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Commentaires

Valls : Monsieur Lumière et Madame dans les yeux

Le malheureux ! Les médias pour lui. L'info continue qui retient son souffle

Derniers commentaires

Peillon candidat! Le charisme personnifié! Et puis il a cinq lettres en commun avec Fillon, on n'est pas dans la m....
Depuis que G Bush J. et Sarkozy ont été réélus, j'ai confiance dans mes concitoyens: quelque soit le crétin qui se présente, tant qu'il a du bagout, il a ses chances.
Si j'avais le compte en banque de Valls, je trouverais plutôt secondaire de pas avoir de lumière dans les yeux.
Il n'y a pas un ou une qui sourit.
Tous et presque toutes ont les mains en "prière" devant un autoritaire...
une a ses bras croisés sur le ventre - comme un animal qui protège la partie molle de son corps, la partie le plus vulnérable, la panse, la maternité.
personne ne sourit. ils ont été payés pour etre là : pour la sourire, il faut suppléer. et nous savons, ce n'est pas le genre: un autoritaire ne négocie pas. voilà tout le problème avec ce personnage méprisable.
Valls,Montebourg,Macron,Baylet?Taubira? Absence de Hollande.Le scooter va déraper dans tous les sens et perdre son huile.Ensuite il faudra encore choisir entre Jadot,Fillon,Le Pen,Valls et une demi-douzaine d'autres clampins.Dur la démocratie!
Est ce que c'est raciste l'organisation d'un arrière plan de communication selon les critère..."chromato-épidermique" ! N'est ce pas du plus haut cynisme de notre premier commissaire en chef, le Capitaine "Blancos".

Et on peut m'expliquer comment monsieur 3% fait pour arriver à 30% dans les sondages en ayant entre temps en plus pratiquer un pouvoir semble t il jusque ici bien bien impopulaire ? Je pige vraiment plus rien !

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Oui et comme après l'incendie grave de la voiture de police à Viry-Chatillon par le fait de cagoulés (introuvables jusqu'à présent !?) a découlé le droit pour la police de tirer sans sommation sur tout militant ("sauvageon" "cagoulé") qui se trouverait en zone de non droit ( Ex: NDDL)
Attention à la lumière dans les yeux mais surtout attention aux yeux.
Cazeneuve remplace Valls!
Sûrement dans ce grand pays, un Bernie Sanders est présent... mais pourquoi il n'est pas candidat ? A la place, on a des Drumpfs et des Schtrumpfs.
Oui apparemment la "lumière" de Valls rend AVEUGLE et sourd tous ceux-celles qui ont refusé de voir et d'entendre comment en si peu de temps, il s'était assis (avec Cazeneuve, Ayrault, El Khomry, mais aussi Macron) sur la Démocratie dans ce pays!
De toute façon personne n'est jamais content. Ca aurait été à 22h00, à 14h45, ou 10h12, on aurait toujours pu sortir une saloperie en formulant de mauvaises intentions. En ce qui me concerne, à 18h30, le lundi, je suis dans ma voiture pour "commuter" comme disent les anglais (rentrer du boulot) en passant par la case supermarché. Et j'étais manifestement pas le seul puisqu'à la place d'à côté une quinqua s'est garée et est restée écouter la radio avant d'aller glisser un jeton dans un caddie. Petit signe de tête de connivence par la fenêtre...

De toute façon, personne n'est jamais content. Il parle d'étoiles dans les yeux et on sort des vacheries sur son manque de réalisme face aux victimes de la mondialisation. Mais il n'en n'aurait pas parlé, on l'aurait accusé d'être une espèce de gestionnaire au sang-froid.

Des saloperies encore sur le bilan du quinquennat, soit disant indéfendable. C'est oublier la baisse du chômage, la garantie jeune, le compte pénibilité, le compte de formation, l'indépendance de la Justice, la lutte contre le harcèlement sexuel et pour l'égalité homme-femme, le remboursement de l'IVG, le mariage pour tous, les embauches dans l'Education Nationale, la Police et la Justice, etc. Et pendant ce temps là, la "vraie" gauche accuse Hollande d'être pire que Sarkozy, et Valls d'être pire que Le Pen. Faudrait peut-être voir à raison garder, même si l'on a des divergences de point de vue: tout ça n'est certainement pas un bilan de droite.

Et toujours des saloperies, sur ce forum même, en instillant le doute comme quoi Valls se passerait des primaires; alors qu'il a été parfaitement clair dans son discours de candidature, et qu'il n'y a aucune espèce d'ambiguïté. Si une chose est sûre, c'est que c'est en faisant pleuvoir les saloperies à bras raccourcis qu'on maintient la gauche divisée. Et que la gauche divisée ne passe pas le premier tour de la présidentielle.

Personnellement, j'ai bien aimé son discours de candidature. En particulier parce-que "l'inflexible" Valls a montré des signes de souplesse. Je ne me souviens plus exactement de ses propos mot à mot, mais l'idée partait du constat de la division de la gauche, de la nécessité de se rassembler en faisant chacun des efforts, à commencer par lui-même.

Peu m'importe que la gauche se rassemble derrière l'une ou l'autre: Arthaud, Mélenchon, Poutou, Filoche, Valls, Lienemann, Macron, Jadot... Le premier travail consiste à arrêter de se taper dessus, déjà, et à arrêter de se lancer des saloperies au visage. La deuxième étape consiste à trouver des qualités chez son voisin et dans son programme. Ensuite, un peu d'introspection et on met un peu d'eau dans son vin. Après, on établit une stratégie commune apportant des garanties aux parties prenantes pour le quinquennat et on désigne une personne parmi les candidats déclarés pour le porter. Enfin, c'est la victoire et 5 années de bonheur.

Par ailleurs, je vous invite tous à vous renseigner sur le vote par jugement majoritaire.
Il y avait eu une visionnaire de nombreuses années auparavant (chinois) :
https://www.google.fr/#q=piaf+n%27y+va+pas+manuel
Je me demande qui est ce que je déteste le plus entre Marine Le Pen, Sarkozy et Valls. Non, en fait je le sais très bien. Marine Le Pen aime bien les chats et Sarkozy va passer devant les tribunaux. Pour Valls, je n'ai pas encore trouvé d'élément à décharge.
"Il va vraiment parler de lumière dans les yeux aux producteurs de lait, aux chômeurs, aux profs, aux électeurs du FN. On ne peut pas mieux dire que tout sonne creux, faux. Tout sonne com'. "
Ouiiii! ah ah ah! Bravo!
Il va vraiment parler de lumière dans les yeux aux gens de "la vraie gauche", aux nuits-deboutistes, aux zadistes et à leurs copain-pine-s de plus en plus nombreux dans les facs et les lycées, et à tous ceux celles qui se sont retrouvé-e-s en garde à vue pour que dalle, aux BAC +18 au chômage et aux illettrés traité-e-s comme des merdes qui les ont enfin rejoint-e-s! :)
A tous ceux, celles qui n'ont pas digéré la mort de Rémi Fraisse et les flashballs tirés sur des gamins.
Ah ah ah!
La lumière dans les yeux!

"A l'ombre des jeunes filles en fleur, ils ne croient pas au malheur"

PASOLINI
"SALO"
Charline Vanhoenacker dans son billet de ce matin, disait qu'il manquait les mots "dans la rue" au slogan de Valls.
Un peu inexacte votre lecture du parcours de valls car à ma connaissance il n'est pas énarque et son parrain initial est Rocard le seul gouvernant depuis 1973 à avoir fait reculer le chômage avec Jospin. Ça compte un peu même si valls s'est largement abîmé depuis...
Il faut bien trouver une occasion de s'amuser, peut-être en écoutant les conseils d'Edith Piaf à Manuel...

"N'y vas pas, Manuel, n'y vas pas...
'y des choses dans la vie qu'on ne fait pas...
Et plus tard, tu le regretteras...
N'y vas pas ! N'y vas pas !
Attention, Manuel, sois prudent ! Attention,
Manuel, n'y vas pas !...
Manuel, ATTENTION MA-NU-EL... !
...ohhh !... Manuel !..."
Bonjour
Valls, Cazeneuve (rappelez-vous de Rémy Fraisse) premier ministre. Ils n'ont même pas honte !!!
En termes de comparaison, quel est le plus "catastrophique" ? Le bilan de Sarkozy en 2012 ou celui de Hollande- Valls en 2016 ? C'est Fillon en général et ses sbires qui utilisent ce terme. Je ne m'attendais vraiment pas à le trouver dans le discours du matinaute. Parce que vue la situation qu'ils ont trouvée, ils ont amélioré les choses , notamment en matière de déficit.
Ils n'ont pas assez couru derrière les patrons qui délocalisent et derrière les riches qui fuient les impôts après avoir fait leur fortune en France, ...ça c'est sûr!
"notamment en matière de déficit"...

J'ai aussi une amie au PS qui pense que les médias sont méchants et que Hollande et son gouvernement ont fait ce qu'ils ont pu. J'évite autant que possible de parler politique avec elle pour ne pas m'énerver.
Si certains rentrent en politique pour essayer de faire moins pire, qu'au moins ils ne savonnent pas la planche à tous ceux qui ont un minimum d'ambition pour le pays et ses habitants.
Quoiqu'il en soit, vous avez sûrement raison, mais pour moi, l'ennemi redouté c'est Fillon ou alors Wauquiez sans oublier Le Pen.
"Parce que vue la situation qu'ils ont trouvée, ils ont amélioré les choses , notamment en matière de déficit."

Comme disait un Frédéric, le but ultime du politique aujourd'hui est de concerner l’électeur à des choses qui ne le touche nullement, même de loin. L'exemple parfait, son apogée même, est le "déficit budgétaire". bon déjà je ne pense pas que vous connaissiez réellement les enjeux attenants à ce dit "déficit", il faudrait en effet commencer par différencier le déficit vulgairement parlant et le déficit structurel et nominal.
Et vous verrez que celui la n'a pas été "amélioré", mais le pompon reste indiscutablement que cette "chose" que l'on nous crache au bassinet à longueur d'onde n'est aucunement un enjeu (économique ou politique).
Même la FED ou le FMI (Bouuh les méchants trotskistes hétérodoxes, les biens informés le savent) prônent pour un méa culpa général, assénant qu'une politique keynésienne (relance budgétaire) de l'investissement et a forte inflation est absolument nécessaire. Pour s'en convaincre il suffit de jeter un regard, même bref, sur la situation macro-économique : taux d'intêrets de la BCE historiquement bas, voire négatifs, qui engendre une bulle financière spéculative sur la valeur des titres artificiellement gonflés à mort (d'ou les OPA et fusions/acquisitions actuelles, seule manière de se faire un maximum de fric pour rien). Et je ne parle pas du QE (Quantitative Easing) des banques centrales qui au final ne rincent pour l'instant que les énormes boîtes qui nous pompent déjà nos recettes fiscales.

Enfin bon, tout ca pour dire que si même un assinaute se fait berner d'une manière si magistrale par les éléments de langage des gouvernements (mauvais) gestionnaires depuis 30 ans, ces minables, il faut bien l'avouer, ont vraiment bien joué, ont bien produit les effets escomptés. Et ont donc qualitativement changé le "cadre" de pensée politique.

Qu'il doit être bon de savoir se sentir concerner par l'amélioration du déficit, entre deux tartines chaque matin, tout de suite, on se sent mieux, on respire de l'inhalation du juste.

"Parce que vue la situation qu'ils ont trouvée, ils ont amélioré les choses , notamment en matière de déficit."

Comme disait un Frédéric, le but ultime du politique aujourd'hui est de concerner l’électeur à des choses qui ne le touche nullement, même de loin. L'exemple parfait, son apogée même, est le "déficit budgétaire". bon déjà je ne pense pas que vous connaissiez réellement les enjeux attenants à ce dit "déficit", il faudrait en effet commencer par différencier le déficit vulgairement parlant et le déficit structurel et nominal.


Vous avez des sources sur cette partie de votre réponse ? Quelle part du déficit structurel et nominal en France ? Merci d'avance.
Bonjour, le problème premier est méthodologique, il est très dur de "calculer" le déficit conjoncturel et nominal (réel), mais bien plus facile de produire le déficit structurel ou budgétaire.
Mais en gros le budgétaire ne donne qu'une image tronquée de la réalité économique, et ce dernier a des effets sur le déficit nominal.
En période de croissance faible (ou négative) a taux d'inflation bas par exemple, comme c'est le cas aujourd'hui, une diminution du déficit budgétaire (comme c'est encore le cas en ce moment, bien que faible) augmente le déficit conjoncturel. Car en effet, lorsqu'on nous parle de pays "communiste" ou 57% du PIB va dans les "dépenses" publiques et creuse le déficit, (comme si 57% du PIB était ponctionné sans jamais-souvent instantanément- être redistribué et réinjecté dans l'économie, il faudrait donc plutôt parler de socialisation.
Mais en effet cela creuse le budget (de l'Etat) , mais nullement le budget nominal, en effet à l'heure actuelle chaque euros investi ou redistribué génère au moins entre 1,2 et 1,6 euros (coefficient multiplicateur). En réalité c'est l'investissement publique qui maintient le bateau à l'eau.

On en revient à l'antienne sur l'austérité en somme, en diminuant le déficit budgétaire on creuse le déficit global (conjoncturel) et augmente le montant de la dette (en nominal).
Article payant :
http://www.alternatives-economiques.fr/deficits--entre-le-conjoncturel-et-le-structurel_fr_art_1192_62657.html

"Ouais, enfin, quand même, le fait que l'Etat paie dans les 40 milliards de service de la dette. D'une manière ou d'une autre, il serait pas mal de pouvoir mettre ces budgets ailleurs que dans le gavage des marchés financiers et chaque fois qu'on emprunte, on les entretient. Difficile de lutter contre la finance si on est dépendant d'elle..."

Je suis d'accord avec vous, raison pour laquelle je disais qu'il faut mettre en place une politique inflationniste, qui réduirait drastiquement la valeur réelle de la dette, et surtout de ses intérêts. (Faut-il rappeler que la mission de la BCE, marqué noir sur blanc, et de confiner l'inflation entre 1 et 2%, et on est bien plus proche du 1 que du 2, a taux de croissance égal, on peut parler d'inflation réelle proche de 0)
Quant aux moyens de financements, je suis d'accord que le problème perdure, mais l'Etat peut encore se faire financer par plusieurs canaux (sans pour autant totalement supprimer le recours aux marchés malheureusement dans le cadre actuel). A savoir le recours a un grand emprunt (à taux fixe, uniquement indexé sur l'inflation), et pis surtout faire en sorte que le QE se focalise sur le rachat de bons du trésor, et non pas a renflouer et a faire gonfler les titres des plus grandes entreprises, notamment celles du cac40, comme cela se fait actuellement.
A savoir le recours a un grand emprunt (à taux fixe, uniquement indexé sur l'inflation), et pis surtout faire en sorte que le QE se focalise sur le rachat de bons du trésor, et non pas a renflouer et a faire gonfler les titres des plus grandes entreprises, notamment celles du cac40, comme cela se fait actuellement.

Autre solution que j'ai cru voir en cours de réalisation : mobiliser l'épargne notamment les assurances-vies sur le financement de l'Etat, que la dette soit vis-à-vis des Français et pas des marchés mondiaux.
Faudrait que je retrouve les liens mais de mémoire, on a dans les 4 000 Md€ placés en assurance-vie, Macron avait déjà fait un truc pour que les assureurs orientent les placements vers je ne sais plus quel "produit" émis par l'Etat, et cette orientation a été renforcé il y a quelques temps (désolé pour le flou, c'est vraiment de mémoire).

D'ailleurs, chez Ruquier, Mélenchon disait à Burgraff en se voulant provoquant : "on va vous la faire rembourser". Et pour ma part, à défaut de rembourser, je trouverais déjà bien qu'elle soit rachetée par l'épargne disponible, qu'elle appartienne aux citoyens, qu'on soit clair sur les politiques d'emprunt et de financement de l'Etat, de redistribution et d'investissement associés. Si il y a des ressources dans les bas de laine, eh bien autant les dynamiser en faisant circuler tout ça.

Mais bon, est-ce que les Français vont se mettre à trembler si on leur dit que c'est l'Etat français et pas les marchés qui est garant de leur épargne ? Ils préfèrent croire en la rentabilité de placement sur de la croissance (ou spéculation) mondiale ou sur un pari pour l'avenir en France ?

P.S. : j'ai retrouvé un lien, loi Sapin et de suite, mise en branle des optimiseurs de placement : Loi Sapin 2 & Assurance-vie : Comment protéger votre épargne ?.
Ouais, enfin, quand même, le fait que l'Etat paie dans les 40 milliards de service de la dette. D'une manière ou d'une autre, il serait pas mal de pouvoir mettre ces budgets ailleurs que dans le gavage des marchés financiers et chaque fois qu'on emprunte, on les entretient. Difficile de lutter contre la finance si on est dépendant d'elle...
Le déficit, ça peut plaire aux électeurs de Bayrou...
Pour qui voudrait quelques chiffres pour un bilan : France, portrait social, 2016 par l'INSEE.

Je n'ai pas encore creusé les données pour voir si on y trouvait des éléments correspondant au rejet actuel de Hollande mais le pouvoir d'achat moyen a augmenté, le taux d'épargne est stable, le marché des loisirs fonctionne donc il y a bien de la richesse, par contre la part de "frais fixes" des ménages (logement, énergie etc.) est sur une courbe montante, et bien sûr pauvreté et chômage minent la société. Intuitivement, je dirais que c'est le manque de dynamique, l'impression de stagnation en attendant la chute qui donne l'état d'esprit actuel.

Et peut-être en illustration de ce côté "manque d'avenir" : le taux de pauvreté chez les retraités est à 7,6% en 2014, en baisse depuis 2011, et il est de 31,1% chez les autres inactifs dont les étudiants, en hausse de 1% par rapport à 2013.
Quand la jeunesse est de plus en plus pauvre, c'est pas génial.
Le PS peut effectivement se vanter d'une meilleure gestion et de plus de réformes nécessaires, selon les critères mêmes des économistes de droite. Ce qui rend étrange pour moi que le centre droit s'en détourne.
Mais ici on est sur un site plutôt de gauche, notez.
Le bilan, ce n'est ni en nombre de chômeurs ou d'euros de déficit que je le compterai.

C'est en promesses et idéaux trahis ( ouf, je n'y avais jamais cru, mais quand même ...) qu'il s'impose à moi, en réforme des rythmes scolaires,
en loi travail, en violences policières, en 49.3, en état d'urgence...
faire mieux que Sarkozy, la belle affaire. Si maintenant c'est ça la mesure, ...
Chère Emilie Bouyer, je compatis !

Si on n'a plus le droit de dire une connerie sur ce forum, où va le monde !
ils ont amélioré les choses , notamment en matière de déficit.

Encore faudrait-il être sûr que diminuer le déficit, c'est améliorer les "choses".
Et en plus, ça dépend comment on l'a diminué, le déficit: en rognant sur tout ce dont nous avons besoin, hôpitaux, écoles, ou en récupérant le fric des évadés fiscaux, par exemple.
Vous aimez tant que ça Valls ???
Cet éditorial dit tout mon sentiment jusqu'au paragrpahe final où se pose la rédemption par l'excès de haro sur le mulet, c'est même plus tirer sur l'ambulance tellement l'opération "présidentielle" semble pour Valls dépourvue de bon sens.

Comment oublier l'avalanche de 49-3, comment oublier les propos indignes à l'adresse de ceux qui n'attendent qu'une chose : qu'on flatte leurs tripes plutôt que leur cœur voire leur cerveau.

Alors bien sûr on peut s'attendre à tout depuis que la démocratie n'est plus, par la vertu des temps, qu'une poudrière sans cesse en attente d'un allumeur de réverbères, et de ce fait, on peut toujours trouver une logique aux espoirs insensés de Valls.

Et les radios qui nous font de la respiration artificielle forcée pour nous faire vivre la palpitation comme si nous étions encore à croire au Père Manuel, auquel d'ailleurs nous n'avons jamais cru vu que attitude roquet a toujours semblé en contradiction avec le parti dont il se veut l'héritier. A des moments comme ceux que l'on vit, question radio et tél, on regrette les bulletins d'actualités allemands ou britanniques lus au téléscripteur sans fioriture :
"Le premier ministre est à Évry POINT Il vient de déclarer sa candidature POINT Le Président Hollande doit choisir un nouveau ministre POINT À l'étranger, le président elect Trump a envoyé un nouveau twitt POINT Pic de pollution à Paris, circulation alternée demain POINT FINAL Prochaine nouvelle à..."

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Plus que Blair et Shroder, ce que je trouve important de ne pas oublier, c'est qu'il était conseiller en communication de Jospin à Matignon, et qu'il a obtenu de ce fait une circonscription, à Evry (sud) , alors que sa première implantation était à Argenteuil (nord).
Quand on sait qu'il a commencé en étant attaché parlementaire d'un élu ardéchois, on a le parfait prototype du professionnel de la politique dont les "racines" dépendent de là où le vent l'a porté...
Bonjour,

A mon avis le slogan dit ceci avec ce qui lui manque et qui vient presque automatiquement:
"faire gagner tout ce qui nous rassemble.... est plus fort que ce qui nous divise."

C'est malin mais ça ne suffira pas.
Il ne me semble pas que les médias lui soient hostiles, bien au contraire. Le Parisien, comme plein d'autres journaux, met en ligne des sondages, pensez-vous que Valls soit le bon candidat pour les socialistes (le sens global de la question), le résultat est sans discussion, plus de 85 % ne le pensent pas. Résultat, le Parisien annonce qu'une majorité de socialistes pensent que Valls est le meilleur candidat pour la gauche....
On sait bien que le PS est mort, Valls ne peut donc pas être le candidat du PS, il faut enterrer ce parti et trier le grain de l'ivraie... et pour moi définitivement Valls est du camp de ceux qui ont trahi les électeurs de gauche. Il faut bien reconnaître qu'ils sont majoritaires dans les instances dirigeantes du PS.
Il a déclaré qu'il était candidat à l'élection présidentielle .

Mais a-t-il dit qu'il allait passer par la case primaire ?

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