Au "Parisien", Bernard Arnault s'inspire de Vincent Bolloré
Et c'est un très mauvais signe pour les médias possédés par l'homme le plus riche du monde
Bernard Arnault serait-il en train de devenir Vincent Bolloré ? La question devient de plus en plus légitime : après la grève qui a secoué les Échos il y a quelques mois, la Société des journalistes (SDJ) du Parisien, l'autre quotidien de l'homme le plus riche du monde, a pris la plume pour demander une charte éthique "afin de protéger l'indépendance de la rédaction" et fixer "des règles pratiques, notamment quand des journaliste du Parisien traitent des sujets en lien avec des activités du groupe LVMH". Notamment parce qu'ayant "vu changer sous [leurs] yeux la ligne éditoriale [...] qui semble aujourd'hui prendre pour boussole les convictions de notre actionnaire davantage que les attentes de nos lecteurs". La SDJ, surtout, prend...
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