Le Monde n'est pas le seul quotidien à revendiquer une "stricte séparation entre contenus éditoriaux et contenus publicitaires", tout en acceptant des partenariats rédactionnels. Des accords lors desquels des journalistes de la rédaction, au prétexte qu'ils ont un droit de validation en amont, signent sans culpabilité déontologique des articles flatteurs à propos d'événements culturels en l'échange d'une coquette rémunération du journal… Il se trouve que le Figaro pratique aussi le mélange des genres publi-journalistique. Et, contrairement au Monde, le quotidien du groupe Dassault ne les signale pas systématiquement à ses lecteurs.