Couper les banques en deux, d'accord, mais comment ?
Le gouvernement hésite (là aussi)
Parfois, on se dit qu’une campagne présidentielle c’est comme un repas de noce. Les préparatifs sont longs, ça coûte beaucoup d’argent, on galère sur la liste des invités, on galère pour le plan de table – ah non si tu mets Pierre à côté de Marie ils vont s’étriper – on stresse des mois, mais quand on y est c’est l’euphorie, l’allégresse. L’alcool aidant on fait gling-gling sur la coupe de champagne et viennent alors les déclarations émouvantes et les promesses enchanteresses. Mais le lendemain, devant la soupe à l’oignon, gérant comme on peut les bisons qui courent d...
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