"Le triomphe de Prescrire" (Libération)
Avant de donner la parole à son directeur, le quotidien évoque le contenu du numéro daté février : "Prescrire y attaque dès l’édito: «Remboursez !» Parmi les médicaments nouvellement commercialisés en 2010, la moitié «n’apporte rien de nouveau». Ils sont «sans intérêt pour améliorer les soins». Prescrire dénonce ces «dépenses inutiles» : «L’élargissement des ventes, soutenu par la publicité, est la seule justification de ces commercialisations.»"
" Depuis une petite dizaine d’années, les firmes sont de plus en plus influentes, et cela va bien au-delà de leur sphère de compétences. Elles financent aujourd’hui la recherche clinique, mais aussi la formation permanente des professionnels de santé, et une partie de la formation initiale des étudiants, avec les écoles privées. Elles financent les associations de patients et les agences du médicament. Elles sont omniprésentes", explique, entre autres, Bruno Toussaint, directeur de la revue.
Un élément supplémentaire pour notre dossier Médécin, au pays de l'info-labo et une raison de retrouver Toussaint sur notre plateau la semaine dernière...
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