C'est en lisant son dernier livre, Dégagements, pour lequel nous le recevons aujourd'hui, que j'ai compris le noeud de ces angoisses métropolitaines. Debray aurait rêvé, rêve encore, d'une...voiture avec chauffeur. Lui, l'ancien guerillero, le compagnon du Che, le philosophe ? Eh oui, lui. Comme ses contemporains, qui ont choisi pouvoir et honneurs, plutôt que la carrière de ronchon éclatant, qui fut finalement la sienne. Après tout, il n'aurait eu qu'un geste à faire, pour que la présidence d'une chaîne, d'un institut, d'une sinécure... Mais ce geste, il ne l'a pas fait, et ne le fera jamais. Et la candeur, la franchise, avec laquelle il confesse ce r&ec...
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