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Tout ce bazar est quand même un putain d’aveu en loucedé que les actionnaires sont des parasites si ne pas leur verser de dividendes permet de « soutenir l’économie » ?

Il ne parle pas de ça non plus Mr Seux... ce matin dans médiapart...  Voilà l'après pire qu'avant je le crains !

Hôpital public: la note explosive de la Caisse des dépôts

PAR  ET 

À l(...)

J'ai remarqué que sur certains sujets, Monsieur Seux est prudent,  réservé, modeste et même feutré.


Sur la question des dividendes, je  le trouve , même, confiné.


Quant au gouvernement, je ne comprend pas pourquoi les gens lui en veulent auta(...)

Derniers commentaires

Le langage économique est-il fait pour ne pas être compris par le citoyen lambda? c'est à le croire. Quand vous dites "rachat d'action pour Vivendi", moi je comprends bêtement Vivendi va racheter des actions de son entreprise possédés par d'autres. Or celà semble être tout l'inverse. Vivendi "cède" 10% de son capital dans la société machin truc. Je suppose que cela veut dire qu'elle les vends. Mais alors pourquoi ne pas dire "vente d'actions"? quelqu'un peut il m'expliquer le truc que je pige pas? Sur le reste bien sûr qu'ils se moquent de nous ces hommes d'état qui n'agissent plus en hommes d'état. Mais la moquerie du citoyen est la norme non? surtout par les temps qui courent. 

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Il apparaît nettement que la situation n'apparaît pour les gens de la Finance que l'opportunité de faire des affaires juteuses , nous le savions, le subodorions,  le voilà ce souci nettement dévoilé.. 

 

Ce qui me dérange ce n'est pas tellement les dividendes  mais les profits quels qu'ils soient quand ils sont disproportionnés.  


Je ne sais pas s'il y a obligatoirement un lien entre la distribution des dividendes et la destruction du service public. 


L'objectif d'une entreprise c'est le profit à juste titre sinon elle disparaît. 


Tandis que le service public à pour but de satisfaire l'intérêt général son but n'est pas le profit. Du coup quand on gère un service public comme une entreprise privée c'est ce principe là que l'on remet en cause. C'est le profit que devient la priorité au détriment de l'intérêt général.


On le sait ça quand on vote. Macron ne nous a pas menti.


Adapté à l’hôpital cela donne la situation que nous constatons aujourd'hui. 

Pénurie de moyens, on ne peut pas soigner tout le monde donc on trie ; dans une certaine indifférence générale, des médecins déclarent qu'ils n'intuberont plus les personnes de plus de 75 ans, comorbidités ou pas. 

C'est repris régulièrement sur les chaînes d'info ;  ainsi la population s'habitue progressivement à ce nouveau principe. On n'entend pas beaucoup de protestations la-dessus d'ailleurs.


Il me revient en mémoire un fait divers, à une époque ou il y avait des détournements d'avions. 

Un passager avait été désigné par les preneurs d'otages pour être torturé en direct.  

Il en était sorti vivant mais quelque peu traumatisé quand même. Il avait été notamment beaucoup marqué par l'attitude des autres passagers au moment de sa désignation. Il avait perçu un retrait, un recul de ceux qui l'entouraient. L'air de dire on a rien à voir avec lui. Grand moment de solitude.


Dans le cas des personnes de plus de 75 ans que l'on va laisser mourir, j'y vois un peu la même attitude de la part de ceux qui ne sont pas concernés.


Un jour ne sera-ce pas le tour des diabétiques, des obèses, des alcooliques etc. N'y a t-il pas déjà eu quelque chose qui ressemble un peu à cela dans le passé ?






ATTESTATION DE DéPLACEMENT DéROGATOIRE 

===========================================



Je soussigné, Gérard DARMANIN, né le 11 octobre 1982,


certifie que  mon déplacement est lié aux motifs suivants :


- déplacement  du financement du budget de l'Etat  vers  la Charité Publique 


-  ce déplacement  ( provisoirement dérogatoire )' permettra que l 'aumône finance le Trésor Public dans la mesure où j'ai supprimé   ( avec brio )  l'ISF, créé le CICE, et la flat tax.


J'auto-atteste que je suis un ministre responsable  et que ma connerie n'est pas masquée.

Heureux de lire cette chronique. Ça fait plus de 2 semaines que je me demande pourquoi les salles de marché ne sont pas confinées .La partie de Monopoly n’a pas été arrêtée. J’imagine qu’il y a des raisons qui nécessitent des compétences qui me sont étrangères. Si les cours s’effondrent, cela ne révèle qu’une trouille hystérique des gros détenteurs d’actions. La solidarité ne voudrait-elle pas que l’on garde ses actions pour soutenir les entreprises au moment du deconfinement pour le maintien de l’emploi ?

Darmanin :  " Je lance un grand appel à la solidarité nationale. "


                        " Ceux  ( °°° ) qui le souhaitent pourront faire un don " ( à l'exception des redevables de l'ISf  )


 " Non , je déconne : Poisson d'Avril "


(  " En fait, je vous pisse à la raie ! "  )


( °°°° j'ai pas dit Seux qui le souhaite , d'ailleurs  Seux ne le souhaite jamais)

Business as usual !


Petit avant-goût pour ceux qui croient encore que l'après-coronavirus sera par magie différent de l'avant...

1er avril 2020 ?  PoiSon d'avril !


Les confinés sont confinés

Les dividendes dans l'Enfer de Dante

Seux, et ceux, se ponce -Pilate- les mains aux bidet.


Écoutons Radio Atchoum :


 


 

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Pour ce qu'il en sera du monde d'après, j'ai consulté par Whatsapps ma cafédomancienne préférée, Mlle Irma.


Elle m'a dit qu'elle était en rupture de marc d'arabica mais qu'elle allait consulter son vieux grimoire rédigé de la main même de Nostradamus.


Un quart d'heure plus tard, elle m'a rappelé pour me lire la vision du Maître de Salon de Provence :


« En l’an maudit des deux vins, un mal affreux portant nom de cervoise mettra les hommes en bière. »

« Pour éviter la faillite de l’âme, les masques s’affubleront de becs de canard. »


Diable, ça fout les chocottes, me suis-je exclamé...   Et qu'a-t-il prévu pour la suite ?


« Quand s’éteindra le mal, l’homme, comptant les autres hommes, verra de nombreux corps jeunes et presque autant de corps vieillis ; beaucoup de bruit pour rien. ».


Ouf ! J'ai remercié Mlle Irma et  me suis empressé de suivre les conseils d'une autre extralucide nommée Agnès Pannier-Runacher.


Voilà, j'ai fais quelques emplettes au CAC 40 et ce soir, je pourrais l'esprit tranquille youporner après ma prière du soir.

A quand une association d'actionnariat pour prolos ?

A l'instar des Alternatives économiques, le Media, la Banque la Nef, les marchés/amap/coopératives alimentaires, etc etc

Beaucoup d'alternatives écolo-sociales existent ou émergent.

 Pourquoi est-ce qu'une ONG ne déciderait pas d'aider les prolos à acheter des actions ?


Moralement, je suis contre la spéculation, mais j'imagine que ce n'est pas le cas de toute la population ?

Est-ce que cela n'aiderait pas à redistribuer un peu mieux les richesses dotant que celles-ci on le sait ne cessent d'augmenter au contraire des salaires (des métiers dits pénibles/utiles). Et qui bénéficient surtout de la financiarisation/boursification des marchés les ultra et les riches.


Où sont les traders altermondialistes ?


Je ne voudrais pas défendre Dominique Seux mais un rachat d'action n'est pas forcément une manière déguisée de rémunérer ses actionnaires. Le rachat d'action par une entreprise (à une tarif supérieur au cours) est surtout un moyen de rehausser le cours en effet (le rachat implique une destruction de ces même actions, en en diminuant le nombre, on augmente mécaniquement la valeur de celles qui reste), mais cela ne servirait les intérêts des actionnaires que ci ceux ci vendaient leur participation. Le but est donc de fidéliser les actionnaires mais aussi et surtout de se protéger d'une éventuelle OPA d'un concurrent qui profiterait de la baisse du cours pour prendre possession de la société. C'est donc aussi un mécanisme de défense. 

Il ne faut pas voir le mal partout


Il y a malheureusement deux gros points aveugles dans votre chronique, cher Daniel :


- Le rachat d'actions désigne une opération cannibale où l'entreprise rachète une partie de ses actions. Ce faisant, elle gonfle par pur effet comptable l'indicateur BPA (Bénéfices Par Action) qui est regardé de près par les investisseurs. Ceci dit, puisque le BPA augmente, ça peut expliquer l'apparition de rôdeurs financiers venus de tous horizons.
L'excellent vidéaste Heu?reka explique probablement tout ça dans cette vidéo : https://www.youtube.com/watch?v=NhH010TlitE


- Les dividendes ne sont pas le seul moyen de rémunérer les actionnaires. Quand une entreprise verse des dividendes, elle décaisse tout logiquement, donc sa trésorerie baisse, donc ses capacités d'investissement baissent, donc sa valeur boursière baisse. À vrai dire, si les taxes sur les dividendes et les plus-values boursières étaient nulles, recevoir des dividendes ou revendre des actions serait strictement équivalent pour l'actionnaire. Si les entreprises ont tendance à verser des dividendes, c'est que la fiscalité associée est plus avantageuse pour les actionnaires.


édifiant mais je pense que le constat sera beaucoup plus déprimant , je doute que qu'il y ait le moindre changement dans la société... allez peut être que les gens adopteront quelques réflexes  comme se laver plus systématiquement les mains et porter un  masque en cas de maladie mais je doute que ça aille beaucoup plus loin.

Ça va consommer comme jamais pour compenser un manque qui s'est accumule au fil des semaines de confinement. 


Pour le moment je pense surtout a tous les gens qui se retrouvent sans travail et sans ressources dans une détresse considérable..... C'est a eux en premier qu'il aurait fallu refiler les dividendes pour ,a défaut de tout changer, au moins éviter une augmentation immédiate de la misère et des inégalités qui ne manquera pas d'arriver. 





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Vive le retour des matins de France Culture, vous aussi vous avez apprécié Daniel !

Si vous voulez vous moquer des obsédés  crispés sur l'ancien monde face au réchauffement climatique il y a un mème rigolo qui traîne sur tweeter : 


[Un astéroïde percute la terre ]

Les dinosaures: "Oh non, l'économie !!"


Il y a aussi des images.


https://mobile.twitter.com/Ygrene/status/1244004828327620611

Le retour à la réalité, triste réalité à travers cette chronique, amplifié par le lien donné plus bas par le commentateur au pseudo de formule chimique

tout ça fait que ce fut dur, dur, premier avril encore plus, à garder le moral

d'autant que les nightingales (pas le temps de chercher la trad.) pâtissent aussi du reste : le changement climatique


Le plus dur, ce n'est pas le "business as usual" les dividendes, les actions, c'est le Macron qui vous cageole avec sa "tous ensemble en guerre" et qui par dessous va de plus belle avec la privatisation des hôpitaux. Allez aux USA voir comment on charge les corps des victimes du Corona au moyen de chariots élévateurs (forklifts, c'est encore plus imagé en Anglais) en pleine rue devant les hôpitaux privés

encore un peu de (bonne) musique pour adoucir les moeurs :


https://www.rocknfolk.com/a-la-une/video-coronavirus-rhapsody-une-parodie-de-queen-devient-virale/43988



Après la crise de 2008, rien n’à changé dans la politique économique, pourquoi en irait-il autrement aujourd’hui ? Très certainement que la seule différence se trouvera dans le réaménagement des lieux de production de certains produits, comme ceux liés à la santé, pas plus. 

Que cette attitude égoïste des banques françaises ne vous empêche pas de répondre à l'appel aux dons lancé par Darmanin pour soutenir les entreprises. Montrez vous généreux. Faites-leur honte.

Puisque Macron a les pleins pouvoirs durant l'urgence sanitaire, je suis sûr qu'il travaille sur une proposition de loi: "Pour l'année 2020 et 2021, tous les dividendes seront taxés à 100% pour finacer les hopitaux publics". Si tous les pays font de même ca fait 600 milliards en 2 ans (d'après les prévisions). Largement de quoi acheter les masques, respirateurs et payer le personnel à la mesure du danger qu'on lui fait courir durant cette crise. 


Mais non, ils semblent qu'ils planchent plutôt pour rajouter une nouvelle clause restrictive aux auto-autorisations de déplacement.

Il ne parle pas de ça non plus Mr Seux... ce matin dans médiapart...  Voilà l'après pire qu'avant je le crains !

Hôpital public: la note explosive de la Caisse des dépôts

PAR  ET 

À la demande d’Emmanuel Macron, la Caisse des dépôts travaille à un plan pour l’hôpital public. Mediapart en révèle le contenu. Au lieu de défendre l’intérêt général, il vise à accélérer la marchandisation de la santé et sa privatisation rampante.

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J'ai remarqué que sur certains sujets, Monsieur Seux est prudent,  réservé, modeste et même feutré.


Sur la question des dividendes, je  le trouve , même, confiné.


Quant au gouvernement, je ne comprend pas pourquoi les gens lui en veulent autant : il n'a pourtant rien, et ne fait rien.

Sur les milliers d'artisans et de petits commerçants de Dominique Seux, quelques centaines devraient faire faillite d'ici la fin de l'année. Alors les banquiers seront tranquilles !

après la crise, "on se demandera qui a été à la hauteur."


après la crise on noiera le poisson comme d'habitude ! aucune illusion à ce faire de ce coté là malheureusement.

Tout ce bazar est quand même un putain d’aveu en loucedé que les actionnaires sont des parasites si ne pas leur verser de dividendes permet de « soutenir l’économie » ?

Ils le sont d'autant plus que la première solution appliquée par les entreprises c'est le recours au chômage partiel, et pas taper dans les fonds propres des "preneurs de risque". C'est même la dernière solution, puisque après, voire en même temps que le chômage partiel, il y a pose obligatoire de congés payés.

Non, l’actionnaire n’est pas à priori un parasite, ou alors il faudrait considérer que tout acte de fructification d’économies l’est, le livret A, pour le plus banal. Non, je crois que la difficulté vient du changement opéré dans l’actionnariat, comme par exemple toutes ces fonds de pension.

"Non, l’actionnaire n’est pas à priori un parasite, ou alors il faudrait considérer que tout acte de fructification d’économies l’est, le livret A, pour le plus banal". 


Et marc Dutroux n'est pas un pervers sexuel, ou alors il faudrait considérer que Pannier-Runacher qui youporne après 22h30 en est une.


Vous en voulez d'autres ?

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Ça dépendl. Les petits actionnaires entrés là par leur entreprise sans l'avoir décidé sont plutôt des parasités.

Ou disons des parasites malgré eux...  ^^

Même pas, ils servent de masse de manoeuvre sans avoir le moindre pouvoir de décision. Car le principal ce ne sont pas les dividendes mais le pouvoir.

"Car le principal ce ne sont pas les dividendes mais le pouvoir".


C'est encore mieux quand on a les deux... et le c... de la crémière en bonus.

On peut être propriétaire d'une entreprise, sans être actionnaire. 

On peut être actionnaire d'une société, sans ne rien connaître des entreprises qu'elle possède.


On peut être actionnaire et percevoir 172,125 €  de dividendes annuels, soit autant qu'une épargne de 22 950 € sur un livret A. 

Ou plusieurs milliards comme Bernard Arnault... (sans compter son "salaire" et ses plus-values boursières).


Personnellement dans cette discussion je comprends le mot "actionnaires" (mis au pluriel par HBK) comme une métonymie de la petite classe sociale qui contrôle la plus grande part de l'économie et en tire des revenus sans rapport avec sa contribution réelle.


Les patrons du SBF 250 (les 250 plus grandes entreprises cotées sur le NYSE Euronext Paris) préfèrent user de ce mot dans un sens littéral pour entretenir la confusion avec tous les détenteurs de titres, comme les salariés rémunérés, en partie (souvent anecdotique), en actions ; ou au sens de "patron" pour tenter de se diluer dans l’ensemble constitué des artisans, commerçants, professions libérales, ou autres autoentrepreneurs ubérisés.


Complètement !!! C'est exactement ce petit jeu sémantique mesquin qui paralyse la pensée de beaucoup de gens qui se veulent pourtant de gauche...

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D'où l'intérêt, pour les "gros" je veux dire les véritables actionnaires, d'avoir ainsi brouillé les cartes avec la "participation", l'incitation à "aller en bourse" avec trois francs six sous (et pas la culture qu'il faut), et même les "assurances vie" qu'on nous incite à prendre quand on a quatre francs sept sous plutôt que ce minable "livret A" qui fait tellement peuple! 

C'est le drame de notre époque : la destruction du langage.


F Lordon en donne des exemples dans sa réponse à la lettre de Macron le conviant au Grand Débat.


"...vous détruisez le langage. 

Quand Mme Buzyn dit qu’elle supprime des lits pour améliorer la qualité des soins ; quand Mme Pénicaud dit que le démantèlement du code du travail étend les garanties des salariés ; quand Mme Vidal explique l’augmentation des droits d’inscription pour les étudiants étrangers par un souci d’équité financière ; quand vous-même présentez la loi sur la fake news comme un progrès de la liberté de la presse, la loi anti-casseur comme une protection du droit de manifester, ou quand vous nous expliquez que la suppression de l’ISF s’inscrit dans une politique de justice sociale, vous voyez bien qu’on est dans autre chose – autre chose que le simple mensonge. 

On est dans la destruction du langage et du sens même des mots".



On en revient à Orwell, encore et toujours...

Vous pouvez parlez de "capitalistes"... au risque de passer pour une vieille barbe marxiste auprès de gens qui feignent d'ignorer que ce mot existait bien avant Marx.

C’est bête ce que vous écrivez.

L'actionnaire devient un parasite dès lors que son investissement n'a pas de limite dans le temps. A partir du moment où les versements des dividendes ont compensé le montant d'émission initial en incluant un pourcentage raisonnable de rémunération l'actionnaire devient un parasite. Le problème est donc bien l'absence d'amortissement des sommes investies sous forme d'actions. Il en est de même pour l'actionnaire initial de toute entreprise d'ailleurs. C'est la grande différence entre l'émission d'actions et d'obligations .

Vous me direz que cette absence de limite est compensée par le fait qu'une entreprise peut ne rien distribuer ou même faire faillite. C'est vrai. Cela explique pourquoi il est raisonnable de rémunérer et que cette rémunération n'est pas fixée à la hausse non plus. Mais cela ne suffit pas à justifier pourquoi cette rémunération est éternelle si l'on considère une entreprise comme un collectif des travailleurs qui la composent et non comme un collectif des actionnaires qui la possèdent.

D’accord avec vous, mais pour l’heure, l’idée qu’une entreprise est un collectif de travailleurs n’est pas encore entrée dans les textes de loi, ou de façon homéopathique, l’actionnaire prime sur les bénéfices, et les pertes, bien entendu.

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