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Confinement : 70 millions de cancres

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Il y a bien longtemps que je ne regarde plus ces messes ridicules, je lis les débriefs si nécessaire. Le plus insupportable, c'est ce type qui nous dit "je ne rendrai pas le vaccin obligatoire". C'est ce "je" qui est insupportable. Et j'ai envie de d(...)

Ah non Daniel, moi hier soir à 20h je n’écoutais pas El Presidente, je jouais à Zelda Muso 2.


Je savais que je pourrais trouver dès le lendemain des résumés circonstanciés de ce qu’il y a à savoir sur les « ajustements présidentiels ».


Mais heureu(...)

 " J'ai décidé que vous ferez ceci

"  J'ai décidé  que vous ferez cela

" J'ai décidé  que vous ne pourrez pas


'Moi aussi, j'ai des idées , j''ai  décidé que je ferai ce qui me parait responsable.

(...)

Derniers commentaires

Et si on parlait d'autre chose que du Covid?


Un article de Basta, par exemple: 2000 enfants déclarent un cancer chaque année en France, et les recherches épidémiologiques sont quasi inexistantes.

"Pour les promenades, ce sera donc 20 kilomètres. Pourquoi 20 ? Pourquoi pas 10, ou 30 ? Et pour les célébrations religieuses (...) ce sera 30 fidèles à la fois, pas davantage. Pourquoi 30 ? Pourquoi pas 20 ou 40 ? "

Si vous trouvez des critères objectifs et indiscutables permettant de fixer un seuil discret à des processus continus, un prix nobel de mathématiques vous tend les bras.


Ce genre de questionnement "pq 20 et pas 30 ou 15", c'est le petit lait des anti-mesures Covid.

"Seul Mélenchon qui a senti le creneau" . Pour vous melenchon est un commercial ? Difficile pour vous de dire quelque chose de positif sur Mélenchon sans aussitôt l'atténuer par une vacherie.

Il faut arrêter de dire qu'il a "un cerveau génial". C'est surtout un malin qui a de gros appuis financiers et une bande de Playmobil aux ordres. Relisez bien sa biographie (la vraie) et vous comprendrez qui il est et les risques qu'il nous fait encourir.

"une perm'" ! ah ah ah les trentenaires ne comprendront pas de quoi il s'agit !

Pas cancre sur mon banc attendant la sentence, j'ai atterri tardivement sur Arte où il n'était pas question du p'tit préz' et de son autoritarisme... Je savais qu'on savait l'essentiel, donc une descente par paliers avec infantilisation habituelle via l'autorisation (on est si bien chez Guignol et la peur du gendarme) ! 

Et oui, j'ai entendu l'autre jour les propositions de Méluche, et en effet, on dirait bien qu'on pense un peu "en amont" à la F.I. Dimanche dernier, sur FR3, il a aussi abordé le vaccin de l'Institut Pasteur, pourquoi il était lent à venir... la recherche scientifique, l'organisation d'un monde avec COVID parce que le vaccin, même amerlocain ou russe ou british, eh bien ça ne se "valide" pas en un coup de cuiller à pot ! Donc nos pseudo-sages-dirigeants-de m... décident un peu n'importe quoi n'importe comment, comme ils le font depuis le début de la pandémie.

Et comme les media continuent à s'acharner sur Mélenchon parce que "ça l'fait"... on n'est pas sortis de l'auberge avec les autres nazes qui ne sont préoccupés que de réprimer, condamner, faire cracher au bassinet via les amendes... s'acharnant sur ce pauvre petit peuple français qui n'en peut plus d'être considéré comme des nouilles.

JM Mélanchon est un visionnaire dont il faut suivre avec intérêt les recommandations. Il avait voté contre le projet du premier déconfinement le 28 avril dernier à l'Assemblée: "La deuxième vague de l'épidémie est inéluctable, le deuxième pic est inéluctable et il sera d'autant plus violent que les conditions n'auront pas été réunies pour réussir" le déconfinement"

(Je n'étais pas non plus devant le poste car je n'imaginais qu'il y eut une ou des actions/décisions à envisager immédiatement après ou pendant, en ce qui me concerne. Donc ce fut un peu de lecture au petit matin.)


Par contre j'ai lu dans un journal du soir qu'il y avait eu beaucoup de concertations avec les représentants des différentes associations et fédérations professionnelles sur les modalités pratiques du 28 novembre. 


Donc est-ce qu'il faut vraiment penser qu'il n'y a aucune intelligence collective dans les décisions et mesures, comme le suggère la chronique? 

Imagine-t-on les restaurateurs, les évêques, les profs, les rabbins, les imams, les patrons de clubs de sport, les patrons de libraires, les libraires salariés, les actionnaires de la grande distribution, les petits patrons de boîtes de nuit, les comédiens, les soignants, les fanas du télétravail, les déprimés du télétravail, s'accorder harmonieusement sur des préconisations sanitaires ? 


on est même pas foutu d'informer les gens correctement sur la réalité des risques de contaminations. On a des agents d'entretiens qui nettoient frénétiquement toutes les surfaces dans les lieux publics; les gens se lavent les mains toutes les deux minutes; alors que absolument rien n'est fait pour l’aération et le renouvellement de l'air; bien plus crucial que la contamination des surfaces si on en croit les dernières publications scientifiques sur le sujet (elle serait nulle selon plusieurs études). En Asie on communique sur l'aération des espaces depuis mars; en Allemagne on investit dans des purificateurs pour les classes. Ici à part deux trois vagues mentions ça n'existe pas; avec evidemment pour effet qu'on a des protocoles sanitaires kafkaïens mais complétement illusoires. 

Comment voulez vous que qui que ce soit prennent des décisions informés sur les risques dans chaque lieu sans cette information cruciale; et plus généralement sans une information scientifique de qualité (que ce soit de la part des médias ou des politiques). Sans parler des investissements qui seraient nécessaire (installer partout où c'est possible des VMC avec filtres ou des purificateurs).

Une quarantaine de députés dans un hémicycle prévu pur 600. C'est sûr, les distances sont respectées.


Après, ça fait un peu... prêche dans un désert.

Mélenchon est en campagne ...pour 2022 , méfiance...donc !!

Macron aussi, et il pique les idées de Ciotti et de La Pen... alors ?

alors c'est partiiiiiiiiiiiiiiiiiii

Pourquoi macron, hidalgo, jadot ne sont pas en campagne ? Etre en campagne interdit de faire des proposition censée

sensée , sans doute , mais surtout opportune ..............

Du coup j'aime beaucoup des opportunités justes, qui tiennent la durée.

Du coup ça ne peut plus s'appeler une "opportunité", mais un programme.

Ce qui fait sens, qu'on y adhère ou pas...

Vous partez donc du principe que le président de la république se ferait élire sur un programme et que son intention serait de servir le peuple ......


Un homme providentiel , en quelque sorte !


Je vous envie cette certitude ( ou vœu ..pieux?)


Je la respecte aussi .


Un  exemple récent ?



Bien à vous .


Deux choses se passent quand on arrive au pouvoir suite à des "élections".


La première est la persistance - C'est dire ses propres à priori (croyance, volonté, renvoi d'ascenseur éventuel, etc...) bref, tout ce qu'on voulait faire de soi même, à l'insu même de son plein gré. :-)

La deuxième sont les contraintes du poste - C'est à dire tout ce que la Fonction impose de gérer, qu'on y soit prêt ou pas, ou qu'on comprenne même ou pas ce qu'on doit faire. (Roi c'est un métier :-) )

Le résultat est que tout ce qu'on croyait, ou presque, vole en éclat devant les nécessités impérieuses réelles du job.

Et le plus beau est qu'aussi pourri qu'on soit au départ, avec autant de volonté de servir ses commanditaires (et/ou soi même) qu'on ait, la fonction de diriger des humains impose la prise en compte de ceux qui attendent de vous leur "bien être" - Même quand vous ne voulez pas. C'est comme ça.


C'est ainsi qu'on voit des Dirigeants mis en place par des Puissances se retourner elles. Et se faire démolir. Ou d'autres perdre la boule dans le tiraillement psychologique. Soit même les deux.

Le poids de la charge d'homme impose à l'humain en charge des contraintes inhumaines et destructrices.

C'est ainsi qu'un programme (plan, mission, objectif - mais aussi système de pensée), sur lequel il y a adhésion, allège la charge de celui qui coordonne le programme et implique les acteurs.


""Soyons réaliste, tentons l'impossible, l'avenir n'est écrit nulle part.""

""On ne savait pas que c'était impossible, alors on l'a fait.""


Notez bien:

Je parle bien de pouvoir attribué suivant les règles d'un système ou d'une organisation.

Pas du pouvoir qui vous échoit suite à des troubles ou des circonstances extraordinaires.

Pas sûr qu'on ai appris ça à Science Po ou dans les écoles de commerce ces dernières décennies...

:-)



la politique c'est en effet mettre en place une règle du jeu pour le bien-être des citoyens , pour le bien de TOUS et non de soi ,très difficile voire impossible à assumer donc : politikos et politeia .


il existe aussi le "jeu des trônes" , la lutte pour le pouvoir :politiké 


si comme vous le dites fort justement 


"Le résultat est que tout ce qu'on croyait, ou presque, vole en éclat devant les nécessités impérieuses réelles du job. "


Pourquoi persister à promettre des solutions dont on sait qu'elles ne pourront être tenues par exemple dans le contexte européen ?

N'auraient ils pas conscience de cette réalité que vous décrivez si bien?

Inquiétant , à ce titre là aussi !


Force est de constater, qu'élection après élection , personne ne croit plus (abstention) , ni dans les hommes politiques , ni dans les programmes qu'ils ne maitrisent mème pas eux mêmes, tant le pouvoir est ailleurs .

Que faire ?........





""la politique c'est en effet mettre en place une règle du jeu pour le bien-être des citoyens "".

Non, non, non. :-)

Cette phrase sous entend des principes de |Bien| et de |Mal|.

La Politique c'est juste |l'Organisation| de la Cité. 

Rien de plus.

Cette organisation ne peut subvenir que si une majorité de membres s'y trouve "confortable" et que la minorité accepte le niveau de "confort" qu'elle leur fournit.

C'est tout.

La Politique ne cherche pas spécifiquement le bien-être de ceux qu'elle régit. Elle cherche l'efficacité de l'organisation. Le "bien-être" est un bénéfice collatéral. :-)
Chercher un objectif altruiste à la Politique c'est se méprendre sur son rôle.

C'est pour ça que TOUS les Régimes politiques se valent dans l'absolu et ne différencient que par la manière d’administrer leur pouvoir.


Une démocratie peut être parfaitement tyrannique ou totalitaire.

On peut être en Dictature et s'y trouver bien.


Il ne faut surtout pas faire la confusion entre :

le Régime Politique :  Monarchie, République, Dictature... et ses variantes.

La manière de désigner les dirigeants : Autocratie, Démocratie... et toutes les variantes.

Et la manière d'exercer le pouvoir: Tyrannie, totalitarisme, libéralisme... et les variantes.

De plus, tout Régime Politique est transitoire et ne fonctionne bien que dans un contexte spécifique donné. Il n'y aucune inéluctabilité ou finalité. Il y a une adaptation permanente à la situation. Un Régime tombe quand il a atteint sa limite de flexibilité devant les impératifs de la situation.


Pour le "Que faire?"

Un Pouvoir ne s'exerce jamais que si on le laisse s'exercer. (La Boetie)

Et il n'est jamais que la volonté de ceux qui s'expriment ou qui ce sont exprimés.

Donc saisir toutes les opportunités d'exprimer sa propre volonté.

En l'état actuel de la situation, une des opportunités encore disponible est de voter.

Les alternatives sont bien moins agréables (pour euphémiser à la Jancovici)

Et pire, cette opportunité n'est en rien garantie dans la durée...

C'est vous qui voyez. :-)

merci de votre réponse ,: "C'est vous qui voyez."oui et  vous m'y aidez ...

encore merci de cette longue réponse dont je ferai bon usage 


bonne soirée


"La Politique c'est juste |l'Organisation| de la Cité. Rien de plus.

Cette organisation ne peut subvenir que si une majorité de membres s'y trouve "confortable" et que la minorité accepte le niveau de "confort" qu'elle leur fournit."


Intéressant. Mais j'inverserais "majorité" et "minorité": une minorité organise à son profit, et ça dure tant que la majorité se résigne. 

Ça c'est parce que "ta" majorité a abdiqué de son pouvoir au profit "ta" minorité. :-)

Si on laisse faire les enfoirés, il ne faut pas s'étonner qu'ils s'éclatent... :-)

Surtout remarque que je parle de "confort" c'est à dire ce qu'on trouve acceptable à moindre effort. Le mot clé est effort.

D'autre part le corollaire de la phrase que tu cites est que le désordre (donc la désorganisation) résulte du sentiment dé-confort. Ce qui est actuellement le cas un peu partout en Occident et en particulier en France.

Qu'on le regrette ou qu'on s'y résigne, la plus grande partie de l'humanité accepte la soumission. C'est seulement quand ça devient insupportable, inacceptable, que de larges fractions (et encore pas majoritaires) de l'humanité cessent de se résigner, et vont jusqu'à la révolte, pas seulement dans l'idée mais dans les actes. 


Les puissants, par contre, savent toujours jusqu'où ne pas aller trop loin. Sauf accident. 


Il me semble qu'on est dans une de ces périodes charnière où le nombre des acceptants diminue, tandis qu'augmente le nombre des refusants. À suivre. 

tout serait encore possible , donc .........





La fin du courage: la reconquête d'une vertu démocratique

Couverture

Cynthia Fleury

Chaque époque affronte, à un moment de son histoire, son seuil mélancolique. De mème, chaque individu connaît cette phase d'épuisement et d'érosion de soi. Cette épreuve est celle de la fin du courage. Comment convertir le découragement en reconquête de l'avenir ?
Notre époque est celle de l'instrumentalisation et de la disparition du courage. Mais ni les démocraties ni les individus ne peuvent en rester à ce constat d'impuissance. Nul ne résiste à cet avilissement moral et politique.
Il s'agit de surmonter ce désarroi et de retrouver le ressort du courage, pour soi, pour nos dirigeants si souvent contre-exemplaires, pour nos sociétés livrées à une impitoyable guerre économique. Le plus sûr moyen de s'opposer à l'entropie démocratique reste l'éthique du courage et sa refondation comme vertu démocratique.
Dans cet essai enlevé, Cynthia Fleury rappelle qu'il n'y a pas de courage politique sans courage moral et montre avec brio comment la philosophie permet de fonder une théorie du courage qui articule l'individuel et le collectif. Car si l'homme courageux est toujours solitaire, l'éthique collective du courage est seule durable.


Cynthia Fleury, philosophe, professeur à l'American University of Paris, travaille sur les outils de la régulation démocratique. Elle a publié de nombreux ouvrages, dont Les Pathologies de la démocratie (Fayard, 2005).

"tout serait encore possible , donc ........."


Oui. Cynthia Fleury fait partie de celles et ceux qui nous indiquent une autre direction que le désespoir fataliste. Mais nous sommes sur une ligne de crête. 


Au contraire de ceux qui divisent vieux et jeunes entre catégories ennemies, je pense que nous les vieux avons vu beaucoup de choses et beaucoup réfléchi, ce qui n'est pas inutile, et que les jeunes ont l'énergie, le courage, les capacités d'innovation qui se sont un peu érodées chez la plupart d'entre  nous. 

Je pense comme vous et je veux y croire .


Bien sur que les jeunes gens sont toujours aussi courageux comme à chaque génération ...


Ces "catégories ennemies " sont elles dues à une incapacité de transmission? , faute de courage des vieux (nantis , paresseux et égoïstes ?) ou au manque d'écoute des jeunes (trop sollicités ailleurs ?)


Je ne sais pas , je constate cette difficulté autour de  moi et les dégâts qu'elle provoque  .....il m'arrive de douter , parfois !


Merci de votre réponse .

Je mettrai un bémol à ça: ""Les puissants, par contre, savent toujours jusqu'où ne pas aller trop loin. "" :-)

Je propose de bannir cette attitude.

Parce que par cette phrase deux démobilisateurs sont énoncés.

Le premier : les puissants - Les puissants sont ceux qui peuvent (sur un sujet donné ou un autre), donc c'est vous, moi et les autres tour à tour et suivant les circonstances.

Le deuxième : savent toujours *- Ben non, justement, ils font exactement comme vous, moi et les autres, ils font ce qu'ils peuvent dans la mesure de leurs capacités.

Ce qui veut dire que, puisse que ce ne sont pas des "martiens", ils ne peuvent ni plus, ni moins que ce que NOUS pouvons.

C'est bien pour ça qu'ils n'arrêtent pas de faire des conneries (tout comme nous) et que la situation est celle qu'elle est. Puisque s'ils étaient si forts et si compétents, nous n'en serions pas là.

Le signe le plus fort de la justesse de la contestation est qu'elle existe.

Rien n'existe qui ne  fasse sens.


Ps: 

* Quand à "ne pas aller trop loin" - l'Hubris est ce qui caractérise nos dirigeants actuels et justement, ils vont trop loin... :-)


J'ai écrit: 


"les puissants, par contre, savent toujours jusqu'où ne pas aller trop loin. Sauf accident." 


J'aurais dû mettre "puissants" entre guillemets et "sauf accident" en gras. Car le monde et les temps changent.

"Et comme souvent, seul Mélenchon, qui a senti le créneau..." 

"Qui a senti le créneau" ?   Pourquoi cette petite précision fièleuse, cher Daniel ? Pourquoi les propositions de Mélenchon auraient-elles par essence un méchant motif ? Qu'est-ce qui vous donne cette certitude ? Qu'est-ce qu'il vous a donc fait, le Méluche, pour que vous le l'aimiez pas ?

Assis au fond de la classe près du radiateur, je regarde par la fenêtre. Et je rêvasse.


Je n'entends rien ; les mots du prof en chef glissent sur la toile de la démocratie.


Que j'en meure de rage ou d'affection, peu importe.


Car


Concision, précision et juste ce qu'il faut d'ironie, une chronique parfaite, merci!

Tout est dit dans cette chronique, mais je ne comprends toujours pas que ce ne soit dit que maintenant (6 mois plus tard et alors que nous vivons un 2e confinement) alors que les questions posées étaient déjà valables au moment du 1er confinement.


Déjà à l'époque, pourquoi une heure, pourquoi un kilomètre (et même plus alors, ne pas aller en forêt, en montagne ou sur les plages) et pourquoi une dérogation ? déjà à l'époque, il ne dépendait que de nous et de nos comportements "que la punition soit allégée", le contrôle de la pandémie ne semblait relever que de notre responsabilité... Et déjà à l'époque, qu'a fait l'Etat pour s'enrichir d'une réflexion collective ?

 "je ne partage pas la raillerie libérale montante sur l'Absurdistan. "
Cette phrase m'interroge beaucoup.

J'imagine que vous vouliez écrire la "raillerie contre le système libéral" ?


De ce que je comprends, vous sembler dénigrer ce terme "absurdistan".
Parce qu'il aveugle et ne permet pas la réflexion ?

Parce qu'il prête à sourire ?
Parce qu'il rapproche deux champs lexicaux, ce qui serait dangereux ? (ce n'est pas possible que les représentants d'état fasse leur devise de l'absurde, voyons... nous ne sommes pas dans "le roi et l'oiseau")



Quand je vois ce qu'expose David Cayla sur les prises de paroles publique des gens "compétents" sur les sujets économiques:


-visible ici-

https://twitter.com/dav_cayla/status/1331284290718621698



David Cayla s'inquiète, sur ce tweet, de  "l'absence de compréhension des mécanismes élémentaires de l'économie des membres du gouvernement", quand Olivier Dussopt déclare au Monde:  "Les Français sont pleins de bon sens, ils savent que lorsqu’ils empruntent de l’argent à un ami, ils doivent le rembourser" en mettant en parallèle dette privée et dette des états.


Ne pourrait-on pas y voir, plutôt, des responsables politiques qui savent très bien comment ça marche, mais préfère employer des arguments faussement "de bon sens" pour noyer le poisson ?

Et ce à tous les niveaux. Nous sommes constamment abreuvés d'autres exemples de paroles publiques autre qu'économique de ce tonneau.  (cf. Sanitaire et écoles ou transports)


Que ce sont, ceux là, justement, qui devraient "jouer du plan" mais préfèrent "jouer du pipeau". Que ce sont eux, qui jouent de l'absurde ?

Dès lors s'approprier ce terme "absurdistan" me semble efficace pour contrer le pipeau.

Peut être que je me trompe, et que vous avez raison.

Mais, moi, ce terme je le trouve efficace, il me "réveille" dès que je l'entends


 

c'est pourtant pas compliqué, un peu de sens des responsabilités b... !!

La "Cène" revisitée façon visioconférence

Ah non Daniel, moi hier soir à 20h je n’écoutais pas El Presidente, je jouais à Zelda Muso 2.


Je savais que je pourrais trouver dès le lendemain des résumés circonstanciés de ce qu’il y a à savoir sur les « ajustements présidentiels ».


Mais heureux de voir néanmoins que vous notez que parmi « l’opposition », il en est une qui ne se contente pas de critiquer mais qui n’a de cesse de faire des propositions, parfois pertinentes, parfois moins, mais qui s’active en tout cas depuis plusieurs mois à essayer de faire vivre « notre démocratie ».

1/ Grinçons donc, caricaturons même...blague messe – Blagues et Dessins





2/ Le gouvernement de la France va-t-il enfin se décider à légiférer sur le bon usage des fenêtres ?


https://reporterre.net/En-Allemagne-contre-le-Covid-les-ecoles-ouvrent-les-fenetres 



3/ et pourquoi pas ... DECIDER que la messe sera dite désormais en plein air, tout comme les cinq prières ?  


Ainsi le Coronavirus aura permis de réunir les religions du livre dans une pratique rituelle commune; ça fera des économies sur l'entretien des bâtiments religieux.


Caricature en France : ses débuts au Moyen Âge

Mmmmmm... un plan ? On n'a pas un "Haut-Commissaire au..." d'ailleurs ??? Un certain Bayrou, François... dont le silence est assez assourdissant d'ailleurs. Il a peur de s'exprimer et donc prendre le risque de s'opposer à celui qui lui a offert ce joli biscuit ?

Bonjour, je viens de lire ce matin les réponses d'un président d'un groupe de scientifiques, quelconque, le mouvement, son conseil pour Noel, couper la buche en deux et les Mamie Papie mangent dans la cuisine, les Parents et petits enfants dans la salle à manger, si elle existe. Conseil délicat, n'est ce pas.....

Il y a bien longtemps que je ne regarde plus ces messes ridicules, je lis les débriefs si nécessaire. Le plus insupportable, c'est ce type qui nous dit "je ne rendrai pas le vaccin obligatoire". C'est ce "je" qui est insupportable. Et j'ai envie de dire merci à Notre Bon Maître, nous qui ne sommes pas dignes de sa Grandeur.

Devant tant d'optimisme et de "si vous êtes sages", il aurait été de bon ton d'insister lourdement sur le fait de se faire tester avant les réunions de famille. Je ne sais pas si ça va se généraliser, mais ce serait peut-être une bonne solution pour éviter les clusters de fin d'année. Ça, et éviter la bise, ça devrait sauver un paquet de vies mine de rien.

Bonjour, Beaucoup d’intérêts à lire ce papier mais tout de même Melenchon "a senti le créneau" Donc il ne peut pas y avoir une reflexion intéressante  sans un bas intérêt électoraliste d'après vous?

Ce Macron est décidemment insupportable. Je crains le pire pour 2022 : soit il est réélu et sentira légitimé dans plus d'autoritarisme, se disant comme Villepin que la France aime être violée, soit ... Le Pen. Qui pour nous considérer comme des adultes que nous sommes malgré tout ? Question d'enfant alors : dis Daniel, comment on sort du cauchemard ?

"Un seul cerveau génial " c'est de l'ironie j'espère ! 

 " J'ai décidé que vous ferez ceci

"  J'ai décidé  que vous ferez cela

" J'ai décidé  que vous ne pourrez pas


'Moi aussi, j'ai des idées , j''ai  décidé que je ferai ce qui me parait responsable.

Merci pour ce papier grinçant ce matin !

c'est vrai que la pantomime continue, et ce serait même presque drôle à force...

S'il n'y avait pas autant de gens qui reste sur le carreaux, qui en meurent ou qui vont en mourir à petit feu !

"Qui a senti le créneau" :-)))


Nous sommes collectivement pris en otage par l'inaction de ces gens, qui en usent et en abusent pour enfin gouverner comme ils l'entendent. Et les voix discordantes et construites ne seraient que des opportunistes ? 


Si les quelques rebelles du système ne rentrent pas clairement en résistance, c'est à mon sens dans l'espoir d'éviter le pire. On s'en rapproche, on n'en a jamais été aussi proche. Les gilets jaunes leur ont donné l'impression qu'ils y étaient, depuis qu'ils savent combien ils abusent. L'atonie qui a suivie leur fait pousser des ailes. Ils en rajoutent. Ils fourbissent leurs armes. Et ils trouvent des soldats pour les suivre. 398 voix pour valider cette loi sécurité. On doit demeurer au dessous de 5000 contaminations quotidiennes. En même temps qu'il parlait, SPF annonçait 9000 nouveaux cas. Ça va repasser en dessous de 5000 dès demain, assurément... ou pas. Il suffira de ne pas en parler.


Et donc, Mélenchon est un opportuniste.

"un plan" : mais il n'y a pas un mec qui est grassement payé pour faire ça, des plans, dans c gouvernement d'escrocs ? Ah si, mais c'est juste un emploi de complaisance pour permettre à un vieux politicard véreux de s'échapper quelques jours par mois de sa bonne ville de Pau dont il n'a rien à carrer.


Sinon, pour le reste, plutot d'accord, on est nul et ils sont "trop subtils, trop intelligents" pour daigner donner des explications à leurs décisions arbitraires.

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