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Trump et la Russie : le fiasco des medias US

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Mais du coup, les journalistes pro-Clinton (pléonasme ?), ils sont complotistes ou pas ?

Dans cette affaire l'important est que les démocrates, partisans de Clinton, ont avancé l'ingérence russe pour ne pas avoir à s'interroger sur leur propre responsabilité dans le fiasco de leur candidate.  Avancez à priori l'honnêteté des journal(...)

Donc la Russie s’immisce dans l'élection américaine (c'est prouvé), les gens ont raconté tout n'importe quoi sur Hillary Clinton (c'est prouvé), on se retrouve avec le pire président américain de tous les temps, et la presse qui a raconté tout ça se (...)

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..et la maison blanche fait parvenir un sympathique document à tous les médias pour leur dire en substance "le rapport Mueller a exonéré Trump, maintenant ce serait bien de foutre dehors tous les journalistes qui ont parlé de ça (sinon...)"

la lettre:

https://pbs.twimg.com/media/D2hqnetXQAULa2T.jpg

une opération rondement menée; d'abord on saborde l'enquête; ensuite on la censure; et pour finir on l'instrumentalise pour expliquer  qu'elle exonère totalement le "great leader" et qui si les journalistes continuent à moufter ils pourraient leur arriver des bricoles.

j'en remet une couche: Barr était déja célébre pour avoir couvert Reagan et Bush dans l'affaire des Contra Iraniens; avec pour surnom "coverup-general Barr". 

https://www.rawstory.com/2019/03/stunning-history-william-barrs-crusade-bury-evidence-protect-republican-presidents/

Barr a été embauché spécifiquement pour noyer le poisson sur l'affaire Mueller (c'est aussi Trump lui même qui le dit)

En fait on oublie le rôle qu'a eu Cambridge analatica ,qui eux sont vraiment impliqués.Mais ce sont des anglais. Et notre Macron qui  se croit aussi victime de l'ingérence russe.Il a belle notre complotiste en chef. Le seul russe qu'il connait c'est celui qui fricotait avec Benalla.


N'empêche, de manière générale, sans Poutine comme méchant universel, qu'est ce qu'on se ferait chier!

ah ba merde alors ( rien a voir avec la chronique mais nous allons être nombreux à l avoir mauvaise )

Et rien à dire sur ce Samedi?

Tant qu'a faire dans le décalage, à propos des vaccins, c'est là et c'est accablant:

Fiasco des médias US ? 

Trop fatigué pour traduire, voilà le résultat du fiasco :

 "32 indictments including 6 Trump officials, and prison time for Trump's lawyer, Trump's campaign chairman, Trump's national security adviser ...."

Reste à faire tomber le chef de la bande des mafieux, sa fille, son beau-fils...

C'est quoi l'article là? Je suis complètement décortiqué.e ou quoi? 

Y avait donc rien de plus important à dire, à éplucher ce lundi 24? 

Deux jours après un samedi 22?? 


Cette histoire de Russiagate sent mauvais depuis le début.


Avant Trump, le paysage médiatique US était clair : il y avait d'un côté Fox News qui était partisane d'une manière éhontée et choquante, puis de l'autre côté, il y avait les médias plus classiques (NYT, Wapo, CNN, MSNBC) qui désinformaient de manière plus traditionnelle avec toujours la prétention à la légitimité et à l'objectivité.


Evidemment, ce n'était qu'une façade. Le New York Times (avec Judith Miller notamment) avait apporté sa caution "libéral bon teint" à la sainte horreur qu'a représenté la guerre en Irak (le Washington Post également). La "systemic failure" de la presse américaine était déjà très apparente (traitement de l'Iran, de la Syrie, de la Libye, du Moyen-Orient, de l'Ukraine etc...). Toujours fidéle soldat de l'Etat profond américain. Très critique d'Obama quand celui-ci a décidé d'épargner l'Etat syrien de la sauce destructrice irakienne ou libyenne par exemple.


Mais avec la défaite de Clinton (personnage en vérité au moins aussi largement détestable que Trump), les médias libéraux qui gardaient la prétention d'avoir de la tenue au moins dans leur ton ont complètement fait sauter ces digues stylistiques et ont adopté le même ton. Résultat, le pays est plongé dans une haine partisane jamais vue, même du temps de G. W. Bush.


Pendant ce temps, heureusement, sont apparus des moyens de s'informer alternatifs qui nous libèrent de tout ce fatras indigeste que sont devenus les Mainstream Media ou "medias de références". Absolument menteur. Absolument partisan. Absolument inféodé aux puissances d'argent. The Intercept, Antiwar.com, Zero Hedge et quelques autres proposent des visions alternatives de tous les sujets. Evidemment, utiliser ce genre de ressources demandent de l'intelligence, de l'esprit critique et des efforts dont dispensent le prêt-à-penser des journaux de référence de tout poil (dont Daniel Schneiderman n'est finalement qu'un thuriféraire un peu contestataire à la marge, soit dit en passant).


Le fiasco du Russiagate ne doit pas faire gagner Fox News contre MSNBC et CNN. Il doit conduire tout le monde à se défaire du joug que ces mainstream media ineptes exercent sur notre temps de cerveau disponible.


Essayant par exemple de nous convaincre dans un même élan que Trump est le plus grand beauf de l'histoire avec un cerveau de moineau mais aussi un Janus à la hauteur du personnage le plus élaboré de John Le Carré.


Comme Assad qui se serait obstiné pendant cinq ans à utiliser de manière sporadique et absolument inefficace des armes chimiques dans le seul but de donner aux occidentaux un bâton pour le battre (les vraies "armes de destruction massive des années 2010 ne sont pas le Russiagate comme le dit Matt Taibbi mais les attaques chimiques en Syrie bien évidemment et c'est en fait les premières qui ont fait échouer les secondes dans le but de détruire une puissance arabe pas complètement soumise de plus - voir le vote du parlement anglais de l'été 2013 qui a fait douter Obama).


Les contradictions internes du discours dominant sont souvent tellement criantes et tellement peu dénoncées que ça donne le tournis si on choisit d'élargir un peu ses sources d'information et d'utiliser son jugement critique.


Vous pouvez prendre les cerveaux les mieux faits, si vous leur servez la soupe insipide des MSM, ils ne pourront pas "par miracle" appréhender la réalité autrement que dans ce cadre précontraint et abrutissant. Ca s'appelle "garbage in, garbage out".

Euh pour rappel l'enquête Mueller c'est une investigation officielle avec déjà au bout d'un an plus de personnes officiellement mises en cause (15 accusés 4 qui plaident coupables) que dans toute autre enquête de ce type à part le Watergate (voir comparaisons avec les affaires Whitewater, Iran-Contra, etc...).


S'ajoute à ça que les implications sont nettement plus graves si elle aboutit (la conspiration avec une puissance étrangère, si on y ajoute que le président défend des politiques pro-russes comme la levée de sanctions, peut conduire à une accusation de haute trahison, pas simplement à l'impeachment mais à ce qu'il finisse sa vie derrière des barreaux).


J'ai un peu de mal à voir comment on peut reprocher aux journalistes de s'être excités autour d'une affaire pareille, ou d'avoir cru que ça allait remonter jusqu'au président en voyant le rythme des mises en accusation, et certains très proches plaider coupable et accepter de témoigner. 


Evidemment il y a de l'aveuglement partisan qui a contribué à ce qu'ils y croient aussi profondément. Mais je n'imagine absolument pas que ça n'aurait pas été le cas même sans, donnée une affaire de même ampleur et gravité potentielle traitée avec le même rythme.


Un truc qui serait plus intéressant à analyser c'est comment Trump et ses médias ont réussi à détourner l'enquête, et le sens de son résultat grâce à l'usage systématique de l'élément de langage "collusion", peu à peu repris par tout le monde (terme qui ne veut rien dire en langage juridique, et en langage tout court autre chose que conspiration).


Mueller enquêtait sur une conspiration avec la Russie pour truquer l'élection. Il a trouvé qu'il n'y avait pas de preuves que Trump "se soit entendu ou coordonné avec la Russie dans ses efforts pour influencer l'élection présidentielle américaine de 2016".  Ca ne signifie pas qu'il ne puisse pas y avoir d'entente secrète entre Trump et la Russie (sens du terme collusion), simplement que s'il y en a une elle ne concerne pas les efforts de la Russie pour influencer l'élection présidentielle. 


Il était hors du cadre de l'enquête Mueller de s'intéresser aux liens anciens entre Trump et des oligarques russes par exemple, évoqués par son fils comme faisant partie des investisseurs lui ayant permis de redresser ses affaires ;  chose que la presse a mêlé à l'affaire car elle s'était mise à s'intéresser à tout signe d'une "collusion" en général. Et tout autant de s'intéresser aux contacts actuels entre Trump et Poutine, qui le conduisent par exemple à refuser que certains de leurs échanges soient enregistrés et accessibles à la commission des affaires étrangères, comme les présidents américains s'y étaient obligés jusqu'ici.


Enfin la presse obsédée par l'idée de "collusion" a bien trouvé des signes qu'il pourrait en avoir une. Mueller qui par contre cherchait une conspiration précise n'en a pas trouvé. C'est une autre chose qui explique l'écart entre ce qu'attendaient les journalistes et les résultats de l'enquête.


C'est dommage que peu de journalistes soient à la hauteur pour couvrir ce genre d'affaires, sinon on aurait droit à un questionnement sur le fond, comme par exemple: pourquoi donc les Russes auraient investis les moyens qu'on leur prête pour faire élire Trump ? 

Quand on connait le fonctionnement du gouvernement U.S. en matière de politique étrangère, on sait que les présidents successifs n'ont que peu d'influence sur le cours de choses, le sujet étant aux mains de "l'Etat permanent" (Kissinger and co. fut un temps, remplacés par John Bolton et d'autres). 

Est-ce que quelqu'un a vu un changement dans la doctrine interventionniste sous les gouvernements Clinton, Bush, Obama et maintenant Trump ?

Dans un duel il y a  généralement un gagnant et un perdant. 


ici, la mauvaise foi et les mensonges de la presse n'ont pas réussi à triompher des mensonges et de la mauvaise foi du Président.


Et le Procureur a renoncé à la procédure d'impeachment qu'il appelait pourtant de ses vœux.


Certains, comme D.S., en concluront que la mauvaise foi de la presse et des anti-Trump a essuyé une défaite, d'autres que celle du Président s'en est bien tirée.


Pour la vérité et la bonne foi, il faudra encore attendre.

Dans cette affaire l'important est que les démocrates, partisans de Clinton, ont avancé l'ingérence russe pour ne pas avoir à s'interroger sur leur propre responsabilité dans le fiasco de leur candidate.  Avancez à priori l'honnêteté des journalistes au service des démocrates est d'une grande naïveté. Voir la main russe dans tous les échecs des politiciens au service de l'oligarchie dominante (Brexit, crise des gilets jaune, etc.) relève de la même fonction de détournement du regard. La Russie essaye d'influencer la politique dans les autres pays en fonction de ses intérêts c'est une évidence, tellement évidente qu'elle est partagée par toutes les grandes puissances. Mais donner à la Russie plus de pouvoir qu'elle n'en a, en se subornant un candidat à la présidentielle c'est du même coup révéler l'incompétence totale des politiciens, de l'administration, des médias et des services de renseignements américains.


Bien sûr, le désarroi des journalistes a dû être fort chaque fois qu'une enquête aboutissait à un manque de preuves malgré les évidences contre Al Capone, Niel, Sarkozy etc...


Le désarroi des lecteurs aussi

il fallait lire 

"William Barr; attorney general appointé par Trump spécifiquement pour le couvrir; a censuré la diffusion du rapport Mueller et a diffusé un "résumé" d'une version qui lui convenait" putain essayez de suivre.

Les mecs mentent comme ils respirent et pratiquent l'intimidation continuellement mais il faudrait les croire sur parole; et la presse comme d'habitude crée sa petite histoire fantasmée. Sinon tout les gens qui ont entouré Trump ont été condamnés, Cohen a temoigné des horreurs qu'il connaissait; la collusion ne fait aucun doute auprès des gens attentifs; et si il y avait que ça. Et lire de "bon matin" que la presse se serait  "acharné contre Trump"; elle qui l'as fait élire; et qui continue avec ses histoires à dormir debout;  je sais pas si il faut en rire ou en pleurer.

https://twitter.com/Kasparov63/status/1109957146249187328

https://twitter.com/waltshaub/status/1109906361524068352


Lol quand ASI découvre que les principaux pourvoyeurs de fake news sont les médias eux-mêmes mdr

Avec les GJ on en a entendu des belles, le coup du complot bachelet-chavez-mélenchon m'a bien fait rire (en oubliant qu'il n'y a pas que l'ONU qui ait critiqué la france sur le sujet ...)


Si je devais lister toutes les fake news de la presse française des dernières années ... j'en aurais pour des jours de boulot. 

Donc la Russie s’immisce dans l'élection américaine (c'est prouvé), les gens ont raconté tout n'importe quoi sur Hillary Clinton (c'est prouvé), on se retrouve avec le pire président américain de tous les temps, et la presse qui a raconté tout ça se fait critiquer parce que  Mueller n'a pas réussi a prouver une collusion formelle entre Trump et Poutine ? 


Il n'y a aucune logique dans ce que vous dites, Daniel Scheidermann. Je sais que vous aimez bien critiquer les journalistes, mais le fait qu'ils aient rapporté les disfonctionnements qui se sont produits au cours de la dernière élection présidentielle est tout à leur honneur.


Trump échappera sans doute à la Justice. Comme Woerth, Pasqua, et sans doute aussi Sarkozy. S'acharner sur les journalistes qui critiquent à raison ces hommes corrompus, malfaisants et comploteurs est vraiment très bas de votre part, DS.


On peut quand même légitimement reprocher à certains journalistes d'avoir insisté sur l'existence d'un complot ourdi par Trump et son entourage sans en avoir la moindre preuve.

Ce qui n'empêche absolument pas de penser que ledit complot a bien existé (qu'ils fassent leur boulot d'investigation dans ce cas !), mais surtout que sans l'intervention des "hackers russes", la candidate du système aurait probablement gagné les élections...

Les journalistes ont rapporté les faits à savoir que l'équipe Trump a été en contact avec des russes soupçonnés d'être membres des services secrets, peu de temps avant que des hackers du groupe APT 28/"fancy bear" (que l'on soupçonne fortement d'être lié au GRU, le renseignement militaire russe) lancent une attaque contre les démocrates.


A partir de là, n'importe qui (sauf un supporteur de Trump) devrait se poser des questions... Que l'on prouve ou non la collusion n'enlève rien à ces faits.

Vous connaissez beaucoup de pays dans lesquels aucune puissance etrangere ne se mele d'influencer le debat politique ?

Vous connaissez beaucoup de pays où cette influence est une bonne chose ?

C’est trop demander aux journalistes de faire un travail factuel et analytique, et de nous laisser faire notre opinion, plutôt que de nous dire quoi penser ?


Vous avez vu l’émission de vendredi ? La parole anti vaccins primaire est d’autant plus audible et perceptible que les médias mainstream ne laissent la parole qu’aux provaccins primaires, sans laisser la parole aux positions modérées. Et bah c’est le même mécanisme en politique.

Les journalistes ont fait ce travail factuel et analytique. Sauf les pro-Trump qui eux étaient bien dans l'opinion et le déni des faits, mais bon ça c'est habituel.


Quant aux vaccins, il n'y a pas de "modérés". Il y a ceux qui défendent la vérité scientifique, et les complotistes qui fantasment sur tout et n'importe quoi.

« La vérité scientifique ». Je crois que depuis Auguste Comte, on a à peu près compris que cette expression n’a aucun sens. Vous avez 150 ans de lectures à rattraper, bon courage !

Cette expression fait du sens: l'état de l'art des connaissances scientifiques constitue, à tout moment, ce qui se rapproche le plus de la vérité. C'est la méthode scientifique qui nous permet de connaître le monde, et comme on le dit un peu vulgairementen anglais: "Science: it works, bitch". Je sais que ça en fait rager certains, qui détestent la science et préfèrent se réfugier dans leurs croyances confortables. Quelque chose me dit que vous faites partie de cette dernière catégorie.

bien vu !


Mais laissons Tristan à sa "croyance" dans la "vérité scientifique" et ses bienfaits (bombe nucléaire, fichage/marquage/puçage... entre autres)


Étant d'une nature plutôt sceptique et d'un sens critique assez exacerbé, je pense que je serai plutôt rangée du côté des "complotistes" par les  "scientistes" ?


En fait, je m'en tape ;))

Les modérés il y en a, c'est ceux qui défendent la vérité scientifique. Que le rapport bénéfice/risques n'est pas toujours bon selon le vaccin, que certains points méritent d'être étudiés et approfondi, que l'on ne peut traiter le sujet de manière globale «les vaccins». La vérité scientifique est souvent en mauvaise position, tant dans les discours des pros et des anti vaccins.

Ce que vous appelez "modérés", les antivax les appellent "pro-vaccins". question de définition.

"Une vérité scientifique est une proposition construite par un raisonnement rigoureux, et vérifiée par l'expérience. " 


Donc on peut dire que les vaccins reposent sur une vérité scientifique. Les vaccins vaccinent cela est vérifié par l'expérience.


Ce qui est mis en cause dans le nouveau protocole de vaccinations obligatoires c'est le nombre de vaccins, administrés en une seule fois, à des nouveaux-nés.


Là par contre on n'a pas de recul. C'est la première fois que ça se fait tant en France qu'à l'étranger, sauf erreur de ma part.


Pour pouvoir valider les bénéfices/risques il faudra attendre des décennies. 



On ne sait pas encore si c'est le pire président américain. Il fait beaucoup de bruit, alimente le business médiatique du "scandale" mais au final, sa présidence donne quoi politiquement, économiquement etc. ? Son incompétence ne fait-elle pas qu'en dépit des grandes déclarations il ne fait pas grand chose ? En matière de pire, que faut-il par exemple penser du couple Bush-Cheney, 2001-2009, guerre d'Irak et finance en roue libre jusqu'à la crise des subprimes ?

Effectivement, il faudra un peu de recul pour savoir si c'est vraiment le pire président américain (notion très subjective de toute façon). Bush-Cheney ont été horribles (surtout en ce qui concerne la politique extérieure), mais les dégats qu'ils ont fait peuvent (en partie) être réparés. 


Avec Trump, j'ai l'impression que le problème est plus intérieur, il divise de manière irréconciliable l'Amérique, détruit les valeurs communes pour les remplacer par un partisianisme et un mécanisme d'adhésion clanique, qui conduit à rejeter la réalité même des faits pour se complaire dans une "bulle", phénomène renforcé par le fonctionnement des réseaux sociaux.

mais les dégats qu'ils ont fait peuvent (en partie) être réparés. 


sans doute que les quelques centaines de milliers de leurs victimes vont pouvoir ressusciter ?


C'est super "scientifique" ça...

On ne fera pas revenir les morts, mais on peut rétablir la paix. Vous comprenez ce que signifie "en partie" ?

Samedi:



Dimanche:

Y'a quand même deux ou trois phrases qui me laissent pantois...

- "Mueller rappelle que des hackers russes ont intoxiqué la campagne américaine, et particulièrement saboté la campagne Clinton (on le savait déjà)". J'ai donc relu l'article proposé en lien... et on "sait" quoi à la lecture de tout ça ? Rien du tout. On sait juste que la Russie est tellement loin d'avoir les simples moyens technologiques et financiers pour déployer tous les réseaux d'influence et d'ingérence qu'on lui prête. Ca oui. Mais votre article de 2016 ne démontre rien... cet article parle peu de la Russie et se contente de rapporter des allégations plus ou moins démontrées. Les "Russes" (quels Russes ? Services secrets ? Hackers ? Qui ? Quand ? Comment ?... rien, nada) ont "particulièrement s

Mais du coup, les journalistes pro-Clinton (pléonasme ?), ils sont complotistes ou pas ?

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