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Commentaires

Dans le bureau ovale, la quenelle des pro-système

On ne s'en lasse pas. Il faut voir, et revoir, ce selfie de la colo hollando-journalistique française dans le bureau ovale.

Derniers commentaires

Bonjour
Daniel, vous avez été habillé pour l'hiver hier soir à 28' sur ARTE.
Ce tribunal des bien pensant n'a pas du tout apprécié cet article.
Comment peut-on douter de l'attitude professionnelle de ces journalistes (de "ma" caste)? Ces gens ne sont pas des irresponsables (ils travaillent beaucoup il faut les excuser s'ils se détendent) et au bout du compte si l'on en est arrivé là c'est à cause de Pépère qui n'est pas sérieux et n'obtient pas le respect qu'on lui doit !!!
Dieu sait si Pépère ne mérite aucune indulgence mais en arriver là pour expliquer une telle pitrerie c'est superficiel… comme nous jugerons les articles qu'ils ont écrit ou écriront.
Tout va pour le mieux dans le bateau qui coule.
Je ne vois pas trop comment Thomas Wieder participe au système. Il semble être enseignant en histoire et a écrit sur l'anticommunisme, la chasse aux communistes aux usa. Il n'a de comptes à rendre qu'à son journal qui sait pourquoi il accompagne Hollande.
Et je ne vois pas pourquoi immortaliser un instant en se prenant avec son portable, serait un geste insolent partout et tout le temps? Ce serait irrévérencieux si les photos étaient interdites dans le lieu ou si les présidents avaient commencé à s'adresser aux journalistes. Quand bien même on aurait des tas de Zitrones amidonnés, je ne crois pas qu'on serait mieux informé, le contraire a été prouvé.
Mais je comprends, car moi aussi le contentement béat de l'exhibition d'un privilège, vers une foule censée baver, de quoi on ne sait pas, m'insupporte quand il me renvoie à une frustration intime et tue.
"Il y a eu d'autres moments bien amusants, dans cette conférence de presse. Par exemple, quand François a promis à Barack d'accélérer la mise en oeuvre du traité transatlantique ...."
Vous êtes sûr ? Je n'en reviens pas. Piétiner ainsi l'avenir !

Qu'est-ce qu'un homme de gauche?
Quelqu'un qui fait tout le contraire de ce que fait Hollande.

Et pendant ce temps, le congrès des journalistes s'amuse ...
Tout baigne
Excuses, je pense que ce sont des stagiaires non rémunérés qui finalisent leurs études. Ils seront au top, très prochainement (voir la presse, les journaux télé, ...).
Leur suffisance n'a d'égal que leur pseudo analyses. Vive la liberté de la presse. Je souhaite, qu'ils ne disent pas dans les dîners entre "potes" que la presse people est pourrie ! Merci a eux. Ils nous honorent !
Complètement hors sujet, mais d'urgente utilité publique:

Véronique Decker, votre invitée à l'émission d'octobre 2013, témoigne à propos de la mort de la fillette Rom à Bobigny.
Je pense que si les lemmings se jetaient collectivement dans l'eau, signant ainsi leur arrêt de mort, chose dont il n'a jamais été prouvé qu'ils le faisaient, il se comporteraient comme ça. Ils accourraient en suivant les premiers, tout fiers et tellement sûrs que rien ne peut arriver...
Ils préféreraient ignorer la vérité et marcher comme un seul homme.....

Hommes ou journalistes ???? En tout cas adeptes de Libéland, Tweetland, selfiland, facebookland, tous territoires si confortables et si faciles à vivre.
Ces béni-oui-oui pro-américains et affreusement pro-mondialisation devront tomber un jour. Ca devient absurde, grotesque...

On remercie au passage Mélenchon qui a appelé sans réserve à voter pour Hollande en 2012.

Le dernier combat avant la mort de la France sera celui contre le traité transatlantique.
Si on arrive à mobiliser les gens là-dessus, et à annuler toute signature de traité, j'ai espoir qu'on puisse ensuite sortir de l'euro, pour remballer tous ces laquais de la dictature de l'inégalité qui nous écrase aujourd'hui.
Si ce traité passe, autant aller habiter au Québec, l'original est toujours préférable de loin à la copie.
C'est presque mignon ces courbettes de Hollande à un bonhomme qui menace physiquement les intérêts français à l'étranger.

C'est émouvant ce God Bless America, l'abrogation de la loi de 1905 est elle prévue dans le traité transatlantique ?

Oubliée aussi l'allégeance au parti républicain par Moscovici et Rocard... c'était alors un autre maître.
Le livre du philosophe Dany-Robert Dufour "Le divin Marché" ou ""L'individu qui vient .. après le libéralisme" est plus jamais d'actualité : régression, infantilisme, addiction, pléonexie (toujours plus, toujours plus). Nous y sommes ! A quand une interview de cet auteur fondamental pour nous expliquer d'où nous venons, où nous allons sur le plan économique bien sûr mais culturelle, moral car le néo-libéralisme ne se limite pas à la finance et l'économie. Nous avons à Washington en ce moment de beaux spécimens pour illustrer ses recherches.
General Motors, actionnaire de Peugeot, a exigé que la marque se retire du marché Iranien.
C'était le deuxième plus gros marché de PSA après la France (200 000 voitures par ans)

La CGT dit que c'est ce qui a coulé PSA. (200 000 véhicules c'est le trou dans les ventes qui a justifié la fermeture d'Aulnay)
PSA dément, et prétends que l'Iran ne représente que 1.2 % de son chiffre... (qui a vérifié ?)

Depuis General Motors s'est retiré du capital de PSA et est en pourparler avec Iran Khodro (ancien relais local de PSA)
Ils ont même organisé une campagne de Pub dans les journaux Iraniens pour annoncer leur retour. (l'embargo c'est pas pour tout le monde)

Une chose est certaine, General Motors ne trouve pas que le marché Iranien est une broutille contrairement aux dirigeants de PSA.

Comment est-il possible qu'une arnaque aussi énorme ne fasse pas scandale en France ? Comment expliquer une telle veulerie des relais politiques et médiatiques Français ? ça ressemble à une apathie dépressive. Une population entière peut-elle développer des troubles psychologiques ?

(Ha oui, Renault aussi a quitté l'Iran en 2013 sous injonction... Américaine)
+1

Les ouvriers de Peugeot qui se sont fait virer parce que l'Etat français a forcé Peugeot à lâcher le marché iranien (sur la pression de qui on sait), alors que General Motors a investi le marché peu de temps après, approuvent ce message.

Ca devient beaucoup trop obscène, et les gens vont bien finir par se rendre compte, malgré l'intensité de la propagande officielle du régime autoritaire qui nous dirige actuellement.

On en parle ici : Lien
Le problème c'est qu'il n'y a pas que Soral qui en parle.
J'ai trouvé des articles la dessus dans tous les journaux. Mais à chaque fois, j'ai l'impression de lire des robots.
Ils décrivent le scandale… sans émotions… sans analyse, sans critique ou avec au mieux un vague cynisme désabusé dans le Figaro…
Ils parleraient de la dernière inondation avec plus d'émotion.

Je vais finir par croire que c'est Hessel qui avait raison : une totale incapacité à l'indignation...
Je ne crois pas que l'émotion et l'indignation soient des armes politiques légitimes et efficaces.

Et quand elles le seraient, il faut bien voir qu'elles n'ont jamais servi la gauche...
Je ne crois pas que l'émotion et l'indignation soient des armes politiques légitimes et efficaces.

Et quand elles le seraient, il faut bien voir qu'elles n'ont jamais servi la gauche...


Comme en 1789? En 1792? En 1848? En 1870? En 1917?En 1936? Ou en 1945?

Votre phrase est à encadrer, elle est tellement révélatrice d'un certain état d'esprit.
[quote=Euliose février 2014]Je ne crois pas que l'émotion et l'indignation soient des armes politiques légitimes et efficaces.
Et quand elles le seraient, il faut bien voir qu'elles n'ont jamais servi la gauche...

[quote=Miroul février 2014]Mais à chaque fois, j'ai l'impression de lire des robots.
Au contraire je la maintiens, et vos contre-arguments n'en sont pas, selon moi, car vous confondez, dans bien des cas, la cause et l'effet.

Sur bien des dates que vous citez, prenons 36, l'émotion est l'effet de la victoire (les grèves joyeuses par exemple) et elle est tout à fait légitime, mais pas la cause de l'expression politique qui a fait gagner le front populaire.

Pour ce qui est de l'indignation, je ne dis pas qu'elle n'existe pas, je dis qu'elle est inefficace exprimée en tant qu'indignation. Je crois que ce n'est pas difficile de constater que l'indignation est devenue l'une des plus grosses ficelles de communication des hommes et des femmes politiques d'aujourd'hui, de quelques bords qu'ils soient, et je constate que cela ne rend service à personne. L'indignation est un moteur de la contestation du système mais elle ne doit pas être, à mon avis, un vecteur du message qui cette contestation.

D'entre les événements que vous citez, ceux où, en effet, l'émotion a pu jouer une grande place, je constate que ce sont le fait de révolutions violentes, par ailleurs bien vite récupérées ou dévoyées. On pourrait prendre l'exemple des révolutions arabes.

Personnellement je me place dans la perspective d'un révolution citoyenne, et je pense que ni l'émotion, ni l'indignation comme outil de communication, ne permettront à cette révolution d'advenir. D'où mon opinion exprimée plus haut.

Pour vous montrer ma bonne foi, cela dit, je veux bien admettre que le "jamais" était de trop et je le retire.

Robotiquement vôtre.
"36, l'émotion est l'effet de la victoire (les grèves joyeuses par exemple) et elle est tout à fait légitime, mais pas la cause de l'expression politique qui a fait gagner le front populaire."
Mais non, ce sont ces immenses grèves et la pression qu'elles ont mise sur le Front populaire qui ont provoqué les réformes, qui sont intervenues APRES les grèves. Sans le Front populaire, pas de réformes, mais sans les grèves non plus.
Je ne dis pas que les grèves n'ont servi à rien, loin de là, j'ai dû mal m'exprimer. Simplement, je ne pense pas que ces grèves ait été collectivement pensées comme vectrices d'un discours ou dominait l'émotion ou l'indignation.

Après, j'ai juste exprimé, de manière peut-être un peu trop tranchée je le concède, mon opinion, je ne défends pas une lecture de l'histoire, je dis juste que, selon moi, l'émotion et/ou l'indignation ne sont pas des bons registres médiatiquement et politiquement pour porter aujourd'hui une critique efficace du système.

Après en 1848... ;)
"j'ai dû mal m'exprimer" y'a de ça ;-)

Là où je vous rejoins, si j'ai réussi à comprendre (;-)), c'est qu'il est très facile de nous manipuler par nos émotions.
Partant de là, l'erreur est selon moi de considérer que l'émotion est mauvaise conseillère. Au contraire elle est le moteur.

Faudrait que j'aille voir quelle définition est donnée d'un être équilibré, mais j'ai dans l'idée que l'équilibre est là, entre émotion et intellect.

Votre phrase " je ne pense pas que ces grèves ait été collectivement pensées comme vectrices d'un discours ou dominait l'émotion ou l'indignation." est pour moi un non-sens, car pour moi l'émotion vient du "cœur", de son moi profond. La pensée, le discours, du cerveau.

Faudrait faire appel aux philosophes du forum, des dizaines de penseurs ont dû plancher sur le sujet, mais en fait je m'en fous. Moi, Alain Huard, je suis fait d'émotion et d'intellect, et j'ai le sentiment (?) d'être juste en écoutant les deux.
Quelle inquiétante idée…
J'estime que raison et émotion sont intimement liés.
Vous pensez aux émotions populaires de Droite opposées à la rationalité éclairée de Gauche ?
Non, ce que j'oppose c'est l'émotion comme sentiment personnel et l'expression politique comme démarche collective. Je ne crois pas que l'émotion ait à passer de la sphère personnelle à la sphère collective car elle n'apporte rien de bon à la politique.
Tout dépends comment ces émotions collectives se forment.

Je pense à rebours, que le détournement par le spectacle mais surtout l’inhibition des émotions collectives est la meilleure arme de contrôle de la population.
Pour qu’il y ait despotisme, il faut que les émotions individuelles échouent à s’agréger en émotions collectives. Ou quelles soient scénarisées et imposées par le haut.
Une émotion individuelle cloisonnée à l’individu, muette au monde, c’est la définition de la névrose puis de l’impuissance politique.

Alors il y aura toujours ces images angoissantes de foules fanatisées ou de marches militaires ou encore ces spectacles soviétiques ou l’individu disparait pour former un symbole politique… Mais c’est une manipulation que de faire croire que c’est l’unique expression possible des passions communes.

Le collectif dépasse l’addition des individus. Il crée du sens, un sens qui lui est propre. En mal ou en bien.
Le dernier bouquin de Lordon, "La société des affects" sous titré "Pour un structuralisme des passions" parle de ça, justement: remettre à leur juste place et le rationalisme, et tout ce qui tourne autour de l'émotion, les passions, les sentiments. Avec l'idée que la part émotionnelle n'est pas seulement individualiste et trompeuse, et que la raison est faussement raisonnable, amputée de tout ce qui fait la chair vivante de la société.

Enfin, de ce que j'en ai compris, hein, c'est pas facile à lire et encore moins à synthétiser. Mais sérieusement, je vous conseille le bouquin, même s'il faut s'accrocher un peu, et probablement relire une ou deux fois. Au boulot, feignants!
Merci pour la référence, effectivement ça m'intéresse. Si c'est du niveau de son précédent dont j'ai entendu parler à d@ns le texte, effectivement il est probable que ça va piquer un peu les yeux au début... Qui ne tente rien n'a rien ;)
A propos de Lordon et de ce livre, je vous conseille l'écoute de sa dernière intervention sur France culture.
(il parle de la capacité à s'indigner)

http://www.franceculture.fr/emission-hors-champs-frederic-lordon-2013-11-26

C'est vertigineux. La fin de l'émission est incroyable. Et pour le coup, face à un Lordon Jubilatoire, heureux de penser en dehors du cadre, Laure Adler ressemble à un zombie… Ebétée face à des concepts trop hétérodoxes, incompatibles avec son catéchisme.
Lordon est un bon candidat pour entrer dans le club des esprits malades. Ça va lui tomber dessus et lui faire regretter ses positions sur Michéa.
Désolé pour les fautes.
Pour compléter :

Lordon sauve à lui tout seul, non pas la peau, mais l'honneur de la Gauche.
Hier, je me suis permis de donner mon avis concernant l'article sur le fils de Guy Bedos.

J'ai affirmé, sans détour, les faits suivants :

- ses propos diffamatoires à l'encontre d'une partie de la population française (d'origine d'Afrique du Nord) s'expliquaient en grande partie par le fait de son origine pied-noir

- qu'il n'était qu'un "fils de" ou un "fils à papa" contrairement à son père qui, bien que n'ayant pas de talent, s'est néanmoins fait seul.

- que les pieds noirs notamment de l'Algérie française étaient majoritairement vichystes et collaborationnistes alors qu'ils ne l'étaient pas obligés (sachant que l'Algérie n'était pas un pays occupé par l'armée allemande)

- que ces mêmes pieds noirs n'ont pas (ou très très peu) fait partie de l'armée d'Afrique qui a débarquée en Provence et Monte Cassino. Au contraire, ceux-ci étaient en train de profiter du soleil et de la plage.

MON MESSAGE A ÉTÉ CENSURÉ (supprimer du forum) sans même que j'en eus été informé.
Ce n'est pas la 1ere fois que je suis censuré (suppression de mon message).
Voila pourquoi je vous destine ce message afin de vous alerter de cette pratique.

Que mon avis ne plaise pas, je peux le comprendre mais qu'il soit interdit de s'exprimer même au sein de ce site, alors cela signifierait qu'il n'est pas aussi libre que cela... et qu'il est devenu comme les autres.

Je reposterai ce message que cela plaise ou non aux censeurs.

SEMIR
comme quoi ces journalistes sont effectivement des branleurs. Désolé, c'est la traduction la plus proche que j'ai trouvé pour selfie...
Mais diantre, vous allez finir (si cela n'est déjà fait) par donner raison à Patrick Cohen, Monsieur Schneidermann, car vous n'aviez aucune bonne raison de mettre le terme de quenelle dans cette rubrique, si ce n'est à faire un buzz malsain, puisqu'on peut tout à la fois critiquer les selfies et les journalistes aux ordres sans pour autant faire appel à cette symbolique, fut-elle à la mode.

yG
Bonjour
2 choses:
Je pense qu'en regardant ces pitres, les journalistes de Libé comprendront pourquoi plus personne ne lit leurs feuilles de choux.
Autre point, la NSA peut dormir tranquille, Pépère n'y a vu que du feu.
Une seule solution, virez-moi tous ces connards !
Actuellement en étude journalisme je me désole de voir à quel point la profession a perdu de sa superbe.. Plus aucun travail d'enquête, aucune analyse. Je trouve mon réconfort en lisant, chaque jour vos articles qui ont au moins le mérite de dénoncer les dérives de cette "pseudo" élite journalistique.
[quote=Nino]des copier-coller des textes de l'AFP

Oh, ça, ça ne date pas d'hier: au tout début de ma découverte d'internet, j'avais été scotchée de constater que tous les journaux, du Figaro à l'Humanité, commençaient leurs articles avec les mêmes phrases, au mot près. Quel était ce mystère? Ben... la dépêche AFP d'origine, bien sûr. Moi qui croyais encore à la presse écrite, ça a porté un rude coup à ma foi. C'est ainsi qu'ils n'ont ps tort quand "ils" rendent internet responsable de leurs malheurs actuels: internet a d'abord révélé leur indigence. Puis leurs mensonges et leurs parti-pris quand les blogs ont commencé à fleurir: quelle bouffée d'air frais! Aux blogs ont succédé de vrais médias. C'est pour ça que Libération doit envisager une reconversion dont on igore encore si elle ira vers le plus pire ou le moins pire.

Découvert ce matin sur Acrimed un très vieil article (2006) qui mérite réflexion.
"Journalissse avec trois "s" dit un pote à moi, pour bien signifier l'importance du titre. Et il ajoute : "Si c'était un métier difficile, on ne l'aurait jamais fait."

Ce message a été supprimé suite à la suppression du compte de son auteur

Une petite précision si je peux me permettre.

Si j'en crois le Canard enchaîné de la semaine dernière, il semblerait que les Américains ne menacent pas tant les entreprises françaises (ou du reste du monde) pour préserver l'embargo que pour réserver tous ces beaux contrats à des firmes américaines.

Mais ça c'est vrai que même en écoutant avec la dernière gravité ladite conférence, on n'aurait pas pu le sortir sans enquêter un peu, et c'était manifestement beaucoup en demander à ces "journalistes".

Reste à savoir si cette "décomplexion" de plus en plus obscène du système précipite sa chute ou bien révèle son impunité désormais trop établie pour être contestée... Je fais le pari de l'optimisme !
Et tous les incrédules qui auront cliqué vers le compte Twitter du pitoyable Thomas Wieder auront vu son avatar :
Une pose de ravi de la crèche, les doigts délicatement posés, pour ne pas l'abîmer, sur la carte postale du président français. Oui, cette image officielle dans les jardins de l'Élysée, autre lieu-saint où il a ses entrées.
Cette vénération iconique et cette inconscience à l'afficher sont effarantes.
Il est tellement mauvais (ou occupé à "compter le nombre de retweets de [ses] selfies") qu'il a été obligé de faire des copier-coller des textes de l'AFP pour pouvoir faire un semblant d'article !

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