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"J'ai hésité à porter le message des FARC à Hollande..."

Comment faire son travail de journaliste dans un pays en guerre, dont une partie importante est contrôlée par une guérilla? Peut-on filmer cette guérilla tout en entretenant des rapports professionnels avec le gouvernement légitime du pays et avec l’armée? C’est l’éternelle question du journalisme de guerre. Sur notre plateau, Roméo Langlois, qui a été fait prisonnier par les FARC pendant un mois et Pascale Mariani, qui a co-réalisé plusieurs de ces documentaires.

Derniers commentaires

Certes, son opposition aux Etats Unis qui avaient participé au coup d'état pour l'écarter, l'entraîne parfois à des accès verbaux que l'on a du mal à suivre mais son discours lors d'une conférence internationale, peut-être un G20? était tout à fait remarquable.
Ce que j'aimerais, c'est un reportage sur les effets de sa politique dans son pays. Est-ce profitable à la population ou pas?
heu ,tant que Chavez léchera le cul d'Hamaninejad,je resterai plutôt avec les "éléments de langage dominants" !
Oui, un rappel sur l'historique du mouvement des FARCS eût été intéressant mais ce n'était pas le sujet et surtout mériterait à lui seul une émission entière.
De même, serait intéressante une émission sur Chavez. Les reportages au Vénézuela sont, semble-t-il moins dangereux qu'en Colombie.
Passionnant. Merci !
Ces journalistes ont donc travaillé pour Canal + et... le Figaro !
Je crois que l'équipe internationale du Figaro fait parfois du très bon travail. Est-ce toujours vrai, je ne sais pas.
Mais j'ai eu l'occasion de travailler sur le documentaire passionnant d'Eric Laurent "La face cachée du pétrole" (2010).
Ces journalistes nous permettent d'entendre autre chose que les poncifs habituels sur les questions internationales qu'on peut lire par exemple dans le Monde.
Autre contre exemple : le récent débat animé par F.O. Giesbert sur Chavez dans "Parlez-moi d'ailleurs" sur la chaine parlementaire. C'est une caricature de partialité superficielle.
bravo à ces 2 journalistes;
oui, l'humanité est importante dans tous les métiers, pas facile par les temps
qui courent;
l'interview du "tueur mercenaire" est à couper le souffle;
cette guerilla dure depuis un "certain" temps et lors de cette émission on ne sent pas
que cela va s'arrêter; une négociation ne sera possible que si le régime colombien
tombe, que s'il y a un changement radical;
les FARC, la plupart du monde s'en fout et en Colombie on laisse pourrir en
espérant que cela meurt de sa belle mort, sans doute;
un détail important: le fric; les guerriers FARC ne sont pas payés mais les tueurs mercenaires
le sont ... dans un pays de misère ...
lire "A qui profite la cocaïne? " de Myléne Sauloy et Yves Le Bonniec (Calmann-Lévy 1992)
Absolument passionnant. Cette émission fait partie de celles dont on ressort en se sentant plus intelligent, ça fait du bien...
Frustrant frustrant frustrant.. ça aurait pu être très intéressant si nos deux invités avaient pu parler plus longuement de leurs points de vue sur la situation colombienne. pas d'accord pour dire que ce n'est pas la ligne d'arrêt sur images. une information complète et documentée de la situation en Colombie aurait donner des billes aux spectacteurs pour prendre du recul sur la caricature qui est faite du conflit armé colombien dans les médias traditionnels. Vous tombez un peu dans le piège du scoop post libération et mettez de côté les sujets de fonds, c'est dommage. J'aurais choisi un autre angle, mais je ne suis peut-être pas au bon endroit.

Si vous voulez il y a plein de choses à dire sur le traitement du conflit par les médias en France et en Colombie. Les journalistes ne peuvent pas parler objectivement de la guerrilla en Colombie sous peine d'être assimilés aux chavistes, pro-farc et Cie, c'est incroyable. La moindre petit subtilité est considérée comme de la connivence. A l'inverse, on parle très peu des paramilitaires (actuels bacrim) si ce n'est pour les évoquer. Certes, la complexité du conflit rend le traitement difficile, mais tout de même, je me demande pourquoi un tel déséquilibre?
"J'ai hésité à porter le message des FARC à Hollande." franchement votre titre est mauvais , ce point est abordé en fin d'émission et surtout ce n'est pas le sujet ? non ? Le sujet m'a t'il semblé est sur le travail de ce journaliste et de sa collaboratrice en Colombie.
J'ai trouvé les questions assez bêtes et nauséabondes de la part de la journaliste , ce monsieur ne fait pas ses reportages dans un bureau , il va sur le terrain, alors c'est sur quand il y a des armes qui trainent peut être que les questions sont moins incisives , mais les commentaires après quand il monte son reportage l'est lui (incisif) .
J'ai eu l'impression que vous vouliez le casser , ou en tout cas l'agresser , j'ai pas compris pourquoi , jaloux ?
Bonne émission. J'aurais bien aimé entendre Chavez deux minutes. Et aussi leur avis - aux deux spécialistes de la Colombie - sur la libération d'Ingrid Betancourt. Et le contenu du message à Hollande. Mais sinon, très bonne émission.
super intéressant.
Au fait, le message des FARC à Hollande est secret ou on connait sa teneur?
Super !

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Il en faut pour tous les goûts !
J'aurais apprécié un rappel du contexte geo-politique de la région.
La cocaine, la CIA, les FARC etc...
La situation de la Colombie semble largement entretenue depuis des decénnies, et tout conflit profite à un tiers. Qui, pourquoi et comment ?

Aucun de ces points n'est abordé par l'émission et c'est bien dommage.
On est surtout témoin de l'admiration de journalistes parisiens pour la figure de "l'aventurier", le martyr volontaire de terroristes étrangers.
Et on a envie de les secouer en leur expliquant que ce qu'ils font est aussi, voire bien plus important que ça !
Impressionnant d'entendre ce journaliste opposer si clairement l'exigence déontologique de neutralité et d'objectivité à la dimension humaine des problèmes dont il rend compte.
Même si ce n'est pas l"essence"d'@si,on a besoin des émissions économico-politiques rien que par ce que les médias ordinaires n'en parlent pas ou mal,et là ça redevient le rôle d'@si faire venir des personnes intéressantes comme Lordon et pourquoi pas Dominique Azam que l'on voit rarement à la télé;mais je m'éloigne...
Super: A diffuser largement. (Utilité publique)
Emission vraiment très intéressante. Depuis quelques temps votre site me lassait avec ses émissions économico-politiques. Enfin on en revient à l'essence du site à savoir la fabrique de l'information. Merci.
PS : Pourquoi ne voit-on plus Maja ? Va t-elle revenir ?
A G2,
J'ai aimé l'émission!je pensais ne rien écrire,par ce que je n'ai rien à dire,ce qui ne veut pas dire que l'émission et les participants étaient à mes yeux inintéressants,bien au contraire!
Moi aussi, je suis plutôt partisane du "journalisme de terrain" et il n'y a pas que Romeo qui fasse partie de ces gens de terrain. Il y a aussi les reporters-photos qui, eux, sont moins connus, ceux qui (telle Lieve Joris ou Justine Brabant) font des reportages dans des zones de conflit, etcf...
Mais pour la Colombie, je ne sais pas pourquoi, mais j'ai l'impression d'avoir vu un meilleur "reportage-fiction" lorsque j'étais allée voir "les couleurs de la montagne", l'an dernier...
Une fois n'est pas coutume,


je m'autocite ;o)
Où est Maya?
Il est vraiment super Al Pacino !
Maintenant je sais que je ne sais rien et que lui non plus. Mais, c'est "très très complexe", alors...
Je pense que le peu le commentaires sur le forum devrait vous donner une idée de l'intérêt suscité par ce plateau.
En tout cas ça à bien l'air de faire briller les yeux de toute l'équipe ! Content pour vous !
Merci.
Boulot sérieux et intéressant avec des invités qui gagnent à être connus.

Ah, si @si devenait le meilleur moyen de découvrir les journalistes qui bossent bien, ça serait le rêve ! ( tellement plus riche que dénoncer les nuls !)

Très contente d'avoir regardé cette émission.
les farcs ont sûrement kidnappés Maya?
elle disait quoi cette lettre, je suis pas sur ma fin et ne vient pas du figalo, :-).
En fait y a quand même un truc qui me gêne c'est qu'ils bossent pour le Figaro ; j'arrive pas à les associer à Mougeotte...
mais nul n'est parfait.
Vraiment passionnant ! des Langlois et des Mariani j'en veux bien toutes les semaines ! tellement frais !
J'ai failli râler une nouvelle fois sur la durée qui frôle encore une fois l'heure (à une minute près). Mais en fait non, elle est pour une fois impeccable. L'émission est passionnante, car en plus elle ne s'attache strictement qu'aux conditions de la libération de Roméo ainsi que les conditions dans lesquelles il travaille là-bas.

L'interview a été parfaitement menée, on voit bien le respect qu'à DS pour ces journalistes, résultat il a rarement coupé, ne relançant presque le débat que lorsqu'il sentait qu'ils ne savaient pas quoi répondre (ou qu'il n'y avait pas grand chose à ajouter), résultat on a à aucun moment le sentiment qu'ils n'ont pas pu dire tout ce qu'ils voulaient. Pas de longueur, c'est dense, intelligent, argumenté. Une merveille d'entretien.

Et pour une fois (il en y a eu d'autres, mais pas tant que cela) j'ai écouté de vrais journalistes, qui expliquent de manière limpide leur travail et qui font ressentir dans leur discours tout leur professionnalisme et leur passion pour leur métier. Ils sont fiers de ce qu'ils font, mais ne sont pas vaniteux / prétentieux / fat / whatever. On se dit quand on les écoute qu'on adorerait être leur ami.

Juste, peut-être, un légère critique. À certains moment on sent Roméo, hésitant, sur la défensive, regrettant certains propos, repris derrière par DS qui tente d'en savoir plus (genre les exécutions sommaires par les guérilleros). DS à glissé un peu vite dessus, dommage. Mais je chipote.
Super sujet (ca rattrape de la fois dernière ;-) parfaitement mené par l'équipe d'@si, et une rencontre avec deux journalistes très compétents, ca fait plaisir à voir et à entendre.


[Pour Maya, j'ai raté un épisode?]
Passionnant. Je vous aime. Merci.
Le première émission depuis bien longtemps où je me suis dit tout de suite : "Super, j'ai envie de la voir".
Sur la critique de la crédibilité de la parole du paysan sachant que les Farcs sont à coté par Laure en Acte 2.

Je trouve que la réponse de Roméo n'est pas pertinente. Le fait qu'il sache que ce discours est crédible car il l'a entendu 2000 fois n'est pas important et en plus nous lui faisons plutôt confiance pour cela (contrairement à ce qu'il croit). Ce qui est intéressant n'est pas de remettre en cause l'information elle même (le paysan peu critique) mais plutôt la façon dont elle apparait à l'écran pour le spectateur. Et à ce moment, l'information perd toute crédibilité pour un spectateur un minimum attentif qui n'a lui pas rencontré des centaines de paysans colombiens et n'a qu'une connaissance limitée du conflit.

C'est donc plus le choix de cette séquence, dans cette configuration particulière, pour mettre en avant un discours qu'il a entendu souvent qui est problématique car cela perd toute sa valeur informative aux yeux du spectateur alors que cela reflète certainement une réalité.

La question/critique de Laure était pertinente mais aurait peut être mérité un peu d'insistance face à la réponse incomplète mais intéressante de Roméo.

Je trouve que les réponses comme, "faites confiance au journaliste" ou bien "tout le monde est au courant" (sur les milliers d'assassinats des Farcs) ne font pas avancer le débat sur la façon de présenter des images et des informations précieuses que Roméo accumule dans son long et sérieux travail. On ne peut pas fuir la critique constructive aussi simplement et le débat perd en qualité.

Bon courage dans leurs travaux respectifs aux journalistes présents sur le plateau et à très bientôt pour de nouveaux reportages et émissions.
[quote=Gazette 233]Et c'est l'occasion de découvrir, si vous les aviez manquées, notre série d'émissions de l'été dernier, sur le journalisme de guerre, précisément. Elles sont ici. (5)
C'est l'occasion de découvrir rien du tout! L'émission "Les journalistes d'Al Jazeera, martyrs pour la vérité" faisant partie du dossier n'est pas disponible en téléchargement. On m'a vendu l'abonnement en me disant que les archives du site seraient toujours disponibles. Et là, même pas un an après il faudrait se farcir les émissions en flash. Il y a tromperie sur la marchandise.

J'aurais préféré une émission sur les manifs étudiantes au Québec, les scandales récents de la papauté...
Bonsoir impossible de télécharger l'émission. Un bug?
prems
Franchement c'est quand même impréssionnant de rencontrer de "vrais" journalistes qui sont sur le terrain, des grands reporters qui en plus vous explique calmement qu'ils ont vu la mort de très très très (vous pouvez encore en rajouter) près.c'est là je pense que l'on touche au coeur du journalisme d'investigation, ce n'est plus un métier, c'est une passion...parce que franchement aller en Colombie, dans ce nid d'intrigues, de guérillas, de groupes armés tout ça saupoudré d'une bonne dose de corruption et de trafique de drogue...je ne vois que la passion du journalisme pour faire ça!
En tout cas ça nous change des éditorialistes et présentateurs de JT à 2 balles parigots nombrilistes amateurs de politique politicienne et imbus de leur personnes et de leur pseudo pouvoir médiatique (des noms?: Apathie, Guiseberg (je suis pas sûr de l'orthographe mais surtout je m'en fous!), Joffrin, Demorand, Pujadas...je m'arrête là mais la liste est sans fin).
Tout ça pour dire que je suis admiratif devant la travail de ces journalistes (là je parle de langlois et de sa collègue hein!) qui risquent leur vie pour nous expliquer la complexité d'une situation : bravo à vous et merci.

PS: Daniel Mermet ,dans là-bas si j'y suis, avait fait aussi une série d'excellentes émissions sur la situation en Colombie, notamment celle-là mais il y en a aussi plein d'autres : http://www.la-bas.org/article.php3?id_article=1322&var_recherche=Colombie
ou est Maya ? DS il faut désamorcer ce plan pourri. Informez informez svp.
Les asinautes on la culture du complot ?
Et pas Maya. Un effort, que diable !
Je ne suis pas totalement d'accord avec vous.
Se rendre sur le terrain, c'est courageux, voire téméraire ou inconscient dans les zones de conflit, ça change des donneurs de leçon intéressés le cul vissé sur les chaises des troquets parisiens dans lesquels ils sont généreusement invités (oui, je caricature), mais ça ne constitue pas en soi la garantie d'un "bon" journalisme.
Un exemple, aux Etats-Unis, Anderson Cooper. Il s'était rendu en Irak, de son propre aveu afin de voir une misère plus grande que la sienne, des pertes plus importantes autour des gens, afin de se sentir exister. Revoir aussi ses mises en scène à Haïti, où il sauve un petit garçon devant les caméras de sa propre émission. Le contenu était sévèrement biaisé.
Mais même s'il a suivi tous les cours nécessaires, vous pourrez toujours argumenter qu'il n'a jamais validé son diplôme de journaliste. Mais les images susmentionnées ont quand même fait le tour du monde entier dans des journaux prétendus sérieux, et il était vraiment sur place, lui.
Mais Anderson Cooper, on le présentera uniquement comme un présentateur télé, alors qu'il prétend bien davantage, et que ses téléspectateurs le prennent aussi pour bien davantage et peuvent prendre ce qu'il dit pour argent comptant.

Alors qu'au contraire, et dans un autre style, une Florence Aubenas a dû prendre sur ses congés et vivre la vie de son sujet afin d'aller enquêter vraiment sur les lieux pour faire son livre sur les conditions de travail des techniciennes de surface de Ouistreham, simplement parce que ça n'était pas possible dans le budget de son employeur, et son travail a fait l'objet d'une véritable critique ici et ailleurs sur le son statut de journaliste et l'honnêteté de sa démarche, ce qui à mon avis est aussi en prendre en compte pour quelqu'un dont le travail se base dans des zones sinistrées.

Il ne faut pas oublier non plus que certains journalistes de zones de conflits s'auto-censurent sans que nous ici n'ayons les moyens de lire entre les lignes, pour des raisons étatiques, ou de sécurité, ou de diplomatie, ou d'idéologie,ou de commerce, ou de ligne éditorialiste.... Et là se situe une nuance importante à votre opposition frontale binaire.
Les cas que vous citez, comme Joffrin ou Demorand, ne sont pas citables à mon sens en tant que journalistes, puisqu'ils ne font plus celà. Ils sont éditorialistes, et prêchent comme ils l'entendent, même si ceci est à mon sens inacceptable, mais ce n'est plus du journalisme. Apathie est lui chroniqueur, la ligne est très floue, car s'il se doit de se baser sur les faits, il a aussi la possibilité de donner une opinion dans ce contexte, voire d'argumenter à charge. Giesbert, il y a longtemps qu'il se contente de faire sa pub au travers des uns et des autres. Par contre, dans leurs rédactions, ils ont tous des journalistes qui font très bien leur boulot je suppose, et dont le travail a été nécessaire à l'argumentation de leurs opinions subséquentes.

Mais de là à suggérer qu'être sur place est l'antithèse à celà, que faire le boulot soi-même est la garantie d'une objectivité quelconque, je ne peux pas être d'accord. Allez voir le sujet sur la journaliste grecque.
D'ailleurs ici, Roméo Langlois dit très clairement qu'il a fait quelque chose de très contestable pour un journaliste en s'écartant de son rôle, c'est-à-dire en servant d'intermédiaire à François Hollande auprès des FARCs. J'imagine qu'il y a des gens travaillant pour la République chargés de ça, je ne comprends pas qu'on lui demande à lui. On est très loin de la personne qui prend la photo d'un enfant affamé (compte-rendu véridique), et qui lui donne une barre de céréales après (intervention personnelle qui n'empiète pas sur la vérité et ne parasite pas le travail). Il y a un message politique qui affecte sa vie peut-être en tant qu'otage, qui change les données de la situation en tous les cas.
ici il l'avoue, nous pouvons donc nous forger une opinion, nous poser les bonnes questions, demander des réponses. Mais combien de fois est-ce fait, ou y a-t-il de tractations, d'échanges, de promesses, de menaces de mort, sans que nous le sachions, et qui pourraient équivaloir à de la désinformation? Remémorez-vous précisément les exemples de tous ces journalistes qui ont été pris en tant qu'otages et qui n'ont pas communiqué sur tous les éléments en revenant, ayant reçu les briefings des envoyés des Présidents.

On peut réagir à l'affect, se demander ce qu'on aurait soi-même fait à leur place, surtout à regarder notre propre vie et voir qu'on a pas eu soi-même ce type de courage, se dire que cette mise en danger peut faire plier à tous les principes, mais le recul doit permettre le sens critique.
Oui, il y a une différence entre celui qui reste chez lui dans son confort et celui qui part à la rencontre de situations qui le mettent peut-être en danger, et ces derniers sont dignes d'admiration, mais le problème de l'éventuelle connivence ou partialité n'est pas à exclure de fait.

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