Facebook, l'AFP et les fausses pages de Bilawal Bhutto
La confession de "Bhutto le sexy" était un canular
Facebook, boîte à intox: l'AFP aussi a été touchée.
Des fausses pages Facebook, soi-disant mises en ligne par Bilawal Bhutto, le fils de Benazir Bhutto qui a succédé à sa défunte mère à la tête de son parti, ont eu un retentissement international. L’AFP leur a consacré une longue dépêche, en anglais, indiquant que ce garçon de 19 ans, avait choisi le réseau social Facebook, pour faire sa plus importante déclaration publique depuis l’assassinat de sa mère : The 19-year-old (...) chose the social networking site Facebook on Monday to make his biggest public statement yet since her killing....
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