En novembre 2000, alors que Houellebecq avait raté le Goncourt deux ans auparavant pour Les particules élémentaires, l'écrivain avait affirmé chez Ardisson que les éditeurs achetaient les jurés.
Simple accusation gratuite d'un écrivain déçu ou réelle accusation ? A l'époque, Houellebecq s'était dit étonné que ses propos aient pu susciter une polémique car il pensait que "tout le monde le savait déjà". Concrètement, les maisons d'édition paieraient les jurés en les surpayant pour des préfaces, par exemple.
Dix ans plus tard, Flammarion et Houellebecq ont donc décroché le Goncourt. En débloquant les crédits ? |
L'occasion de lire la chronique de Daniel Schneidermann sur la tournée médiatique du nouveau Goncourt : "Houellebecq, dans ses blancs"
Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous