Nos Vies Numériques - 9
Devant la réputation de "désocialisation" et de "virtualisation" faite à la vie numérique, on ne se lassera jamais de rappeler combien nos connexions internautiques offrent au contraire une formidable dynamique d'accélération et d'intensification de nos expériences sociales. A commencer par celles qui constituent la vie d'artiste, et particulièrement du spectacle vivant - qui est tout sauf asocial et virtuel.
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Derniers commentaires
Je me rappelle avoir trainé pas mal pendant un temps sur FB, partageant des choses sur tout ce qui est agro-écologie et autre. Mais au final, ce qui m'a permis de réellement penser mon projet, c'est une foire locale ou j'ai pu discuter avec un agriculteur d'une association de ferme-école... Pas ces milliers de statuts FB sur le sujet. D'ailleurs, en Mars, je suis parti pour retourner aux champs.
Au final, le net est utile comme outil pour les gens déjà connectés entre eux dans le réel. Pour les autres, c'est une perte d'énergie: Un projet concret ne se monte qu'avec des gens proches de vous géographiquement.
Paris, c'est loin pour moi....
Soyons honnête, je ne mets jamais les pieds au théatre. Par par manque de goût ou d'envie, il y a pourtant un beau théatre à Bourg en Bresse, par manque de culture théatrale, et surtout par manque de temps.
Mais là, je me serais débrouillé. Lordon, Judith.... impossible de rater ça !
Mais bon, le monde réel et ses kilomètres....
Bon vent à ce projet, tous mes voeux d'Ain-dien, et qui sait ?...
[quote=Judith]Ne vous inquiétez pas, les D@ns le texte vont revenir, ils seront même plus fréquents qu'avant. Mais on opère quelques changements, on met en place quelque chose de nouveau (vous verrez... suspense !), et c'est ce processus-là, qui réclame du temps. A l'arrivée, vous serez comblé, soyez rassuré.
Et oui, le numérique, c'est pas si virtuel que ça, en tout cas pas que. Innombrables les rencontres que nous lui devons. Le vieux monsieur à barbe blanche du premier rang, ce n'est que le petit plus qui souligne que ceux qu'on rencontre sont bien réels. Parce qu'à force de parler de virtuel on oublie ça, que nous existons tous "pour de vrai", que nous avons tous de vraies vies, et que le numérique, loin de s'y opposer, en fait désormais partie. Et les enrichit, considérablement.
A titre de comparaison s'agissant d'un spectacle "politique", le parti pris est plus artistique et moins basé sur des savoirs "chauds" que les conférences gesticulées de Franck Lepage, pour un résultat sensiblement différent.
Et puis il y a le plaisir de retrouver Judith sans écran interposé, et dans un autre exercice !
Merci Judith, et à bientôt
Parce que, on dirait que les critiques ne sont pas tendres :
En voici une,
Une autre (avec un titre rigolo : Marx attacks !),
Ou encore ici, dans L'Huma
Mais il manque un élément : ON CLIQUE OÙ POUR RÉSERVER UNE (ou deux) PLACES ?
Merci pour tout, à bientôt !
Je commence par la fin : « cette chronique s'achève au moment exact où mon spectacle s'envole ».
Ainsi donc vous vous envolez. Etait-il vraiment besoin de le faire alors que tous, nous savions que vous étiez au dessus ?
"derrière le "on" mon "je" était partout,
chacun l'aura compris, et voici qu'il explose in extremis
en un ego parfaitement autopromotionnel. "
Mais après tout....
gamma
"Pas forcément exactement là où on l'attend" : cela voudrait-il dire ailleurs que sur ASI?
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