Après avoir d'abord reconnu quelques oublis de citation, Guttenberg, qui était une figure politique présentée comme l'éventuel successeur d'Angela Merkel, a finalement du démissionner lorsqu'un universitaire a découvert via Google que des passages entiers de sa thèse étaient purement et simplement recopiés. Un travail collectif d'internautes avait, dans un premier temps, montré l'étendue des emprunts effectués par Guttenberg, dans près de 70 % de son texte. L'université a enquêté pendant trois mois avant de conclure à un pillage systématique qui "viole les pratiques universitaires" souligne Der Tagesspiegel.

Der Tagesspiegelsamedi 7 mai 2011

Hamburger Morgenpost