Aie aie aie, comment retomber sur ses pattes, quand on vient de se faire moucher ?
Petit cours par l'ancien judoka David Douillet, champion olympique et président de la Commission des athlètes au Comité national olympique et sportif français.
La 4 avil, les athlètes français avaient annoncé qu'ils souhaitaient porter, avant et pendant les JO de Pékin, un badge portant les anneaux et un extrait de la charte olympique, avec la mention "Pour un monde meilleur". Ils l'ont d'ailleurs porté lors du passage de la flamme à Paris, Douillet en tête.
Problème : lundi 15 avril, le président de ce comité olympique français, Henri Sérandour, a décidé d'interdire ce badge, sans exclure l'idée d'un nouveau badge, qui concernerait, lui, tous les pays. Ce badge était un badge franco-français, mais s'il y a une action à Pékin, il faut qu'elle soit acceptée par tout le monde, a-t-il précisé. Entre perdre la face et affronter Sérandour, Douillet a décidé de ne pas choisir. Comment s'en sort-il ? Admirez, à quelques jours d'intervalle, les contorsions d'un grand sportif |
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Et pour notre dossier sur le passage de la flamme olympique à Paris, c'est ici.
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