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Vu chez Hanouna : France Police, ses checkpoints, et ses 3%

On les a vus chez Hanouna et chez Bercoff. Ils veulent installer des "checkpoints", à l'israélienne, dans les banlieues. Derrière le syndicat France Police se cachent deux figures médiatiques : le policier Bruno Attal, et le secrétaire général et ex-frontiste Michel Thooris, qui tient une chronique régulière sur Boulevard Voltaire. Mais quelle représentativité pour le syndicat France Police ?

Commentaires préférés des abonnés

Avec l'omniprésence sur les plateaux de ce syndicat d'extrême droite prônant les checkpoints dans les quartiers et l'usage abusif des armes à feu, on ouvre en grand la fenêtre d'Overtone rendant acceptable les bavures policières.

D'être passé d'une profession de gardien de la paix, à une extension du savoir essentiellement sécuritaire du service du maintien de l'ordre, montre par les mots même du métier de policier la transformation, et le besoin de désigner un ennemi, si pos(...)

51 flics tués aux States en 2015 , 6 en france, rapporté a la population ça équivaux a 10 aux States pour 6 en france .Pourtant les peines aux états unis peuvent allé jusqu'à' 100 , 200 ans et plus , en plus ils appliquent la peine de morts . Se peut(...)

Derniers commentaires

des checkpoints en ville ? ils ont trop regardé "Dark Angel"... remarquez, le monde pourrait vite basculer comme dans cette série visionnaire !

J'ai une proposition: on fait comptabiliser le temps d'antenne de cnews et tout le mainstream pour le Rn et Lrem à 50/50 meme quand aucun politique n'est invité. Quand la campagne commence, ils ont epuisé leur temps d'antenne en 1 semaine. Du coup il y aura peut etre quelque chose d'interessant pendant la campagne.

A la lecture de cet article les paroles d´E. Todd se rappelle à mon souvenir: "Le macronisme et le Lepenisme grandissent ensemble : un groupe socio-professionnel est commun aux deux, c´est les force de l´ordre... Les force de l´ordre selon les études de l´IFOP votent à 50% pour le Front National. On a un axe vertical de collaboration entre Macronisme et Lepenisme."



C'est terrible, cet article me glace le sang au point que je n'en vient pas à bout, je n'arrive pas à lire car il nous averti d'un réel bientôt effroyable. 

Voilà un syndicalisme qui n'est pas mou et qui plait à Darmanin ! Il est en mission commandée.


Ce syndicat d'extrême-droite a pour effet de banaliser la dérive et le discours fascistoïdes dans la police. 

Sans cela, ce seraient tous les syndicats qu'on entend en permanence qui apparaîtraient d'extrême-droite. Relire les tweet du syndicat des commissaires contre des journalistes, de synergie contre les avocats, d'alliance ... 


Leurs propos extrémistes - qui n'ont plus rien de syndical - sur des médias nationaux ne soulèvent aucune contestation ni critique de leur administration ou hiérarchie.

Cela interroge sur un consensus entre l'extrême-droite et les autorités ; mansuétude qui contraste avec le traitement des syndicats de gauche dans la police (CGT, SUD, ...) qu'on n'entend jamais et dont les délégués sont sanctionnés pour critiquer ... les dérives fascisantes.


La police - à travers ses syndicats porte-paroles de leur employeur - donne le LA de la pensée dominante officielle. 


Un discours violent dans la police désinhibe la violence, il la justifie. Cela ne protège en rien la population ni les policiers, comme le démontrent les crimes  d'Avignon. La surenchère a pour conséquence la confusion entre paix publique et guerre, voire sa substitution ; ce que devrait normalement rejeter unanimement la presse dans une démocratie.


La substitution de la paix par la guerre alerte sur l'influence de la conception fascistoïde de l'autorité en France qui bénéficie, bien au-delà des caricatures d'extrême-droite, d'un intérêt inquiétant du 4° pouvoir et de l'édition. Auquel participent la stigmatisation et la brutalité, le rejet de l'altérité (se rappeler des propos de Valls, Lallement, Nunez, Castaner, Macron, Ciotti, Cazeneuve, ...).


Il n'est pas possible d'invoquer l'information quand celle-ci ne va que dans un sens. L'information implique le pluralisme. Or, celui-ci, n'est pas du tout respecté.


Par ailleurs, on n'entend jamais un journaliste s'émouvoir des débordements ni reprendre un menteur qui désigne à l'opinion un ennemi de l'intérieur. Le silence valide la propagande, le mensonge, la haine. La loi sur le séparatisme n'a soulevé aucune campagne de presse comme cela le devait.


Cet article de Pauline Bock - exceptionnel dans le flot torrentiel de médiocrité médiatique - démontre, encore une fois que la démocratie n'est pas la priorité des écoles de journalisme ni de la profession, comme le démontrent un documentaire récent et un autre abordé dans une émission d'A@I (également commenté ICI).


La critique de Pauline Bock confirme que, finalement et paradoxalement, le RN, c'est ce que veulent les médias. 


Car dans l'exemple qu'elle commente et qu'il faut replacer ou mettre en perspective avec l'importance prêtée au RN  par les médias, ce sont eux qui favorisent la popularité de son discours ; puisqu'il n'y a aucune réelle critique sur le fond. Ce n'est pas de l'information mais de la propagande parce qu'il n'y a pas de respect du pluralisme dans les temps d'antenne.


A quand un même temps d'antenne pour le NPA ou LO équivalent à celui du RN ? L'extrême-droite peut déverser sa haine sans retenue mais l'extrême-gauche ne bénéficie pas d'un même accès aux médias pour promouvoir le respect des droits des travailleurs, des gens modestes, la justice sociale et la démocratie.


Les temps d'antenne montrent que les débats politiques sont désaxés vers la droite, voire l'extrême-droite.


Il se déduit un accord dans les rédactions sur ce point


Cela interdit de culpabiliser de bonne foi l'électorat, d'autant que l'opinion ignore les autres discours que ceux de l'extrême-droite et ses idées toxiques et vénéneuses dans la police, en l'espèce, mais aussi de manière générale.


Avant de vouloir comprendre pourquoi l'électorat vote à l'extrême-droite, ne devrait-on pas s'interroger pourquoi la presse lui déroule le tapis ?


Sur la responsabilité de la profession des journalistes, la revue Sociologie (PUF) publie une enquête sur les attentes des Français en matière de démocratie

Cette enquête révèle une rupture entre les citoyens et les mandataires du pouvoir, unanimement partagée quelles que soient les opinions ou les niveaux socio-économiques. Les participants à l'enquête s'accordent sur un sentiment de défiance et dénoncent une communication politique opposée à une "conception plus consensuelle de la politique", faisant échec à l'intérêt général. "In fine, l’élection serait une illusion de pouvoir : les citoyens ne sont pas vraiment libres de choisir et leurs choix n’ont de toute façon pas d’effet." Les médias en prennent pour leur grade. La politique-spectacle et les connivences entre éditorialistes, communicants et politiques ne font que renforcer l’idée d’une manipulation. (source)


Voir également 

l'ouvrage de Daniel Schneidermann : Berlin, 1933 : la presse internationale face à Hitler, prix du livre des Assises du journalisme de 2019, Seuil, 2018

Un journalisme vil et veule L’art d’interviewer Adolf Hitler  par Dominique Pinsolle 2017

L’histoire des médias a ses mythes. Celui du grand reporter toujours prêt à défier les puissants y occupe une place de choix. La réalité s’avère souvent moins romantique, surtout lorsqu’on se penche sur les années 1930. Les conditions dans lesquelles Adolf Hitler a été interviewé avant la guerre à plusieurs reprises par des envoyés spéciaux français révèlent le degré de servilité d’une certaine presse.  

 








Pardonnez-moi, je donne mon commentaire avant même d'avoir fini. Je dois reprendre mon courage à deux mains voir quatre pour reprendre la lecture


C'est de la folie, ils sont fous, ces mecs sont fous à lier

ils vous envoient de l'apartheid, du Bolsonaro, du Duterte, de territoires bouclés, et pourquoi pas du ghetto avec ces mots affichés aux portes du ghetto de Vilnius "Il est interdit d'accoucher./ Les femmes qui accouchent seront mises à mort avec leur enfant" (A. Sutzkever), 

comme ça, comme on sert du gros rouge ou l'apéro pour se réconforter

Mais qui les autorise à parler, qui s'autorise à diffuser leurs élucubrations

Dîtes-moi que je rêve, que ce n'est qu'un mauvais article diffamant, que ce n'est qu'@SI qui grossit le trait, qu'on est bien en 2021 et en France


Il va me falloir du courage car il faut que je sois au courant de la folie qui nous envahit de toute part comme une pestilence qui s'infiltre sous les portes, par les interstices des serrures...


n'ai je donc tant vécu que pour cette infamie, n'ai je donc tant aimé ce pays que pour le voir s'embourber comme un vulgaire Françsaszçtan !!!!!!!!!

Je trouvais un peu inquiétant le projet de société fasciste porté par ces gens mais depuis que je sais qu'ils comptent dans leurs rangs une personne d'origine algérienne et un homosexuel je suis très rassuré.

Légitime défense contre les fuyards ? Une sorte d'oxymore ?

"Mais quelle représentativité pour le syndicat France Police ?"


Elle est probablement minoritaire... hélas, c'est la pointe avancée d'un vrai mouvement de fond dans la police, mais aussi dans la presse qui s'en empare, et enfin dans l'opinion publique. Il y a dans ce pays comme un bruit de bottes.... qui rend possible ce genre de saloperie. 


Reste à savoir si les plus nigauds de nos concitoyens ont envie que ça évolue chez nous comme en Israël...

Excellent billet.

L'organigramme du venin de la démence sécuritaire y est parfaitement décrit et articulé;


Il n'y a plus de bornes entre tout un fatras d'avis, de faits, 

plus de trait d'union  entre les limites et les grincements de dents, les erreurs, les horreurs.


 Car, tout de même, qu'un ou des  policiers s'étonnent que la délinquance existe, qu'un ou des  policiers s'étonnent qu'un juge soit celui qui juge, (le policier n'a pas ce pouvoir, séparation des pouvoirs) et juge au nom d'un code pénal et apprécie et non au nom d'une colère d'un flic,  renseigne sur la folie et le danger qui s'est installé dans ce corps d'état de la police , pour l'accomplissement de sa mission dite régalienne.


Sans délinquance, sans délits et parfois meurtres, la police serait inutile. 

Il n'existe pas de sociétés sans addictions, sans violences, sans délinquance : tout dépend de l'analyse des causes que l'on en fait, et des remèdes qu'on invente. Pourquoi  est- ce ainsi?   question  sans réponse unique. (économie, réalité de la malfaisance du et des pouvoirs, de tous les pouvoirs individuels ou collectifs,   statut de mortel, incacité à organiser des groupes pacifiques et durables etc)   


Les militaires, (dans leurs tribunes auprès d'une feuille de chou misérable),  à la passoire trouée qui s'amusent à délirer, idem, même constat. 


Imaginons un médecin qui s'écrie : " mais enfin c'est un scandale, il y a des malades.. il faut faire cesser les maladies, je ne suis pas là pour  soigner des malades.. "


On en est là.


Il y a des gangrènes religieuses çà et  là dans les banlieues françaises, largement admises par les autorités et soutenues par quelques militants imbéciles, mais il y a une lourdeur, une criminalité beaucoup plus ancienne encore :  la misère voulue, institutionnelle, imposée par les politiques,  qui petit à petit déclenche une épidémie d'un nouveau type. 

Ainsi naissent les avalanches..

 La misère continue, jour après jour conduit à la folie. 

Et qui n'admet plus qu'une issue : la révolte.  



Le libéralisme tend a promouvoir l'égoïsme de l'individu et pour ça il doit détruire les bases du commun , ce qui est magnifique , c'est que les individus de la  police , de l' armée , qui devraient être au service du commun se trouvent individualisés et divisés , donc les prochaines étapes obligatoire seront la privatisation de la police et la privatisation de l'armée . J'avais pas pensé a ça , du coup voici venu le temps des seigneurs de guerre , en gros le féodalisme !Je sais j'enfonce des portes ouvertes , mais j'étais coincé sur le fait que le libéralisme ne détruisait que l'économie commune au profit de quelques uns , et je n'avais pas vu le tableau d'ensemble .Alors si l'on veux  vivre en paix y' a pas beaucoup de solution ....Elire  a gauche de la gauche pour retrouver du commun , ou monter sa propre armée..."Si vis pacem , para bellum" Les coups de gueule de l'armée et ceux de la police ne nous disent rien d'autre !

Merci pour l'article et notamment pour la 3e partie sur la représentativité syndicale, cela met les choses en perspective.

"sauf que voilà , la sécurité n'est pas le probleme !" JK

Je serais curieux de savoir ce qu'en disent les syndicats de policiers plus représentatifs que France Police. Que la majeure partie des policiers conchient ces blaireaux, j'en doute pas une seconde. Mais que ces mêmes policiers pensent qu'il n'y a aucun problème Sécurité me serait très surprenant. Or, je ne connais pas les revendications des policiers, et cet article ne m'éclaire pas à ce sujet. Et je dois avouer que je ne me jette pas sur les sujets Sécurité naturellement.


De quels ordres sont les problèmes pointés par les autres syndicats ? Embauches, augmentations, horaires, centralisation / décentralisation, organisation interne, ré-évaluation des tactiques de terrains, relation avec la Justice, formations, recrutement, ... ?


"Inclure plutôt qu'exclure pour dépasser une guerre avec ses méchants, apprendre à connaitre plutôt qu'à désigner un coupable qui sera responsable de tous nos maux" sweetyworld

Je ne doute pas qu'il faille aux zélotes de France Police des stages intensifs autour de fraternels feux de camp à la belle étoile. Mais est-ce que les policiers des autres syndicats en ont vraiment besoin aussi ? Et dans la vie pratique, ça se concrétiserait comment ?

Cette question mérite d'être posée à Hanouna et toutes ces télés et media qui décident d'inviter ce syndicat si peu représentatif sur le terrain et de façon inversement proportionnelle sur les plateaux.

De même que sur ces plateaux jamais ne sont évoqués les manquements de la hiérarchie mettant en danger les agents. Car si les policiers sont "de la chair à canon" d'une nouvelle forme de guerre civile larvée, il y a bien des officiers pour les "envoyer au front" (sans mauvais jeu de mot...).
Pour parler d'un cas concret, qu'espérait obtenir le commandement qui a envoyé 2 équipages surveiller une camera de surveillance à un carrefour à Viry-Chatillon en 2016? 

Bizarrement la question du sens du travail, des conditions de travail, des moyens et de la méthode ne se posent plus désormais.

Ca s'appelle prendre du temps, être solidaire, de l'éducation, autrement que par des notes et des hiérarchies, imaginer, essayer, se planter puis faire autrement, faire de la prévention, connaitre son environnement, être curieux à le découvrir, être ouvert aux changement via le collectif et pas seul dans son coin avec que des gens pensant identique, ça demanderait des droits appliquées à la même échelle, comme des devoirs bien entendu ( Les plus assistés sont loin d'être les plus précaires.). Ca demande de se prendre en main, de prendre sur soi quand on se dit de devoir dire pour la 30ème fois la même chose qui nous déplait à l'autre, d'essayer de s'imaginer lui parler, prendre 5/10 minutes à se dire ensemble, je suis peut-être pas un héros sans tache, que comprends-tu, toi?


La première couche du covid, les premiers mois ont révélé que beaucoup nous sommes dans le même bateau...

Puis la distanciation physique est devenu très vite sociale, sans besoin sanitaire autre.

Des thinks thank excluent la possibilité de débattre autrement qu'être en guerre contre les extrêmes, nous somme en guerre, oui, contre l'étranger dehors, et le facho dedans se déclarant" On n'est plus chez nous", puisqu'il se croit voir l'étranger déjà dedans, chez lui, une belle victoire sociétale des médias de masse par le jeu des mots.

Envahi par le covid? Erf, difficile, si l'on est en guerre, ce ne peut être contre quelque chose qui ne se voit pas, ce n'est pas télévisuel, les masques, c'est pas mal déjà, après, reconquérir morceau par morceau son territoire là où on n'aura plus besoin... Mmm seuls les plus méritants auront le droit de circuler...


J'raconte cela, car c'est un véritable récit, celui du mythe de la méritocratie, où, pour garder le meilleur statut quo possible, on raconte des histoire à nos enfants, où le riche est forcément intelligent, donc méritant, où son statut n'a pas à évoluer, à se changer, ou alors comme il le souhaite, lui il sait, ce qui est bon pour créer de la richesse, " et extasiez vous face à ma fortune..." quand le pauvre, erf, son statut même est de justifier qu'il pourrait l'être, riche, avec moins d'idiotie, d'où chacun de ses actes, de ses dépenses, se doit d'être justifier pour un bien être, pour la société, pour sa famille, auquel cas cela prouverait invariablement sa petitesse, même pas forcément à cause de lui-même, "Regardes où t'habites, t'en fait pas, c'est pas ta faute, mais c'est comme ça, juste accepte le...".


Ce mythe de la méritocatrie vient du fait aussi que l'école de Jules Ferry a l'origine de créer des masses de chairs à canon en temps de guerre, les plus cons devant en première ligne qui distraient les canonniers d'en face, et les officiers, qui ont plus de recul, accumulent le savoir et dictent quoi en faire aux autres. Le top c'est que tous se déresponsabilisent de leurs actes, puisque celui qui est devant explique qu'on lui a dit d'agir de la sorte, pas sa faute s'il est ignorant, et celui derrière démontrera que quand il est mal compris, forcément à un moment donné, plus personne ne fait comme il faut.

Cette couillonnade n'a de source qu'il faut prendre conscience autant du "comment" de l'érudit que du "pourquoi" de l'ignorant, pour pouvoir assumer pleinement ses actes.

Le gamin apprend qu'il est dépendant des autres pour vivre, l'ado c'est l'autonomie histoire de comprendre de quelle façon il va pouvoir interagir avec le monde, il ne faudrait pas zapper la dernière, après avoir compris qui l'on est, d'être, simplement, adulte en acceptant pleinement l'interdépendance, permettant une intelligence collective au sein de l'humanité. J'entends bien de pas être bisounours pour autant, le bien commun est pleinement un sens humain, et oui ce n'est pas simple, aussi et beaucoup par une éducation de masse mortifère, conçu pour un homme en guerre contre lui-même, pour preuve, à voir les plus "méritants"...


... Les hautes écoles se doivent de sélectionner l'élite, plus de 200 000e ( 40 000e d'investissement pour un gosse scolarisé jusqu'en 3ème), l'Etat aura mis pour un gamin passant par l'ENA, où l'on retrouve 1% d'enfants d'ouvriers et d'employés ( + de 50% de la population...), alors les enfants sont notés pour trouver "les meilleurs", et c'est là qu'est le gros biais, d'entrée la constance qu'on appelle macabre, où quelque soit le niveau des élèves les profs noteront toujours en trois catégories, les mauvais, les moyens, les bons, que les enfants soient trisomiques ou surdoués n'y changera rien.

Ensuite les sélectionnés seront essentiellement les plus hyperconformistes (Qui répondent au mieux des attentes de leur prof), les plus individualistes (Qui on le plus de temps dispo pour faire leur envie propres, sans forcément à se soucier des factures, de la famille, de comment se déplacer, d'un toit, des autres à charge, de quoi manger, en plus de ses études.), les plus soumis (Capable de travailler des heures assis sans bouger, sur des choses qui n'ont pas forcément le moindre sens ni d'utilité pour l'avenir.), ce qui fait que les plus créatifs, les plus solidaires, les plus autonomes iront voir ailleurs, pour la plupart sans percevoir les 160 000 e d'écart d'investissement de l'Etat entre un gus juste titulaire de son brevet et un autre sortant avec le diplôme d'une haute école...


Désolé pour le pavé, vous m'avez donner envie d'écrire.

Au dessous d'un certain revenu , au dessus d'une certaine "situation" , sommes nous tous devenus des lapins un jour de chasse ?

Pasqua, réveille toi, ils sont devenus fous ! 

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Avec l'omniprésence sur les plateaux de ce syndicat d'extrême droite prônant les checkpoints dans les quartiers et l'usage abusif des armes à feu, on ouvre en grand la fenêtre d'Overtone rendant acceptable les bavures policières.

D'être passé d'une profession de gardien de la paix, à une extension du savoir essentiellement sécuritaire du service du maintien de l'ordre, montre par les mots même du métier de policier la transformation, et le besoin de désigner un ennemi, si possible pas la finance, qu'on pourrait mater...

Les jeunes drogués, les "pas comme nous", les étrangers deviennent des proies idéales, faibles, dispersés, et rappelle une chose, que l'Ordre  n'a rien à voir avec la Paix, et les mécanismes pour installer de l'ordre, sont à l'antithèse de ce qu'il faut faire pour avoir la paix...

Inclure plutôt qu'exclure pour dépasser une guerre avec ses méchants, apprendre à connaitre plutôt qu'à désigner un coupable qui sera responsable de tous nos maux, c'est l'exacte contraire du chemin français dans la dérive sécuritaire actuelle, autant législative que dans son application sur le terrain, que médiatique.


A prévoir pour la rentrée de septembre une explosion de faits divers, sachant qu'environ + de 2000 affaires criminelles sont jugées en France en une année, en gros 5 affaires /jour, où dans la masse média, on traite 5 à 10 infos max en une semaine, il va y avoir une mise en avant d'affaires bien ciblées niveau AFP, vu déjà le niveau au printemps, je crains franchement cet hiver.

Mr Daniel se demandait tantôt à quoi servait la présence de ce syndicaliste sur le plateau d'Aluna, surtout les mains vides, c'est qu'au-delà d'instiller le doute même quand tout est évident, que les gentils c'est toujours les policiers, quoiqu'ils fassent je pense que ce policier se crée un personnage pour exister, et que plus on parle de lui, que cela soit en bien ou en mal il s'en contrefout, ne serait-ce que pour avoir un droit de parole, et pouvoir prendre la lumière, plus encore.

Au final c'est un gars biberonné à la téléréalité, où le "Vu à la télé" devient la seule source qui lui reflète une quelconque importance.

Zemmour, plus par le métier de l'écrivain/journaliste, a beaucoup utilisé cette forme pour donner l'illusion d'un fond, et il doit beaucoup à Ruquier pour la densité du magnétisme qu'a cet homme, lui simplement minable dans son humanité, totalement autocentrée.

51 flics tués aux States en 2015 , 6 en france, rapporté a la population ça équivaux a 10 aux States pour 6 en france .Pourtant les peines aux états unis peuvent allé jusqu'à' 100 , 200 ans et plus , en plus ils appliquent la peine de morts . Se peut il qu'il n'y ai aucune corrélation entre les crimes et les peines .Et je vous parle pas des citoyens tués , du taux de criminalité , du peuplement des prisons .Se peut il que le probleme soit ailleurs , si toutefois on veut régler le probleme . Il ne tient qu'a vous de vous informer si vraiment la sécurité c'est votre probleme .

sauf que voilà , la sécurité n'est pas le probleme !

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