Pleines pages de pub dans de grands hebdomadaires, publireportages en pagaille, tribunes, interviews et portraits flatteurs, sans oublier des affiches sur 70 colonnes Morris et sur 200 mats des rues parisiennes – selon sa propre "revue de presse". Bref, un déluge de publicité sous toutes ses formes : l'homme d'affaires libanais établi à Paris Omar Harfouch n'a pas mégoté pour annoncer le Concerto pour la Paix qu'il a composé et dans lequel il joue du piano, donné ce 18 septembre au Théâtre des Champs-Élysées. Au point de susciter la curiosité d'un journaliste du Monde... qui relève que cette promotion digne d'une superproduction musicale d'envergure internationale n'a en réalité rien à vendre, le lieu ayant été privatisé par Omar Harfouch.

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