"Un Canard pour un Putéolien" : Participez !
Le site monputeaux.com de Christophe Grébert, conseiller municipal d'opposition, qui rapporte l'affaire depuis le début, relaye ses derniers soubresauts. Après avoir fait acheter un maximum d'exemplaires par ses services, Ceccaldi-Raynaud aurait si bien fait pression sur les kiosquiers de sa commune que "certains d'entre eux" refusent "d'être réapprovisionnés en raison d'éventuelles représailles", a rapporté le Canard à l'AFP. Comme le souligne Hervé Liffran, l'auteur de l'article compromettant, "Nous avons déjà vu des villes acheter un maximum d'exemplaires mais jamais elles n'ont cherché à empêcher le réapprovisionnement". Un kiosquier aurait même confié au journaliste "qu'en cas de nouvelle livraison, il mettrait les nouveaux exemplaires sous son comptoir et les renverrait la semaine prochaine pour invendus". L'article que vous ne trouverez pas à Puteaux cette semaine |
Grébert a lancé hier avec humour l'opération "Un Canard pour un Putéolien", dont il résumait ainsi le principe : "J'appelle les gens qui ont eu la chance de se procurer un journal à photocopier l'article concernant Joëlle Ceccaldi-Raynaud, à aller dans les «Pages blanches» et à l'envoyer à un habitant de Puteaux pris au hasard". Lefigaro.fr, qui relaie l'information, ajoute qu'une "quinzaine d'exemplaires ont déjà été envoyés par ce biais et une distribution de Canard sera organisée samedi à travers la ville".
Pour ceux, nombreux, qui ne pourront être à Puteaux samedi, aidez tout de même un Putéolien : ça ne coûte qu'un Canard et un timbre.
(par Noëmie Le Goff)
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