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France Télécom : Le Monde et Mediapart, deux procès

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"Sur le parking de Mérignac le vent a balayé les dernières cendres, et le  bouquet sous cellophane doit commencer à se flétrir. Deux ou trois pluies de printemps viendront rincer la suie au mur de crépi, et bientôt  on n’évitera plus de se (...)

Autant Mediapart a ses biais (kikoo Xavier), autant le Monde putain ils font passer la Pravda pour un journal dissident ?

Le Monde est passé de journal de référence à journal  de révérence.

Derniers commentaires

Article du Figaro avec une autre vision et gentils commentaires de Lombard ... bravo le management!

http://www.lefigaro.fr/actualite-france/suicides-chez-france-telecom-je-n-y-peux-rien-clame-l-ancien-pdg-didier-lombard-20190507

Je ne suis habituellement pas pour une justice expéditive, ni pour la loi du talion, mais ne pourrait-on pas cette fois, pour l'exemple et en présence des familles de ses victimes, suicider Lombard en le défenestrant du haut de l'immeuble d'Orange à Issy-les-Moulineaux ?


Ou : "De l'entreprise comme champ de bataille, ses contingents , ses pertes" , d'un cynisme extrême , négation même d'une humanité réconciliée ! "on n'a pas l'cul sorti des ronces !"

Bientôt le moment viendra où avant de se suicider les désespérés tueront d'abord le chef.


Le problème de la mise en perspective perpétuelle c'est que ça légitimera bientôt de ne plus s'occuper des faits (pouah, que c'est trivial), pour ne produire que de l'analyse politique.

Au niveau d'un article de presse, il me semble essentiel de rester au plus près de la réalité et de ne pas troquer l'acuité de ce regard contre la volonté de pousser ses idées, fussent-elles parfaitement légitimes.


Au risque de scandaliser, c'est le mode de fonctionnement de l'extrême droite quand elle instrumentalise tel ou tel attentat pour en tirer des conclusions définitives sur l'immigration.


Ça n'empêche évidemment pas d'aller regarder au delà, de chercher les rasions profonds, les logiques à l’œuvre, mais les suicidés de France Télécom ne sont pas des outils à manier contre le Libéralisme.

Les deux lectures ne sont pas antagonistes !

Pascale ROBERT DIARD travaille à partir de l'ordonnance de renvoi et du déroulement des audiences. Un chroniqueur judiciaire prétend d'abord rendre compte. Pas d'analyser. Même si PRD le fait subtilement souvent : sa dernière phrase est assassine et nous renvoie à notre responsabilité de consommateur.

Marine ORANGE a une vision plus globale, tout aussi pertinente, en s'interrogeant sur le système : France Télécom comme révélateur d'un système, destructeur de l'humain en faveur de la rentabilité, favorisé par l'Etat, de surcroit, en l'espèce, actionnaire.


Les deux lectures se complètent, en réalité



"Sur le parking de Mérignac le vent a balayé les dernières cendres, et le  bouquet sous cellophane doit commencer à se flétrir. Deux ou trois pluies de printemps viendront rincer la suie au mur de crépi, et bientôt  on n’évitera plus de se garer devant cet emplacement si pratique, bien à  l’ombre – c’est commode quand vient la canicule, et tellement plus  agréable de pouvoir monter dans une voiture à peu près fraîche, après  une dure journée de travail.


Quand sera fini notre printemps, si peu  arabe, qui se souviendra de Rémi et de son holocauste minuscule?"


Piqué dans une ancienne chronique de Judith Bernard, à propos de l'immolation de Rémi employé de France Telecom : https://www.arretsurimages.net/chroniques/sur-le-bout-de-la-langue/un-holocauste-minuscule


Aujourd'hui, on se souvient.

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Oui très bien. Mais quel procès pourra-t-on faire dans une dizaine d'années (à peine!) quand la planète grillera sous nos pieds et qu'il n'y aura même plus une forêt pour abriter nos dissidence, ni une espèce animale pour "éponger" nos armes? 

Quel procès? Et à qui? 

A cette oligarchie hors sol, corrompue ou mafieuse qui nous aura en conscience entraîner dans cette perdition et qui sera alors sottement planquée dans des blockhaus?  A ces politiques psychopathes en culotte courte? A ces scientifiques irresponsables? A ces flics mercenaires? A cette intelligentsia complice, à ces z’élites prétentieuses et vaines? A ces classes moyennes bêtes et égoïstes? A ce troupeau drogué de téloche et endormi?
Quel procès pouvons nous faire déjà aujourd'hui aux apprentis dictateurs élyséens?
Et de manière générale quel procès à tous ceux qui quels que soient leur place et leur échelon sont complices de cette pensée unique, fanatique, non empathique qui rappelle en tout point la pensée analysée déjà par annah Arendt qui a produit ce que l'on sait.
Au lieu de sortir sans arrêt la carte de" l’Antisémitisme" (mais il y a d'autres cartes sorties tout aussi régulièrement le "Populisme" en est une autre!), comme la bite d’un exhibitionniste au carrefour des écoles,  pour faire peur aux petits enfants,  taire toutes les dissidences et éteindre le mouvement social, on ferait mieux d’analyser en profondeur le fascisme à l’oeuvre tous les jours dans cette pensée, le traquer sans répit.
Je n’ai espoir que dans l’émergence des femmes, des vraies ( pas potiches, ni alibis, ni clones masculins) et dans une écologie radicale et un partage de tout avec tous. Ouais, je sais, ça fait beaucoup à faire en peu de temps. Ça demande beaucoup de générosité et une abscence de peur.Or la TV ne



Le procès doit durer plusieurs mois : il y aura d'autres articles .


Mais si ce procès existe, c'est quand même grâce au rapport que l'inspection du travail ( Sylvie Catala)  a remis au parquet en 2010 .


Et ce rapport pointe la responsabilité du PDG de l'époque Didier Lombard , de Louis-Pierre Wennes et d'Olivier Barberot .



 Jusqu'en 2007, l'Etat disposait d'une minorité de blocage . Le ministre de l'économie était Thierry Breton   qui a quitté la direction de france télécom en 2005 pour entrer au gouvernement . Or, c'est Thierry Lebreton qui a nommé Didier Lombard directeur général adjoint de France Télécom en 2003 . 


Il serait donc effectivement très intéressant de savoir si entre le nouveau et l'ancien PDG de France Télécom, il  y avait une  divergence sur les objectifs   et sur la façon de les atteindre sachant que  la minorité de blocage n'a pas été utilisée.


Mais tout comme le chef d'inculpation "mise en danger de la vie d'autrui" n'a pas été retenu, la responsabilité de Thierry Lebreton  n'a pas été évoquée .

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

  

Oui, le débat est bien posé. J'avais publié ce billet  dans lequel je mentionnais la froide statistique d'un expert en stratégies managériales  qui expliquait que le taux de suicide dans les entreprises sous pression ne dépassait  pas le taux de suicide dans le reste de la population...  Il se trouve toujours des défenseurs des pratiques managériale obtuses. Un énorme enjeu va se poser dans la décennie à venir avec la robotique, les outils numériques, une IA de plus en plus puissante . Sans un regard pertinent sur l'impact de ces outils et méthodes dans le vie des travailleurs, appelés faussement collaborateurs par les libéraux, il y aura de la casse.  Un débat qui n'est pas compris ni ouvert dans le politique et pas beaucoup plus dans les médias. Mieux vaut parler aux tripes  en désignant les immigrés ou les feignants comme boucs émissaires que de s'attaquer aux racines des vrais problèmes.


Et vous, DS, quel procès auriez-vous envie de nous relater ? J'espère que nous n'en resterons pas à cette Matinaute sur un tel sujet.. Que vous aussi, vous ouvrirez un nouveau procès France Télécom/Orange. Nous en avons tous un immense besoin et d'autant plus que nous savons par avance que les responsables de cette boucherie n'écoperont au pire que d'une amende. 


Il y a là un vrai sujet dans le sujet: le droit tacite, informel mais bien réel des entreprises à décider de la vie ou de la mort de leurs employés. Et cela, depuis la nuit des temps. 


Juste un petit souvenir qui me vient à l'esprit, témoignage d'un employé de Peugeot dans les années 70/80: "On se mettait en grève et les nervis du patron nous balançaient une pluie de boulons sur la tête depuis un hélicoptère, faisant des morts et des blessés graves". Et tout cela, sans jamais défrayer la chronique. 


Oui, un patron, en France, peut balancer des kilos de boulons sur la tête de ses employés, les tuer et les blesser gravement sans qu'aucun procès pour meurtre ne s'en suive. Sans que la justice n'intervienne.  Ce doit être comme pour Castagneur dans l'affaire de la Salpêtrière: "un problème de sémantique" qui, ici, nous renverrait à cet acquis médéfien selon lequel " Le patron, c'est le patron". Autrement dit, circulez, y a rien à voir, comme dirait l'autre Apathie. C'est vrai que des cadavres, c'est jamais beau à voir. 




Bonjour Nath

Je suis étonné de ce que vous dites et j'ai du mal à le croire

En Grande Bretagne j'ai vu des choses horribles se dérouler mais pas d'une manière aussi "radicale". Et il y a toujours eu quelqu'un ou quelques uns pour les dénoncer, que ce soit dans les journaux, au travers des partis de l'opposition, des syndicats ou même par le cinéma comme Ken Loach

Mais si ce que vous dites est exact, je suis catastrophé

Déjà, je n'arrive plus à comprendre la violence des "gardiens de la paix" français, je viens encore d'en être témoin à Strasbourg.

Pardon, Détercteur, mais qu'est-ce qui vous laisse si sceptique dans ce que je dis ? L'affaire Peugeot ? Si c'est le cas, j'en ai encore bien d'autres sous le talon. La plus récente qui date de mars: 20 ouvriers du bâtiment employés pendant 10 ans sur des chantiers de désamiantage et de déplombage sans aucune protection et sans aucun suivi médical. Ouverture d'une enquête judiciaire par le Parquet du 93 suite à actions syndicales et révélation dans la presse (sinon, le proc de répu, il pouvait aussi ne pas donner suite, c'est son droit)

J'ai aussi une récente cassation au terme d'un procès de 10 ans qui reconnaît, enfin, et pour la première fois, la mise à mort d'un verrier de Givors exposé à l'amiante et autres toxiques lourds pendant toute sa carrière. D'ailleurs, le type est mort avant l'âge de la retraite et c'est sa veuve qui a porté plainte, ainsi qu'une cinquantaine de veuves dont les époux verriers sont tous morts pour les mêmes raisons, mile fois dénoncées mais toujours perpétrées par l'employeur.

Ou encore, des employés d'abattoirs qui se suicident par écœurement de ce qu'on leur impose de faire subir aux animaux. Etc, etc.  Dans tous les secteurs, y compris chez les fameux cadres aux conditions de travail supposément feutrées, partout, la mort essaime. Et pour chacun de ces cas, l'employeur est acteur, toujours, l'employeur est conscient et indifférents aux effets de ses décisions. Désolée de briser vos dernières illusions, le réel a bien lieu.

C'est étonnant, cette surprise générale à l'idée qu'un patron ou un collège de dirigeants puissent avoir pour projet de se débarrasser de leurs employés par tous les moyens, dont le pousse-au-suicide est pourtant pour eux le plus avantageux, parce que le moins coûteux. C'est étonnant parce que rien d'exceptionnel. Tout cela existe partout, de tous temps. A lire: "La troisième guerre mondiale est sociale", de Bernard Thibault. Ouvrage très documenté à partir des stats de l'OIT, de l'OMC, etc. L'ouvrage s'ouvre sur une cartographie de l'état social du monde, en chiffres bruts et sans jugements d'ordre moral ou moralisant. Quand on voit cette cartographie, on s'épargne bien des questionnements et bien des illusions. 

"C'est étonnant, cette surprise générale à l'idée qu'un patron ou un collège de dirigeants puissent avoir pour projet de se débarrasser de leurs employés par tous les moyens "

Ce qui est le plus étonnant, c'est que cela puisse aussi "radicalement" se faire sans écho

et de ce fait que cela puisse être passivement encouragé

Le fait que des horreurs se perpétuent dans le monde social, je ne le conteste pas et je dénonce celle que je vois sous mes yeux se dérouler dans les maisons de retraite par exemple mais ce que vous dites de Peugeot me paraît être d'une nature irréelle pour notre pays des Droits de l'homme. Je tiens simplement à m'assurer de la réalité des faits.

Je vais rechercher le livre de Bernard Thibault


Détecteur, je vous assure que l'affaire Peugeot est bien réelle et ce n'est qu'un des épisodes du genre, il y a eu des meurtres de syndicalistes commandités par les dirigeants de l'époque à leur syndicat jaune (maison). 

J'avais moi-même interviewé un ancien ouvrier de l'usine qui me racontait ça comme si c'était l'ordre naturel des choses à l'époque et comme vous, j'ai douté. Mais cette affaire est bien connue, les témoins sont légion dans les milieux ouvriers de la métallurgie. 

Des choses similaires se sont produites chez Renault et bien d'autres d'autres. Et rien n'a changé au pays des droits de l'homme. J'ai récemment traité, et par trois fois, le cas des ouvriers de la plate-forme logistique Geodis-Carlberson, filiale de la très respectable SNCF (où les suicides récurrents de cheminots commencent à assumer une couleur Orange, seul Mediapart en a parlé..).

 

Chez Geodis, les mains broyées, les pieds arrachés, les palettes qui tombent de la chaîne aérienne écrabouillant des intérimaires, tout cela est le lot quotidien de la plate-forme de Gennevilliers (92) et vous et mois recevons chaque jour nos colis.


Depuis un an, ces ouvriers mènent des grèves récurrentes qui n'ont de visibilité que dans nos pages ou dans l'Humanité, mais nulle part ailleurs. L'actu sociale, c'est pas sexy.

Une bonne dizaine de rapports et alertes ont été lancés par l'inspection du travail, mais rien ne change car, une fois de plus, et même si nous sommes au pays des droits de l'Homme, les patrons ont tout pouvoir et surtout celui de l'impunité. 


Voilà pourquoi l'affaire France Telecom au tribunal est importante à mes yeux: parce qu'elle rend enfin visible ce qui est passé sous silence partout ailleurs.  Voyez donc, à l'aune du peu que je vous raconte, à quel point les médias "officiels" détournent nos regards et donc nos esprits de la réalité du quotidien des gens ordinaires. Et réalisez à quel point et pour quelles raisons je me réjouis de ce mouvement des gilets jaunes que j'attendais sans plus y croire depuis 20 ans en me disant, "mais quand est-ce que ça va enfin péter ?". Nous y voilà.


Pour précision, je suis journaliste dans la presse sociale et syndicale. Je suis donc en contact étroit avec le monde du travail dans tous les secteurs, à tous les étages des hiérarchies d'entreprises. 


Il est vrai qu'à ce poste d'observation, j'ai une toute autre vue du monde du travail et donc du monde en général que la plupart des gens. J'ai aussi parfois, comme vous, envie de croire que tout ce que vois est irréel. Que ce n'est pas possible. Et pourtant, si. 


Le plus douloureux, c'est qu'en réalité, personne ne veut vraiment savoir ce qui se passe derrière les portes d'une entreprise. Même mes proches, quand ils m'invitent à dîner, me posent cette condition implicite: "Tu ne nous parles pas de tes affaires". 


On peut parler de tout, sauf du réel qui fait tâche.  Alors, les médias ont sans doute leur part de responsabilité dans cette invisibilité du travail qui tue, mais la société en général aussi, que ce soit par incrédulité ou par déni de réalité. Il faut se réveiller, puis s'éveiller. Je vous salue très cordialement.  

"Voilà pourquoi l'affaire France Telecom au tribunal est importante à mes yeux: parce qu'elle rend enfin visible ce qui est passé sous silence partout ailleurs.  "


Je vous remercie de votre longue réponse que j'ai lue avec attention et qui va me conduire à suivre avec une attention particulière ce procès que j'avais relégué à un procès d'histoire ancienne, un procès nécessaire mais comme toujours trop tardif. Je sais bien sûr combien on passe sous le tapis toutes ces morts de l'industrie du bâtiment, ces accidents de travail ici ou là entendus au hasard d'une discussion ou d'un fait divers mais sans en avoir vu l'importance numéraire symptomatique.

Je suis (du verbe suivre) le fil du blog de Gérard Filoche mais il est vrai que son immense et indispensable travail se place dans l'optique de la réglementation et de la Loi (défense du droit du travail et des conditions de travail). 


Bien cordialement et encore merci


PS : je suis particulièrement sensible aussi à la problématique de ces "libres entrepreneurs" qui mettent en danger leur vie par un tour de force de déresponsabilisation des grandes entreprises qui sous-traitent


J'en connais un qui se fait régulièrement exploiter sur des chantiers dangereux (réfections de toiture, et autres échafaudages). Il me dit refuser désormais: "risquer sa peau pour 10 euros de l'heure, merci". Je lui dis "ni pour 10, ni pour 25!" et voilà qu'il me répond "ah, pour 25... ça se discute..."

Le syndicat "jaune" c'était la CFT qui sévissait chez les constructeurs automobiles. On l'appelait "le syndicat de la barre de fer"...

Il y a peu d'infos le concernant.

j'ai trouvé ça :

https://www.humanite.fr/node/372314



J'ai trouvé ça aussi :

https://fracademic.com/dic.nsf/frwiki/436744

Je n'ai rien trouvé concernant un lâcher de boulons par hélicoptère... mais ça ne prouve rien !

Merci, Catherinel, d'avoir exhumé ces archives. L'idée, pour moi, c'était de dire qu'il n'y a pas, soudain, un cas France Telecom qui serait une exception à la règle; L'idée, c'est bien de dévoiler la règle du patronat, la leur, qui échappe de tous temps à toute sanction, à tout commentaire, à tout scandale. Encore merci. 

Et en même temps, dans un autre "plan", y'avait aussi le SAC.

Brrrr

Voilà un bon sujet d'émission pour ASI, non ?

et là seulement sujet sur grande entreprise;, le suicide existe aussi dans toute petite boite;  une personne isolé  a encore plus de al a se faire entendre....il y a heureusement parfois sur le chemin  des personnes a l écoute......( particulièrement des syndicaliste,  qui donne du temps, ça existe).

Il me semble que les deux approches, humaniste, pour gommer sous l'émotion et l'individuel les responsabilités politiques et purement politique en refusant de "se servir" des vies brisées, sont complémentaires et toutes deux indispensables. 


"Heureusement", la phrase censurée et "malheureusement" (on peut inverser les termes) conservée, "En 2007, je ferai les départs d’une façon ou d’une autre. Par la fenêtre ou par la porte" combine fort bien les deux. La vérité toute nue qui sort du puits où on avait cru la noyer.

Fini la "restructuration" lors d'un rachat, on passe à la "mutualisation des moyens" 


Vive la novlangue 3.0/4G !


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[mode pas sérieux]


Un article sur France Télécom écrit par Madame Orange... fallait la faire celle là :-)


[/mode pas sérieux] ==> sortie

A noter (la revue de presse d'Askolovitch sur Inter hier matin le notait) que l'analyse des Echos rejoint celle de Mediapart, vu de l'autre côté bien sûr, mais quand même, le titre de l'article en dit long.

Autant Mediapart a ses biais (kikoo Xavier), autant le Monde putain ils font passer la Pravda pour un journal dissident ?

Voilà pourquoi je suis abonné à Médiapart (malgré ses défauts) qu'au Monde.
Je ne vois vraiment aucun intérêt à lire ce journal, ils sont tellement à droite qu'à ce compte-là autant lire le Figaro, les pages monde sont mieux écrites.

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