"Comment ne pas être gêné lorsqu’une autorité publique décide de se mêler d’information ? Comment ne pas ressentir un malaise face à cette autocritique publique imposée, face à ce bonnet d’âne médiatique enfoncé sur la tête des « mauvais élèves » ? En mettant l’accent si dramatiquement sur quelques erreurs - qu’il suffirait de corriger à l’antenne par un simple rectificatif -, le CSA risque de décrédibiliser encore plus des médias déjà fragilisés."

Le Figaro jeudi 11 mars 2010