" (Le Monde)
Poursuivi pour"violation du secret professionnel", Pichon, ancien commandant de police, mis à la retraite d'office, a été condamné, le 22 octobre par le tribunal correctionnel de Paris à 1500 euros d’amende avec sursis alors que "le ministère public demandait quatre à six mois de prison avec sursis" remarque Le Monde. Les juges justifient cette peine symbolique :"Le tribunal ne peut que constater que les faits qui lui sont reprochés sont partiellement motivés par les convictions d’intérêt public." |
Le Monde raconte que Pichon a lui-même été victime d’une homonymie dans un autre fichier policier "le Judex (l’équivalent du STIC chez les gendarmes) qui a retardé sa promotion au grade commandant en 2003-2004". Puis "chargé, en tant que numéro deux du commissariat de Coulommiers (Seine-et-Marne) «de veiller au strict respect des instructions encadrant le STIC», il a dénoncé, en février 2007, ses«graves dysfonctionnements» dans une note à son chef. En vain."
L'occasion de retrouver Philippe Pichon sur notre plateau dans notre émission Quand les flics mordent la ligne j@une
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