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Cazeneuve "assassin" ? Controverse entre Mélenchon et Quotidien

Un, deux, trois, duel. Suite à une séquence diffusée mardi 30 mai dans Quotidien sur une conférence de presse de Jean-Luc Mélenchon, le conseiller numérique du candidat de la France Insoumise, Antoine Léaument, accuse l'émission de TMC de montage abusif et de manipulation. Quotidien lui a répondu. Qu’en est-il vraiment ? @si donne accès aux éléments.

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Je n'y résiste pas. <<<<>>>>
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UN CHIEN DE GARDE COMMENT CA MARCHE 

Quand un chien de garde accuse Jean-Luc Mélenchon « d'aboyer »


L'adversaire du militant ce n'est pas la Finance, ce sont les médias (nationaux et locaux).
Le message des militants en direction des citoyens électeurs est soit passé sous silence soit souvent brouillé et déformé quand il est évoqué.
Il faut différencier les journaux d'informations et les émissions de débats et d'entretiens.
Ces dernières sont souvent animées par des chiens de garde.

LES CHIENS DE GARDE

En 1997 Serge Halimi publie « Les nouveaux chiens de garde », réédité et augmenté en 2005 après le referendum sur la Constitution européenne. Ce fut un énorme succès de librairie sans aucune promotion dans les médias (et pour cause!!).
Un chien de garde c'est un « journaliste » ou un « intellectuel » qui dispose à l'année d'une émission de radio, de télé, d'une chronique régulière, ou qui est invité dans ces émissions dès qu'il le souhaite.
Son rôle, c'est d'organiser et de contrôler le débat sur la politique et sur la société, en veillant à ce que les remises en cause radicales du système politico-économique dominant n'accèdent pas à une audience significative. Et quand, en période électorale, comme actuellement, les propositions alternatives accèdent aux médias, alors le chien de garde mord en usant de tous les arguments possibles y compris le mensonge, la déformation des faits et des paroles prononcées ou la moquerie.
Quand le chien de garde dispose de ce pouvoir sans partage au sein même du service public de l'audiovisuel cela est d'autant plus insupportable pour le citoyen contribuable.
Et quand cela s'entend sur France Culture, la chaîne qui s'adresse aux citoyens éduqués et diplômés, on touche à l'obscénité.
Serge Halimi traitait entre autre du cas de Alain Finkielkraut qui a son émission sur France Culture le samedi matin.
Je vous propose un autre cas concret, celui de Philippe MEYER qui est depuis 1998 le producteur de l'émission du dimanche matin « Esprit public ».
Même si c'est un peu long, je vous propose de lire jusqu'au bout la transcription intégrale, au mot près de son intervention du 21 mai. Des propos courts (2 minutes sur une heure d'émission), mais très réfléchis et très violents.

LA PERSONNE DE PHILIPPE MEYER

Philippe MEYER qui a maintenant 70 ans fut un étudiant brillant , titulaire d'un doctorat en sociologie.
Mais cet esprit curieux de tout et qui développe des dons très divers (humoriste, écrivain, chanteur, connaisseur de la musique classique et de la bonne variété française...), choisit à l'âge de 33 ans en 1980 de s'exprimer dans le  journalisme  audiovisuel.
Il produit et anime, entre autres, depuis 1998 l'émission de France Culture « Esprit public »
En matière politique, ses inspirateurs sont Michel Rocard et François Bayrou.
Il fait son coming out en 2007 en annonçant dans son émission qu'il va voter Bayrou.
Et aux municipales de 2008 il prend la tête de la liste du MODEM dans le 5ème arrondissement de Paris.
Autant dire que le Gouvernement Macron le remplit d'aise puisqu'il y voit se côtoyer des socialistes rocardiens et des bayrouistes dont François lui même.
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SON EMISSION ESPRIT PUBLIC

Noam Chomsky qui a décrypté comment fonctionne la fabrique de l'opinion ou encore mieux la fabrique du consentement dans les démocraties avancées a bien montré que les médias dits « de qualité » ciblent essentiellement les catégories sociales supérieures (20% environs des électeurs potentiels).Et cela marche très bien.
C'est le cas de France Culture.

Philippe Meyer, comme Finkielkraut ne se contente pas de donner la parole à ses invités, comme un Frédéric Taddéi par exemple, il donne son avis personnel sur tous les sujets abordés.
Concernant le programme « L'AVENIR EN COMMUN » il n'en dit jamais rien. Sa stratégie consiste à décrédibiliser Jean-Luc Mélenchon lui même.

Déjà le dimanche 14 mai lors de son émission enregistré en public, il teste son « attaque » avec succès : le public s'esclaffe.
48ème minute : «  Jean Luc Mélenchon est occupé lui même à détruire ce qu'il a construit. Il va de plateau de télé en salles de meetings en disant qu'il ne lui a manqué que 600000 voix, ce qui en démocratie semble être une chose importante. Mais il le dit sur le ton d'Harpagon qui cherche sa cassette. Quelqu'un les lui a pris, il voudrait qu'on les lui rendent... (rires du public) »

Émission du 21 mai : Philippe Meyer revient à la charge et développe son attaque.
Il invite à sa table quelques experts qui ont déjà leur rond de serviette chez lui, pour parler des législatives à venir. Ici pas de public.
François Bujon de l'Etang, ancien ambassadeur.
Nicole Gnesotto de l'Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale.
Thierry Pech qui préside le centre de réflexion Terra nova qui a « vendu » au PS l'idée des primaires à l'américaine. Primaires dont le PS accepte le verdict quand c'est Hollande qui gagne mais qui le rejette sans état d'âme quand c'est Hamon le vainqueur.
Ce petit monde argumente longuement sur la divine surprise que représente l'élection de E Macron, sur la satisfaction des français, sur ses dons de stratège (ils hésitent entre Bonaparte pour l'âge et De Gaulle pour l'explosion des partis( etc etc...)

Et soudain à la 24ème minute, Philippe Meyer souhaite dire un mot de JLM alors que les autres n'en avaient rien dit jusque là. Cela va durer 2 minutes.

« Jean Luc Mélenchon avait la possibilité de créer quelque chose qui aurait été comme un PC sans l'Union soviétique, c'est-à-dire sans le soutien à une dictature totalitaire, et qui aurait été ce que le PC dans son meilleur comportement a pu être, c'est-à-dire celui qui donne une voix à ceux qui n'en ont pas, à ceux qui en ont par dessus la tête de voir des patrons partir avec des retraites chapeau et des primes extraordinaires, alors qu'ils ont foutu leur entreprise à genoux, par dessus la tête de voir Mr Barroso et la dame qui était commissaire européen partir pantoufler dans des entreprises qu'ils étaient sensés contrôler, et qui en ont par dessus la tête de voir l'argent public dépensé n'importe comment, et voir tous les ans à la télé que la Cour des Comptes s'est encore fâchée contre quelque chose qui finalement va perdurer.
Ces gens là pouvaient être organisés autour de JLM qui se comporte comme Monsieur Fenouillard* et qui a considéré que finalement on lui avait volé 600000 voix.
On cherche d'ailleurs encore le coupable et JLM tient le discours d'Harpagon** « ma cassette, ma cassette, rendez-moi ma cassette. Il y a d'ailleurs les plaisanteries les plus variées qui circulent sur les réseaux sociaux et notamment l'une que j'aime beaucoup qui dit que JLM a finalement trouvé le nom des 600000 personnes qui l'ont empêché d'être au deuxième tour et qu'il va s'occuper d'elles individuellement.
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Ça,, c'est très embêtant, parce que avoir ce type de populisme qui est au fond sans capacité de former quelque chose, d'exprimer quelque chose d'autre que les aboiements auxquels on assiste.
C'est quelque chose qui ne facilitera pas la vie démocratique dans les mois et les années qui viennent »

28ème minute : Nicole Gnesotto : « Comme Philippe l'a dit, l’extrême gauche de JLM est peut-être en train elle même de s’auto-affaiblir par l'excès de rhétorique de son Président

33ème minute : Philippe Meyer ne lâche pas le morceau :
« Après, la question qui se pose sur JLM, c'est de savoir s'il a eu des électeurs ou s'il a eu un public, c'est-à-dire s'il rassemble des gens pour faire en sorte que leur frustration, leur colère, leur espoir s'imposent dans le débat politique et précisément que tout ce qu'ils ont à dire soit dit à Emmanuel Macron, et à cette majorité qu'il recompose autour de lui, ou s'ils sont là pour faire une espèce de pom-pom girls ou de pom-pom boys pour Jean-Luc Mélenchon, et que lui même va faire son numéro sur les plateaux de télévision et les plateaux de radio.
C'est ça pour moi la question et je crains malheureusement qu'on soit plus dans la deuxième hypothèse que dans la première »

* Monsieur Fenouillard est une caricature de bourgeois brave et un peu sentencieux dessiné par Christophe (La famille Fenouillard 1889-1893)

** Harpagon (L'Avare de Molière)


DÉCRYPTAGE RAPIDE  DU MESSAGE DE PHILIPPE MEYER :

Le PC est quelque part un Parti honnête qui écoute le peuple
JLM , lui, est un m'as-tu-vu qui joue perso.
JLM se sert de son public qui le bade.
JLM n'a pas de propositions constructives.
JLM est un populiste d'extrême gauche de la pire espèce.
JLM est nuisible à la démocratie.

JEAN LUC MELENCHON LE 13 MAI LORS DE LA CONVENTION DE LA FRANCE INSOUMISE CONCERNANT LES 600000 VOIX :

« La responsabilité , (concernant ces voix manquantes), nous ne la renvoyons à personne d'autres qu'à nous-même. C'est-à dire qu'en observant qu'il nous manquait 600.000 voix, nous pensons d'abord aux millions de personnes qui ne sont pas venus voter et nous nous demandons comment faire pour que la prochaine fois ils viennent voter. Nous ne montrons du doigt personne et nous n'avons aucune polémique à mener »
Peut être qu'instaurer un quota nous débarrasserait des nuisances de Tigi qui nous accable de 14 commentaires (assez répétitifs) sur 59?
Je continue à être sidérée qu'un homme politique qui propose un programme intelligent, éthique, raisonné et calculé, qui lutte pour une vision de l'homme autre qu'une bête féroce dans la jungle, qui parle aux gens avec respect et non comme s'ils étaient des idiots patentés à gruger, exploiter, rabaisser puisse provoquer une telle levée de critiques non pas tant de la part de ses adversaires, dont on peut comprendre les craintes, mais de la part de gens qui se déclarent de gauche et veulent, disent-il, lutter pour un monde plus juste. Sauf que ce monde plus juste, apparemment, réside dans quelque paradis d'outre-tombe car quand on leur propose de faire quelques pas en cette direction, ils crient à la tyrannie, au dictateur, au fou furieux. Suis-je vraiment sidérée qu'on s'en prenne à JLM de gauche alors qu'il pourrait représenter le souhaitable et au moins susciter un espoir plutôt que des critiques permanentes sur son caractère quand on supporte des vainqueurs d'élections dont le plus grand titre de gloire - à part l'admiration sans bornes que semblent leur porter les médias - est le manque d'empathie psychopathologique dont ils font preuve à l'égard de nous, ce peuple misérable, bon à mettre de temps en temps dans l'urne le vote à confirmer sans trêve son esclavage et celui des générations futures. Suis-je vraiment sidérée ? Non. Derrière toute cette générosité d'une partie des gens de gauche, il y a, comme chez leurs adversaires, la peur panique d'un monde qui serait autre et où il faudrait se comporter autrement. La peur panique de s'apercevoir que la plupart d'entre nous sont les heureux créateurs de ce monde de merde qui les étouffe lentement, mais sans remettre en question, finalement, la chose la plus importante : la bonne conscience sans fatigue ni courage d'être sempiternellement dans l'opposition sans jamais devoir se remuer pour construire quoi que ce soit. Alors, on élit un Macron en se gargarisant de son héroïsme à avoir fait l'effort de passer outre à ses "scrupules"!!! pour gagner contre une candidate qui serait encore plus clairement destinée à l'échec ne fût-ce pour le splendide service médiatique qu'on lui sert, à elle et à son parti, depuis longtemps.
JLM n'est pas un saint, mais nous ne voulons pas d'une religion. Il a un programme, il le défend avec bec et ongles, tant mieux ! Ça change de cette fausse courtoisie hypocrite et méchante qu'on veut nous faire passer pour le respect de l'autre.
Le respect, c'est aussi de discuter avec conviction, passion et parfois colère et non de se passer les plats entre soi. Mais pour cela, il faut du courage, y compris le courage d'affronter en permanence le choeur des bien-pensants mal agissants voire totalement apathiques.
Concernant la polémique Cazeneuve, jlm reconnait que son vocabulaire était mal choisi et considère qu'il aurait du dire homicide. Concernant les excuses il ne les fait pas car il considère que l'éventuel procès aurait l'intérêt de remettre le dossier, que le pouvoir à réussi à étouffer, sous les projecteurs. Il a raison mais Cazeneuve doit avoir vu le piège qu'il s'est lui-même tendu et ne devrait pas donner suite... on verra.
Pour l'alliance à gauche de qui parle-t-on ?
Le PS ? j'ai vu une affiche aujourd'hui d'un candidat avec logo PS sur laquelle il y a à la fois : " votre député de gauche / majorité présidentielle (véridique et sans commentaires)...
Le PC a soutenu le programme présidentielle l'Avenir en commun en indiquant ne pas souhaiter d'alliances pour les législatives. Vu le bon score, FI leur a demandé s'ils n'avaient pas changé d'avis, mais tout en acceptant les réunions Pierre Laurent a déclaré rester sur sa ligne initiale. On comprends pas mais il semble préférer son logo au programme qu'il a défendu. Bon....
EELV mange à tous les rateliers et Jadot est opposé à jlm depuis longtemps... une façon d'exister j'imagine....
Bref, y'a pas besef d'opportunités, pour autant certains candidats FI sont d'anciens militants de ces partis et certains, sans adopter le logo FI, se sont engagés sur le programme. Il faut savoir que dans ce cas ils ne seront pas comptabilisé pour le financement. Pour autant, le plus important pour FI étant le programme, ces candidats n'auront pas d'adversaire avec le logo FI en face d'eux.
FI est un mouvement citoyen regroupé autour d'un programme de gouvernement, c'est ouvert à tous les gens qui souhaiteraient que la France l'adopte. C'est pas si compliqué que ça. En plus ce programme a été co-écrit par des tas de gens qui maitrisent tous les axes de la politique cohérente proposée et il reste ouvert pour toutes nouvelles propositions (pas en période électorale puisque il faut bien avoir une version stabilisée, même imparfaite, pour faire campagne).

Boncourage.
Cazeneuve n'a toujours pas porté plainte malgré ses dires et l'assentiment de Melenchon. Le gendarme (instrumentalisé) lui a retiré sa plainte prenant soudain conscience qu'il allait relancé une l'affaire que les autorités avec consciencieusement enterrée.
Je complète la citation de Mélenchon, car je trouve que la dernière partie explique très bien la différence entre les "journalistes" de Quotidien et les journalistes qui enquêtent :
"Parce que vous vous prenez pour des juges. Vous êtes juste un journaliste, monsieur. Rappelez-vous-le. D’accord ? Donc vous devriez vous poser la question de savoir comment Rémi Fraisse est mort plutôt que de venir me demander des comptes à moi."
J'ai plus de respect pour Hanouna que pour Barthès.
Ce qu'il y a de triste dans tout ça c'est que la mort de R. Fraisse n'est pour certains qu'une anecdote désincarnée qui ne sert qu'à faire diversion et à déstabiliser. Ceux là n'ont aucun respect pour la victime. Bof, un chien écrasé ! Rémi Farisse est absent dans cette polémique. Une deuxième mort en quelque sorte et une justice nulle part.
Les équipes de Barthès, que ce soit sur RMC ou sur Canal, font tout pour discréditer la gauche de la gauche, sauf Besancenot qu'ils aiment bien vu que ça mange pas de pain.

Il suffit de revoir le montage scandaleux qu'ils ont fait de propos de Daniel Mermet (visant à le faire passer pour un antisémite) lors d'une interview de Mathieu Gallet (après que ce dernier avait viré Mermet et déclarait à ce propos "that's life", se sentant obligé comme ses congénères - coucou Audrey Pulvar - de caser des mots anglais toutes les 3 phrases, alors que dans ce contexte, les Américains eux-mêmes disent, in french in the text "C'est la vie", mais bon... quand on est snob - au point d'avoir passé des années comme Field à perdre son accent du sud-ouest - et hautain, voilà ce que ça donne).

Dans sa justification, le journaliste de Quotidien affirme que Mélenchon aurait "accusé" Cazeneuve d'avoir "commandité l'assassinat" de Rémi Fraisse. J'espère que la FI ne laissera pas passer.

Je passe sur les âneries d'Hugo Clément exigeant que des élections aient lieu "desuite" à Cuba, les traductions (doublages) scandaleuses : ainsi une "activista" opposante à Cuba devenait une "artiste" (vivant dans un appart immense et luxueux). Si encore c'était sous-titré, certains pourraient s'en rendre compte, mais en voice over, évidemment, faut avoir l'oreille fine. Bref, des abrutis qui croient que vivre dans un régime de liberté c'est avoir le droit de coller un papelard dans une boîte tous les 36 du mois et qui confondent bien souvent "démocratie" et "libre-échange".

C'est de la propagande pure et dure, notamment leur délire obamaniaque (rien à foutre des drones, rien à foutre des 2,5 millions de sans-papiers expulsés des USA dont les enfants restent souvent seuls car nés sur le sol américain, rien à foutre de la privatisation des services de déportation et de rétention, rien à foutre de la répression qui s'est abattue sur les mouvements Occupy, etc, etc).
La chasse au Mélenchon est ouverte depuis le 2ème tour, ce nouvel incident n'est rien de plus,rien de moins.
On pourrait ,cependant ,s'attendre sur ce site à une vision plus générale du problème, car ce matraquage général révèle de bien autre chose.
La liberté et la pluralité de la presse par exemple?
Opération Mélenchon s02e01 dans les médias des milliardaires.
Le danger a été écarté au premier tour des présidentielles, reste un léger risque aux législatives, donc plein feu sur JLM, Le Pen ménagée devra servir au deuxième tour.
On attend la dénonciation des médias français propagandistes par le chouchou des médias propagandistes à la poignée de main si conquérante.
Une idée pour la prochaine conf de rédac, lister les médias d'opposition en France.
certainement plus utile : www.lepotcommun.fr/pot/45pl0brs
Je constate que certains Macronolâtres et Mélenchophobes ont déjà mouillé leur culotte.
Bonjour
Et pendant ce temps-là la casse de la Sécurité Sociale et du Code du Travail passent à l'as.
Le sieur Cazeneuve n'a aucun intérêt, incapable de mériter les places qu'il a occupé.
Le montage d'images est une altération des faits, c'est de la manipulation et cela constitue d'après la charte éthique des journalistes l'une des plus graves dérives professionnelles.
Pouvez-vous donner la référence de votre charte ?

Sur celle-ci, rien n'évoque le montage d'images.
Mélenchon réclame "une trêve médiatique dans l'injure" ! énervé : il se voyait Président, puis Premier Ministre, il réalise que son nouveau parti FI disposera que d'une poignée de parlementaire, normal que "çà" l'agace...
Et en plus, son ascenseur était en panne... et pas que symboliquement.
énervé : il se voyait Président, puis Premier Ministre, il réalise que son nouveau parti FI disposera que d'une poignée de parlementaire, normal que "çà" l'agace...

Et il n'est pas le seul je fait partie des déçu du résultat de la présidentielle.

Et vous?
@pierre mas Prévisible !! quand l'UNION n'est pas un critère essentiel : c'est l'échec assuré....la "gauche" ne représente plus que 27% et va se prendre une belle gamelle aux Législatives...la guéguerre entre FI et le PCF, FI et EELV est mortifère !! vous avez lu les "mots" de JLMélenchon sur ses ..."adversaires" (PCF, EELV, PS de gauche, NPA...)

...La France c’est aussi entre 1789 et 1799 la Contre-Révolution illustrée par les aristocrates émigrés à Coblence, les penseurs catholiques, royalistes et les chouans ; c’est le soutien des classes dominantes à Thiers pendant les fusillades de la « Semaine sanglante » lors de la Commune de Paris ; c’est le très large soutien populaire au régime de Vichy ; c’est, à la veille de la Libération, le rassemblement autour de Pétain place de l’Hôtel de ville de Paris quatre mois avant que De Gaulle soit acclamé au même endroit ; c’est l’approbation majoritaire des Français (au moins au début) des guerres coloniales au Vietnam et en Algérie ; c’est, plus près de nous, le soutien de l’opinion publique aux bombardements de la Libye et à d’autres opérations militaires avec les effroyables retombées, notamment le terrorisme. ...
Vous avez, les candidats PCF sont crédités de 2 % d'intention de vote, faut pas exagérer l'effet "mortifère" de la division. D'ailleurs, je comprends l'énervement de la France Insoumise quand elle voit les candidats communistes utiliser l'image de Mélenchon dans leurs affiches électorales sans son accord alors qu'ils ne partagent pas son programme.
@rimbus -cela semble vous réjouir que le PCF ne soit plus qu'à 2% ! (attendons les résultats réels ?) comme disait l'autre : on ne fait pas la même politique avec uh PCF à 20 % !...bref, le PCF se meurt, vous applaudissez, FI voulait absorber ses restes : ce parti politique risque le sort du NPA crée aussi pour finir de tuer le PCF....quelques % minables pour ce qu'on appelle encore la "gauche" ! aux législatives le total sera à peine de 20 % : belle réussite stratégique du Nouveau Messie !
Vous ne comprenez pas que vous êtes complètement en train de tomber dans le piège que certains mettent en place pour nuire à la gauche et aux idées que l'on défend en essayant de nous diviser ?
La FI a été créée parce qu'il fallait une organisation qui soit en accord avec nos aspirations démocratiques pour tenter de gagner les présidentielles, et pour cela il est nécessaire de recomposer la gauche et de refaire tout un travail idéologique. C'était déjà l'objet du front de gauche justement, mais on n'a jamais réussit à en faire l'outil qu'il fallait, notamment à l'ouvrir aux citoyens et à rompre avec le PS, et la raison principale étant le travail de sape de forces internes au PG et au PCF qui s'y sont toujours opposées.
Il n'y avait plus de dynamique avec le front de gauche. Les bons résultats que l'on pouvait avoir au niveau national étaient même dilués dans des étiquettes divers gauche tellement la multiplicité des candidatures et des alliances ont apporté la confusion.
Quand il y a des gens qui vous mettent des bâtons dans les roues, et que vous savez que vous ne pourrez jamais les convaincre, la seule solution c'est de prendre chacun son propre chemin, et c'est ce qui a été fait avec la FI.
Je pense que les résultats des présidentielles ont apporté de la clarté sur la pertinence des différentes stratégies à gauche.
Le combat interne au PS a mené à l'éclatement du PS en deux camps, celui de Macron et celui de Hamon.
L'effondrement du PS avec la candidature de Hamon.
Et bien sûr la défaite de justesse du camp FI et la vraie dynamique autour.
Et donc l'idée qu'il ne fallait pas rompre avec le PS a à mes yeux complètement été infirmée vu les résultats.
Le PG où je suis militant ne propose aucun candidat, on soutient tous les candidats FI et des membres du PG sont eux mêmes des candidats FI et on n'a aucune parano du genre ils veulent nous faire disparaître. Alors pourquoi le PCF n'a pas fait pareil ?
"Alors pourquoi le PCF n'a pas fait pareil ?"

Parce qu'ils sont à l'agonie et que c'est la seule tactique pour ne pas disparaitre définitivement. Quand je vois les coups tordus du candidat PCF dans mon coin, je comprends mieux le positionnement de JLM. Quant au candidat PS son discours est clair : il faut que la gauche se rassemble autour de ma candidature. No comment.
Peut-être que le PCF n'a pas fait pareil parce que, à en croire Corbières lui-même (entendu dans "C à vous" ? Je ne sais plus...), il y a au minimum des divergences programmatique avec le PCF, sur le nucléaire par exemple, et qu'on est tenu de défendre le programme de la France Insoumise quand on se présente pour elle.
Quelqu'un au PG a quelque chose à redire sur le programme de la FI ?

Pour moi, il y a contradiction entre deux prétentions : l'une à être un mouvement transpartisan, l'autre à imposer comme programme ce qui a été défini seul en sachant les divergences. Là, même en oubliant le côté pragmatique de structures voulant les financements publics pour survivre, il y a une injonction à l'abandon de convictions au nom de la tactique, de la prise de pouvoir.

Sans doute que les divergences de lignes ne sont pas très claires pour un électorat se contentant d'une vision générale "de gauche", mais ce n'est pas pareil dans les milieux militants. Mélenchon a à peu près gagné son pari de mobilisation autour de sa personne en s'affranchissant du Front de Gauche, mais il y a maintenant le même problème que pour Macron : soit c'est une discipline par le haut et il y a une France Insoumise comme il y a velléité de "majorité présidentielle" autour de Macron et ce qu'il définira comme programme, soit il y a réelle construction par le bas avec ce que ça implique de difficultés opérationnelles si on veut une seule ligne orientée exécutif, comme si il avait fallut négocier un programme en quelques semaines pour l'exécuter mécaniquement.

Si on est orienté sur le pouvoir exécutif, vaut mieux une ligne unique et une Assemblée faite pour l'entériner mais si on est orienté sur le parlementaire, alors on gouverne plutôt par du débat réel à l'Assemblée, en coalition, dans une co-direction avec les députés y compris par des compromis sur tel ou tel point.
Je ne sais pas si c'est volontaire (je pense que oui...) mais la direction de la France Insoumise a opté pour la continuation d'un discours présidentialiste avec les législatives, a fait comme si Mélenchon était "président de la gauche" pouvant prétendre imposer sa "majorité présidentielle", sauf que non, il n'a pas été élu "président de la gauche" surtout pas par ceux qui critiquent le présidentialisme de la Ve République.
Dsl mais cela ne tient pas. Je ne connais personne à la FI qui ait les mêmes idées sur tout ni qui adhère à 100% à ce que le programme contient.
C'est un programme que l'on défend ensemble, on se rassemble autour de ce tronc commun mais à côté les divergences et les débats restent vifs et ils ne sont pas prêts de s'arrêter.
Quand on représente un groupe politique c'est la moindre des choses de défendre le programme sur lequel ce groupe se rassemble, cela ne signifie pas pour autant que chacun doit abandonner ses propres convictions.
C'est très médisant.
Donc je réitère ma question, pourquoi ils n'ont pas fait pareil ?
Bon, je ne vais pas redire ce que j'avais dit ailleurs mais, pour moi, il fallait trouver un point de ralliement minimal ne serait-ce qu'autour de l'objectif tactique de résistance à la politique de Macron, et ne pas présenter le programme de la FI comme étant le tronc commun.
Honnêtement, faire avec 19,6% pour Mélenchon et moins de 30% pour la gauche, comme si on allait avoir la majorité à l'Assemblée pour un Mélenchon "président de la gauche" me semble étrange. Quitte à réellement prétendre gouverner, j'aurais plutôt attendu une stratégie de coalition disant clairement qu'il faudrait viser large et ne pas trop en faire avec un "dégagisme" fonctionnant moins bien pour des élections où l'implantation joue.

Enfin bon, il faudra voir après les élections ce qui est faisable en espérant que sera évitée la catastrophe avec des candidats de gauche ne passant pas le premier tour pour cause de dispersion.
Quoique, tant qu'à ne pas avoir de majorité à l'Assemblée, peut-être vaut-il mieux que ce soit la catastrophe vu l'impuissance des députés sans majorité.
Le scrutin fait effectivement que toute concurrence génère de la dispersion.
Mais comme vous le dites la gauche est très basse dans son ensemble et cela signifie qu'il faut aussi mener le combat idéologique pour reconquérir l'esprit des gens. Et ça ce n'est possible qu'en faisant de la politique justement, et certainement pas en faisant de la tactique politicienne.
Votre gros défaut Faab c'est d'être trop imprégné de l'esprit tactique et politicien du PS.
Regardez où cela a mené Hamon.
La France n'avait pas essayé le ni gauche ni droite contrairement au reste de l'Europe. Et nous ne pouvons objectivement pas lutter contre cette idée tant que les gens n'auront pas vu Macron à l'oeuvre.
L'objectif est de continuer à défendre les idées portées par la FI et d'obtenir le plus de députés possibles. Il y a de fortes chances que Macron obtienne une majorité absolue malheureusement. Et de toute façon il pourra compter sur les votes du PS et des républicains pour faire passer ses lois les plus lamentables.
Obtenir une cohabitation était un objectif à tenter. Cela n'a pas pris tant pis.
Des députés de gauche ou de la France Insoumise seulement ?
Perso, j'aurais misé sur De Haas contre El Khomri. Elle a des relais médiatique et un honnête passé militant pour porter un message, a semble-t-il mis en place une sorte de "conseil citoyen" local pour accompagner un éventuel mandat et je ne vois pas trop pourquoi les candidats FI ne lui laissent pas la place. Ca dérangerait que le logo FI soit à côté de ceux de EELV, PCF, Front de Gauche ?

Je crains que les choses ne s'améliorent guère par rapport au n'importe quoi des élections précédentes et à force de rendre inefficace le système électif, il ne faut pas s'étonner que le "ça sert à rien de voter" devienne la base chez les dominés.
Si on veut changer le système en prenant le pouvoir par le système, il faut savoir l'utiliser et sinon, eh bien on ne fait que répéter élections après élections "tant que les gens n'auront pas vu X à l'oeuvre", vu Sarkozy, vu Hollande, vu Macron, vu Le Pen peut-être, comme si il n'y avait rien de plus convainquant que l'échec des autres.

Et pour les financements publics : si on veut que la vie politique soit une activité ayant un minimum de dignité dans notre société, pas un hobby pour passionné ou un cursus d'administrateur des affaires publiques mais une responsabilité de tout citoyen, il serait bon de revoir ce système pour que les engagements et le travail politique ne dépendent pas d'un label attaché à un score tous les 5 ans.
Les partis politiques sont censé travailler les propositions, développer des compétences, organiser des débats publics, participer à la vie civile, pas juste avoir de quoi financer des campagnes. Forcément, si on ne voit des gens de partis que pour des élections, qu'il n'y a pas tout ce tissu d'intervention sociale qu'avait notamment le PCF, le combat idéologique est perdu d'avance, noyé dans la dominante politico-médiatique.
Pour qu'on ait un réel pluralisme, il faudrait que chacun ait le minimum pour pouvoir exister sans avoir à se demander quelles ruses utiliser selon l'état de l'opinion au moment des élections.

Au passage, pour les abonnés à Hors-série, bonne émission sur le sujet du travail de député : Députés : les pièges du renouvellement.
Extrait de la présentation : "Et pourtant, cette professionnalisation, synonyme de maîtrise des codes et des ficelles, est aussi ce qui fournit aux députés quelques armes pour peser un tant soit peu dans une Ve République conçue tout spécialement par le Général De Gaulle pour réduire le pouvoir du parlement. Notre nouveau président semble l’avoir bien compris : en exigeant que la moitié des candidats investis par La République en Marche soient issus de la « société civile » et vierges de tout mandat électif, Emmanuel Macron ne fait pas que « renouveler » la classe politique, il s’offre la garantie de députés dociles."
"imposer comme programme ce qui a été défini seul"
je ne comprends pas la phrase.

La FI, si elle veut rester un mouvement et non un parti, ne doit pas se subdiviser en courants structurés, organisés. Les avis et divergences sont données à titre personnel, pas au titre de représentant de la mouvance tartempion qui a besoin de reconnaissance. Et c'est valable autant au niveau programmatique que électoral. Quelque soit votre parti, vous vous intégrez au mouvement à partir du moment où vous êtes globalement d'accord avec le programme. Si vous êtes du PCF et que vous vous présentez sous l'étiquette FI, vous aurez aussi le logo PCF, du moins il me semble.
Le politburo du PCF voulait garder le système de coalition, qui permet les négociations de sièges et autres arrangements. C'est eux-mêmes qui ont perdu leur visibilité et cohérence en faisant des arrangements avec le PS. Grand bien leur fasse, c'est à eux de voir, mais leur discours "c'est la FI qui a créé la désunion de la gauche", s'ils pouvaient le mettre en veilleuse, ça nous ferait des vacances.
A vérifier mais justement, non, je ne crois pas qu'on puisse mettre le logo PCF en faisant campagne avec l'étiquette FI.
Dans le genre, l'affiche de campagne de Caroline de Haas qui met tous les logos de ses soutiens et son mouvement "citoyen" alors qu'en face, Paul Vannier et Sabrina Ali Benali pour FI, ne mettent même pas celui du Parti de Gauche bien que Vannier en soit secrétaire national à l'éducation et Ali Benali coresponsable de la "commission santé".

Bon, la plupart des électeurs s'en foutent de tout ça, ils n'ont jamais été dans un parti, mais les militants savent ce que signifie d'imposer charte graphique et programme notamment par rapport à la loi de financement des partis dont la remise en question ne semble d'ailleurs pas à l'ordre du jour malgré ses effets pervers.

Au final, en prétendant casser le système partisan, la FI s'y trouve dans un rapport de force, en mouvement effaçant (au sens propre) les autres. C'est beau comme la révolution mais si Vannier et Ali Benali voient sans doute où est leur place dans le mouvement, j'imagine que c'est plus compliqué pour des cadres militants du PCF, EELV ou bien sûr des frondeurs PS.
Le "dégagisme" doit leur sembler à deux vitesses entre ceux qui ont suivi Mélenchon assez vite et ceux qui devraient s'y raccrocher en espérant ne pas être traités d'opportunistes voire pire pour avoir eu une vie politique avant.
Je vous le redis cela ne tient pas.
Un financement pour faire quoi ? Si les candidats sont FI, il est normal que ce soit la FI qui reçoive les financements.
Si les gens ne se présentent pas sous l'étiquettes des partis politiques ( PG PCF ), il n'y a pas de campagne à financer, ils n'ont pas besoin de financements.
Le PG est dans le même cas que le PCF et ne crie pas à la tentative d'effacement.
Si c'est une question identitaire c'est juste lamentable.
Mais je crois que c'est une question politicienne, avec des élus qui ne veulent pas rompre avec le PS et qui ont pour objectif de nuire à la FI en échange du soutien du PS. Et ils inventent les arguments que vous reprenez à votre compte pour essayer de rallier les gens autour d'eux, ce n'est pas une histoire de programme, pas plus que d'identité.
@morvandiaux : Je n'ai pas applaudi la mort du PCF, vous interprétez mon propos qui n'était qu'un constat.
@rimbus - un constat qui se veut objectif : le gaullisme a disparu, le PCF est mort...c'est le moment de remettre en cause le programme du CNR "Les Jours Heureux" sans réaction...le MEDEF dit Merci et en redemande...eux, la lutte des Classes et la Désignation de leurs ennemis : ils connaissent !!

...La France c’est aussi entre 1789 et 1799 la Contre-Révolution illustrée par les aristocrates émigrés à Coblence, les penseurs catholiques, royalistes et les chouans ; c’est le soutien des classes dominantes à Thiers pendant les fusillades de la « Semaine sanglante » lors de la Commune de Paris ; c’est le très large soutien populaire au régime de Vichy ; c’est, à la veille de la Libération, le rassemblement autour de Pétain place de l’Hôtel de ville de Paris quatre mois avant que De Gaulle soit acclamé au même endroit ; c’est l’approbation majoritaire des Français (au moins au début) des guerres coloniales au Vietnam et en Algérie ; c’est, plus près de nous, le soutien de l’opinion publique aux bombardements de la Libye et à d’autres opérations militaires avec les effroyables retombées, notamment le terrorisme. ...

J'ai bien conscience qu'il y a des continuité historiques!

Le fait que la majorité des français vote contre ses intérêts parce qu'elle est manipulée par des forces d'argent ou les institutions cléricales de son époque en est une.

Le curé qui donne des consignes de vote a été remplacé par la télé et les grands médias.

La division a gauche cause de l'échec est une de ces manipulations médiatiques.
L'union pour un scrutin à deux tours où le nombre de candidats pouvant se maintenir n'est pas un critère essentiel.
Les deux cas où ça change fondamentalement les choses sont ceux où ceux qui ont voté pour B empêchent A de se qualifié faute d'obtenir les 12,5 nécessaires (ce qui ne change pas forcément grand chose au résultat final, il est rare de finir élu après avoir été au second tour de justesse), et ceux où les deux candidats arrivent au second tour et se maintiennent (mais dans ce cas le manque d'union est plus révélateur d'une différence fondamentale au-delà de l'erreur stratégique).
Dans les autres cas, on a un candidat qui fait 5%, et ces 5% reviennent plus ou moins sur candidat qualifié pour le 2eme tour.

Dans le cas présent, j'ai l'impression que les 3/4 de ceux qui se plaignent du manque d'union sont des adversaires plus ou moins déclarés qui se réjouissent de pouvoir employer un argument contre eux.
@Rabbitman - vous avez raison : l'Union est un handicap : divisons, divisons jusqu'à la plus petite parcelle, et que chacun tue son voisin immédiat...l'avis du MEDEF ?
http://snj.fr/content/charte-d%E2%80%99%C3%A9thique-professionnelle-des-journalistes

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