C'est ce qu'affirme Maria Roche, productrice de l'émission et ancienne collaboratrice de Jean-Luc Delarue, que nous avons reçue cette semaine dans notre émission. "On accepte beaucoup mieux tout ce qui est différent parce qu'on l'a vu" en filmant "des gens qui ont des émotions", a-t-elle expliqué, en assumant son voyeurisme.
Un avis que ne partage pas notre chroniqueur Sébastien Bohler, pour qui "on sous-estime le fait qu'on peut être conditionné par notre environnement télévisuel". En clair, en regardant ces émissions qui montrent des personnes en souffrance, sans que l'on puisse leur venir en aide en raison de la distance qu'instaure la télévision, on s'habitue au fait de ne pas les aider. La télé, comme conditionnement à l'inaction ? Débat sur notre plateau L'intégralité de notre émission est ici. |
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