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Menès : le dernier mot

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Plusieurs jours que je voulais poster ça, l'entretien de Ruffin avec Barbara Stiegler, alors tant pis - si trois jours durant, avant pendant après, il n'y en a plus que pour un seul sujet dans lémédia (après l'unef et je sais même plus quoi et avant (...)

Arrêtons de crier : " haro sur le baudet " ( bien que le terme  " baudet " soit particulièrement adapté , à son cas ).


Soyons magnanimes et généreuses,  et, reconnaissons que la meilleure   défense possible de ce minable, c'est son phys(...)

De l'art de s'excuser sans s'excuser. Comme le gouvernement, aucune remise en cause des actions, seulement une fausse humilité qui se résume à dire qu'on a manqué de pédagogie, et donc reporter la faute sur les autres. Ménès fait pareil, c'est la fau(...)

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Finalement, Pierre Ménès nous montre ce pourquoi il est embauché à canal : pour être un vulgaire crétin démagogique et grossier. Que la misogynie appliquée à ses superficielles poupées de studio fasse partie de son outillage ne devrait surprendre personne.

En définitive ce qui nous choque c'est cette industrie télévisuelle sordide. Si on ne la regardait pas, elle n'existerait pas.

Connaissez-vous Alexandre Ruiz ?

Non ?... vous ne perdez rien.

Je lis aujourd'hui que CANAL + va engager une enquête interne sur Menez suite aux révélations du documentaire "Je ne suis pas une salope. Je suis journaliste". Tant qu'ils y sont à Canal, pourraient-ils enquêter pour savoir qui a censuré la partie concernant justement Menez et le(s) donneur(s) d'ordre. Merci!! 

Chez Bolloré, on n'ose tout. C'est formidable!!!

Au final, le pire est peut être l'excuse qui ne passerait pas pour un gosse de CE2 qui aurait oublié de faire ses devoirs "comprenez, j'étais pas dans mon état normal". 


Mais en état pour tenir ladite émission, oui, évidemment. 


C'est assez navrant, à l'image de la chaîne qui à le cynisme de 1/faire de l'audimat avec cette affaire 2/faire preuve d'une fausse transparence 3/victimiser ce malheureux Menes (pov'chou). 




Quelle triste époque pour Valeurs actuelle, le figaro et toute la fachosphere. Les pauvres disent matin, midi et soir qu'ils ne peuvent plus rien faire, rien dire. Ils ne peuvent plus violer les filles. Ils be peuvent plus éructer des propos racistes, homophobes sans être critiqué par des islamigauchistes. 

 "Il insiste sur "aujourd'hui". "Le monde a changé, on peut plus rien faire, on peut plus rien dire" (faut-il comprendre qu'il le referait volontiers si c'était à refaire hier ?)."


Bien sûr qu'il le referait, non pas hier (c'est déjà fait) mais aujourd'hui et aussi demain s'il n'y avait pas, désormais, plein de femmes et même quelques hommes pour que ce soit désormais impossible de le faire sans se ramasser, au moins moralement, une baffe. 


Ça, c'est gagné, en effet. Mais gagné pour combien de temps si nous laissons ces minables reprendre leur ancienne superbe. On les verrait alors de nouveau humilier, abuser, violenter et s'en vanter. Tout en faisant s'esclaffer un parterre de lâches courtisans.

Merci Daniel, 

cette histoire est à la fois paradigmatique et pathétique.

Cette question du respect des femmes dans le milieu le plus macho qui puisse seulement s'imaginer (quoique que l'assemblée nationale il n'y a pas si longtemps ...), c'est une sorte d'agrandissement de ce qui se passe dans la société. Le pauvre Mr Menès ne comprend pas, mais vraiment, il semble essayer, mais il ne comprend pas. 

Il les aime "ses" journalistes, avec sans doute une certaine admiration et un évident désir de croquer la chair fraîche.

Demanderait-on à un ogre de ne pas dévorer le Petit Poucet et ses frères  sous prétexte qu'ils ont le droit de vivre ?

Ah bon?! On ne soulève pas la jupe d'une femme en public? Il est resté dans la cour de récréation de l'école maternelle!

Ces trois étapes montrent bien à quel point est important : Le temps pour comprendre. Des hommes comme ce Mr Menes nécessite d'un temps pour comprendre, pour sortir de la cour de récré de maternelle. Il n'est pas encore parvenu à la cour des adultes, mais ...

Et les filles, pendant ce même temps montent de classe, grandissent plus vite, peuvent regarder de haut l'ogre régi par ses pulsions, elles sont je le crois, non plus humiliées, parce qu'elles mettent de leur côté les rieurs, mais atterrées.

Merci aussi à Marie Portolano.

 


Certes trois minutes affligeantes, alucinantes même, et dire qu'il en reste 14 encore à découvrir ! Découvrir quoi ou qui ? Un type qui dit qu'il a été embauché pour ce qu'il est ..et c'est sans doute vrai en effet,  embauché parce que lourdingue,  goujat et  mufle de compétition à un salaire dont tout le monde devrait avoir honte, ceux qui le lui versent, lui qui le touche et ceux qui le regardent encore, bref un triste sire  qui fait qu'on ne peut que regretter d'avoir été classé dans la même catégorie que lui par l'officier d'état civil : genre masculin !! Hélas il semblerai qu'il y en ait encore et toujours beaucoup de sa catégorie !!

Et mettre des nouilles dans le slip d'un chroniqueur, est-ce qu'Hanouna le referait aujourd'hui? Non, parce qu'en matière d'humilier les gens, il s'y connait.

De l'art de s'excuser sans s'excuser. Comme le gouvernement, aucune remise en cause des actions, seulement une fausse humilité qui se résume à dire qu'on a manqué de pédagogie, et donc reporter la faute sur les autres. Ménès fait pareil, c'est la faute à l'intolérance de l'époque, qui brime ses libertés. Il se cache même derrière sa femme, "c'est surtout horrible pour ma femme, qui se fait insulter". Des irreponsables.

A nous faire regretter le Thierry Roland tellement méchant et bête qu'il en devenait marrant !


Mènes aurait pu dire " Je vous agresses mes plus plates excuses " s'il avait plus de trois neurones.

Las, Porky ...


Hier message de Bo .... ues Télécon : " Abonné XYZ, aujourd'hui la 5G est accessible ... "

Résultat : panne générale des téléphones fixes et Haute Line saturée sur messagerie !

L'éclate totale de rire et forcé d'utiliser mon téléphone GSM à 4G !

Hier soir, au moment où Pierre Menès parlait, j'ai écouté L'heure Bleue de Laure Adler qui recevait Pierre Gagnaire, le grand cuisinier. Un homme qui parle avec sincérité de son métier de sa vie. 

Et puis subitement, un silence. C'est impressionnant le silence à la radio quand ça dure plus de 5 secondes. J'ai cru à un problème technique. “Vous êtes émus Pierre, vous voulez que nous passions une archive, une belle archive que nous avons préparé pour vous !” Encore le silence. “Oui, je veux bien… ”

Avant que le silence s'installe, Laure Adler avait posé la question : “Quelles sont les deux ou trois idées que vous avez dans la tronche ?” Et Pierre Gagnaire de répondre : Respecter les gens… … …

Le respect, l'idée du respect de l'autre qui va plonger Pierre Gagnaire dans un silence tellement fort qu'il m'a ému, moi aussi, au plus au point. C'est sans doute ce qui manque à toutes ces personnes qui prennent la lumière en écrasant les autres. Le respect.

Plusieurs jours que je voulais poster ça, l'entretien de Ruffin avec Barbara Stiegler, alors tant pis - si trois jours durant, avant pendant après, il n'y en a plus que pour un seul sujet dans lémédia (après l'unef et je sais même plus quoi et avant le prochain ?) - alors là tant pis pour le hors sujet.



(l'autre jour j'avais noté qqs passages, mais je ne sais plus où, tant pis)

Le problème n'est pas tant Ménès que Canal +, qui a bien l'intention de le protéger jusqu'au bout. Après Morandini et Zemmour, ils ne sont plus à ça près. Et dire que Schiappa dédouane Canal, c'est dingue d'être à ce point à côté de la plaque.

Arrêtons de crier : " haro sur le baudet " ( bien que le terme  " baudet " soit particulièrement adapté , à son cas ).


Soyons magnanimes et généreuses,  et, reconnaissons que la meilleure   défense possible de ce minable, c'est son physique ingrat,  ses capacités intellectuelles déficientes, et sa morale défaillante. 

C'est drôle, je n'ai pas le sentiment qu'en 5 ans, tout ait changé.

Qu'en 2021 on ne peut plus rien dire ni faire, mais qu'en 2016 tout était permis.

Sans doute parce qu'il ne s'agit pas d'une question d'époque, mais d'éducation.

" Dernier mot ! "


Le  " dernier mot "  de Bolloré sera  : " Combien ? " :


 - si le départ de Menès est rentable ;


- ou, le   coût  , s'il peut rester ( malgré ces infractions pénales évidentes ) 


Combien, combien, combien .....?

Hébé, un matinaute bien matinal ce matin.


En même temps, ce genre d’histoire, y’a de quoi nous empêcher de dormir.


Vivement 2022 ! Franchement, on va encore faire voter les français pour un(e) président(e) malsain(e) et incompétent(e), mais au moins on va bien se marrer !

Et comment l'agresseur se transforme devant les caméras et les téléspectateurs en victime.  Le numéro de prestidigitation de Hanouna est bien huilé.  

Un bien bel empire qui permet de créer des synergies entre ses différentes chaînes pour aller se disculper et faire de l'audience en même (avant, pendant et après). C'est bien foutu leur truc...

Et pas cynique du tout. C'est chouette de se concentrer sur la bienveillance en ce moment !

Merci Daniel... En vous lisant j'en arrive à me demander si quelque part sur terre, il y aurait une façon douce et tendre et consensuelle de  "soulever les jupes des filles"... Faudrait-il laisser le vent faire ? 


Me revient la chanson de Souchon et son refrain printanier... 


Et la vie toute entière
Absorbés par cette affaire
Par ce jeu de dupes
Voir sous les jupes des filles


Peut-on encore dire ceci aujourd'hui ???


Elles dans l'suave
La faiblesse des hommes elles savent
Que la seule chose qui tourne sur terre
C'est leurs robes légères


Il faudrait relire l'intégralité des paroles, et en particulier celles-ci...


Si parfois ça les gène et qu'elles veulent pas
Qu'on regarde leurs guibolles les garçons s'affolent de ça

Alors faut qu'ça tombe
Les hommes ou bien les palombes
Les bières les Khmers rouges
Le moindre chevreuil qui bouge
Fanfare bleu blanc rage
Verres de rouge et vert de rage
L'honneur des milices
Tu seras un homme mon fils

Les chansons racontent la vie... du moins telle qu'une époque la voit.


Autre temps ("Mon homme"), c'était il y a juste un siècle, la préhistoire...


Ce n'est pas qu'il soit beau, qu'il soit riche ni costaud
Mais je l'aime
C'est idiot !


Il me fout des coups
Il me prend mes sous
Je suis à bout
Mais malgré tout
Que voulez-vous


Je l'ai tellement dans la peau
Que j'en deviens marteau
Dès qu'il s'approche c'est fini
Je suis à lui 


Etc.

... c'était il y a juste un siècle, la préhistoire ...




Enfin un peu de douceur dans ce monde de brutes !

bonne remarque !

bon rappel.


Mistinguett et Juliette Greco ne sont plus là pour rendre des comptes pour avoir chanté une telle ignominie 


;-)

ben mon grand , c'est bien connu que la frustration sexuelle est la meilleure manière d'obtenir une bête fauve d'un homme.... cette chanson explique tout , ne valide aucun comportement a la MÈNES.

"Que la seule chose qui tourne sur terre
C'est leurs robes légères
" ça c'est sûr !


"Si parfois ça les gène et qu'elles veulent pas" ben ce sont des choses qui arrivent


"Qu'on regarde leurs guibolles les garçons s'affolent de ça " CA c'est LE problème ( Menès en l'occurence)

 

Il se rappelle quand il était petit garçon, et je n'ai pas l'impression qu'il donne raison aux hommes vu les 8 derniers vers que vous postez!

Féminisme libertin, féminisme puritain... ce balancier oscille depuis des siècles. En tout cas c'est sûr que la comparaison du delicat Souchon et du répugnant Ménès ne vaut que pour souligner le contraste.

J'écoute Souchon depuis trèèèèès longtemps. J'ai découvert à sa sortie et adoré l'album dont est extraite cette chanson. Et bien, cette chanson justement m'a toujours mis extrêmement mal à l'aise. Pourquoi? Parce que non content de soulever les jupes de filles même quand elles ne le veulent pas, que celles-ci leur fassent tourner la tête à ces pov'zommes, il faudrait aussi qu'elles soient responsables du bordel mondial. Génial. Merci. En synthèse, un seul mot: les hommes sont des irresponsables sur toute la ligne.

*une seule phrase.

c'est pas du tout comme ça que je l'entends : en tout cas il ne s'agit pas de dédouaner les hommes, mais bien de mettre en relation "le bordel mondial" avec l'incapacité de supporter la frustration. Et, oui, un homme qui n'est pas capable d'accepter qu'une femme "lui résiste", c'est un homme qui n'est, plus profondément, pas capable de respecter son prochain.

Je suis d'accord avec vous. Cette chanson n'est absolument pas une ode au soulevage de juppe. Je pense que ça va même plus loin que ce que vous décrivez.

La frustration d'une femme qui dit non est effectivement insupportable pour cet "homme" de la chanson, car elle détruit ce qu'il pense être sa propre masculinité. Son seul autre recours pour "devenir un homme", c'est de jouer des biscotos, chasser, boire, tuer. 

Souchon met en scène ces clichés de la masculinité avec beaucoup de poésie, mais le passage est d'autant plus fort grâce aux deux derniers mots: ", mon fils". Toute cette puérilité masculiniste se lègue, s'encourage et se transmet. "Tu seras un homme, mon fils". Ca ouvre une puissante réflexion sur le rôle des parents, et du père, notamment.

Je ne suis pas fan de souchon, mais il est capable de ce genre de fulgurances qui forcent mon admiration.

Wouah, vous poussez l'art de l'analyse jusque sous les .. boxers des messieurs. Merci ça fait un bien fou. 

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