Conseil scientifique : pendant l'été, des alertes incomprises
Suite au reconfinement décrété depuis le 28 octobre, certains médias redécouvrent, avec surprise, la justesse des avis rendus pendant l'été par le Conseil scientifique Covid-19, chargé d'éclairer le gouvernement. Ont-ils été médiatisés à l'époque ? Oui, mais toujours d'une façon qui ne permettait pas de comprendre les enjeux de fond.
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Commentaires préférés des abonnés
Il n'y a pas de surprise du côté du virus ou de la politique.
Peut-on être surpris de Macron, un psychorigide incompétent souffrant d'une myopie politique très sévère ? II s'est entouré de personnes qu'il a choisies pour n'en faire qu'à sa tête,(...)
Véran avait promis une augmentation significative de lits en réa, rien n'a été fait. Selon le ministère de la santé il y a en France 5800 lits pérennes. Pareil qu'en Mars. Mais attention une augmentation importante du nombre de flics. Ouf quand même!(...)
On a donc Buzyn qui tire la sonnette , puis le conseil qui tire aussi la sonnette ? Je crois que je ne comprends plus grand chose au fonctionnement de ce pays (on en deviendrait presque "complotiste-islamo-gauchiste-platiste-reptilien" , mais ...je m(...)
Derniers commentaires
J'ai confusément perçu, à un moment, que le conseil scientifique était en quelque sort tombé en disgrâce. "Nos" médias prenaient leurs distances, soulignaient qu'il ne pouvait pas décider seul, que c'étaient les politiques qui décidaient en tenant compte non seulement de l'aspect scientifique et sanitaire mais aussi....
Est ce que ça a coïncidé avec des propos plus alarmistes que "rassuristes"?
ASI, dont c'est le coeur de métier, pourrait peut être nous faire une petite rétrospective de cette évolution qui m'avait semblé sournoise?
Pas lié directement à l'article, mais bonne chronique je trouve, Confinements de François Morel :
Le Pixel Mort (successeur du zapping) : https://youtu.be/26RVaBh4up4
MENSONGES & MANIPULATIONS : La Macronie face au COVID 19
1er novembre 2020
Nous voici abonné à la repentance sur ASI. Non mais.!!
On va reprendre, sans sociopathie.
Retour aux bases, des bases un peu trop ripolinées et tout brille trop et s'excuse trop. Pas d'excuse. Pas d'excuses pour les uns, les unes, les absents les présents; tous mauvais.
Au début quelques faits signalés en Chine, on enquêtait, quelques pneumonies, mais serein il fallait être; Mme Buyzyn en France " a dit qu'elle savait".. "qu'elle avait dit".. et que voilà.
La Chine "a dit" que on allait tester, confiner, et maîtriser. Ils le firent. Bilan: 3000 morts c'était (mensonge canulard gigantesque qui a égaré tout le monde sur la gravité) , que pandémie pas certain, l'OMS "disait" pas pandémie, mais épidémie; oui pour une pandémie il faut une épidémie dans au moins deux pays. Bien dit.
Les médecins en France, silence. Ne disaient rien.
Puis quelques cas en Corée du Sud, jugulés, tests " maouse", traçage nickel , haut - parleurs, cabines ambulantes de dépistage; Fritz Lang. Jugulé ont-ils dit.
Enfin l'Europe, l'Italie, ailleurs aussi, Creil en France, la Savoie. Les chaînes d'info-turbo tiennent leur bambou, le bon bout: alors professeur dites-nous.. Rien dit le professeur, une gripette sans plus. Un autre? attendons.; un autre, oui la Chine a maitrisé, alors. ..Un seul s'énerve, au drôle de nom: Jérôme Canard, chercheur au long court sur les virus, on lui a coupé les vivres il y a deux ou trois ans, estimant que le Sras (le 1) avait disparu, alors.. Notre volatile (dans une tribune du journal le Monde) éructe: attention c'est le copain du Sras 1er, attention.. c'est son pote..c'est peut-être terrifiant. On ne l'invite nulle part.
Tout s'emballe. Comité de "scientifiques"; le masque? bof..les tests? bof.. les frontière on contrôle? pardon? contrôle? , non point, allons et la libre circulation,, etc..
Deux mois après, carnage dans les Ehpad, dans les hôpitaux..
La mort ne prévient plus. Elle englobe tout, la tête, toutes les têtes les tubes qu'on insère, le jour, les nuits, les médecins sur le terrain perdent leur savoir et leur innocence.
"Il dit" on confine.
Puis les chiffres, musique silencieuse de 18 h 30 de "monsieur chauve qui peut" faiblissent, moins de souffrance, l'angoisse a levé son ultimatum, du moins le croyait-on..
Puis déconfinement. Ouf nous disons.
Le comité scientifique dit une chose, puis son contraire puis le contraire de la chose dans son contraire, l'oeuf et la poule qui sait qui a commencé n'est ce pas?
Puis les politiques disent: c'est nous qui disons. Bon. Gagné, comme dans la Divine Comédie.
Puis? Nouvelle avalanche, adieu l'espoir, la mort revient. un cheval de troie s'est insinué dans les cerveaux, les corps, les sociétés,
Oui, là, les scientifiques, ont dit: attention, on va manquer de liquide de refroidissement.
La mort devance la pensé, ce devrait être l'inverse..
monsieur le virus, please, une pose?
Tout le monde a tout faux, scientifiques, politique non-scientifiques tout le monde "onditaditilsont di", tout ce monde là.
Moi aussi. Aucune analyse dans mon truc, une pure colère... .
.Barbe bleue, Prométhée, Eschyle, Dukas, Satie, Ravel, le prince Gabriel Fauré, Pessoa, Nicolas de Staël, après tout, vous êtes bien morts? on peut bien être mourant non?
Non, tout était compréhensible et ça a été une volonté présidentielle et gouvernementale que de ne pas prendre en compte les alertes car seul le redémarrage de l’économie importait, comme aujourd’hui avec ce nouveau confinement qui relève plus de l’opérette que de la lutte contre le coronavirus.
Le conseil scientifique avait prédit ? A la lecture de la fameuse phrase, je trouve plutôt qu'ils ne s'est pas mouillé : "hautement probable" et non "quasi certain", "pourrait être" et non "sera".
L'avantage de ces tournures de phrase permet au conseil de scientifique d'avoir toujours raison :
Cas 1 : pas de nouvelle vague, on avait dit hautement probable et pas "certain"
Cas 2 : une nouvelle vague, on vous avait prévenu que c'était hautement probable.
Cela dit, le gouvernement n'a semble-t-il rien fait pour :
Augmenter la capacité hospitalière
Diversifier les possibilités de traitement en amont des hospi
etc...
Mais le gouvernement ne peut pas être au four et au moulin en même temps !
Ils ont autre chose à faire que de régler ces problèmes d‘épidémie ! Une réforme du chômage, par exemple ! Faudrait peut-être vous mettre à penser printemps et start-up nation : une réforme du chômage - comme une réforme des retraites - freine la progression d’une épidémie !
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Pendant ce temps, la mise en place de la suppression de la prochaine Élection Présidentielle fait son chemin.
Hé hé hé...
A suivre...
Quelle vague récurrente est la plus inquiétante, la pandémie ou le monsonge ?
Comme dit ailleurs: "Sacrifions la santé , pas l'économie !"
Ou alors sacrifions l'economie, la sante suivra
Comme disait le regretté CHURSCHILL :
Vous avez accepté le déshonneur pour éviter la guerre, vous aurez le déshonneur et la guerre.
Vous sacrifiez la santé pour sauver l'économie, vous n'aurez ni l'un ni l'autre.
Sans economie pas de sante
Sans sante pas d'economie.
Sacrifier un pour sauver l'autre finira par tuer les deux.
comme si l'"économie" était un être vivant corruptible par la maladie .
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Pourtant simple , l'économie est le fruit des interactions du vivant , elle n'est pas un "déjà là" si le vivant en est absent.
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...et ?
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...polémique ? De la part de quel intervenant ?
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Soyez précis , ce serait plus compréhensible.
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Mon cher jeanbat , ayant déjà du mal à m'aider moi-même à conserver un mental non dégradé en ces temps incroyables , vous excuserez ma démission du rôle que vous me prêtez. Comme chacun , je cherche où se trouve (ou s'il en reste , se cache) le sens des orientations générales de nos civilisations. Je pense que la phrase qui vous a posé problème était suffisamment simple dans son énoncé pour être comprise: "L'économie n'est pas un être vivant" découle du fait qu'une raison sociale quelconque (au sens juridique) est devenue supérieure en droits à l'être vivant.
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Ce qu'il faut comprendre , à mon sens , est que l'économie (du moins sa doctrine politique) est adaptable , en tant que concept ou "religion" , à toutes situations anthropologiques , n'est ce pas d'ailleurs le vocable "monde d'après" qui l'exprime le mieux , il est en vogue et sur de nombreuses lèvres. La question est donc de savoir si ce "monde d'après" est création d'un nouveau concept , ou affirmation par une société (donc d'un collectif du "vivant") de l'exigence prioritaire de prendre les mesures nécessaires à sa survie. Ce n'est pas l'interdépendance qui est ici en jeu , mais le sens des priorités.
E .Todd , pour ce qui concerne la notion de "démocratie" (donc de politique , donc d'économie) , nous rappelle avec "délectation" les élections législatives de 1943 au Danemark ... les sociaux-démocrates en sortirent vainqueurs ... sous la botte de la Wehrmacht ... on voit bien dans ce cas précis où se situe la notion de "priorité".
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On pourrait , effectivement l'envisager sous cet angle , mais comment prédire l'avenir ? Personne ne peut.
Véran avait promis une augmentation significative de lits en réa, rien n'a été fait. Selon le ministère de la santé il y a en France 5800 lits pérennes. Pareil qu'en Mars. Mais attention une augmentation importante du nombre de flics. Ouf quand même!..
Il n'y a pas de surprise du côté du virus ou de la politique.
Peut-on être surpris de Macron, un psychorigide incompétent souffrant d'une myopie politique très sévère ? II s'est entouré de personnes qu'il a choisies pour n'en faire qu'à sa tête, soutenu par des médias obséquieux s'appliquant à convaincre l'opinion de la justesse de ses choix calamiteux.
Fort heureusement, il existe des dissonances qui s'amplifient et se multiplient. Ainsi, Eloi Laurent, professeur à Sciences Po Paris (https://www.franceculture.fr/emissions/la-grande-table-idees/eloi-laurent) qui résume assez bien comment ces gens sont incapables de construire l'avenir.
Quant au virus, il démontre qu'une toute petite séquence d'ARN suffit à démasquer - dramatiquement - une imposture politique.
Une accélération soudaine ?
Et si les annonces épidémiologiques étaient plus élaborées que le mode "le chiffre du jour" ?
Une interrogation ensuite , quel est , ou sont , les rapports entre conseil scientifique et conseil de défense ? Quelle est la priorité des "décisions" prises par l'un et/ou l'autre. J'ai cru comprendre que ces décisions étaient appliquées "post conseil de défense" , suis je dans l'erreur factuelle ?
On a donc Buzyn qui tire la sonnette , puis le conseil qui tire aussi la sonnette ? Je crois que je ne comprends plus grand chose au fonctionnement de ce pays (on en deviendrait presque "complotiste-islamo-gauchiste-platiste-reptilien" , mais ...je m'égare sûrement).