C''est une date importante dans l'histoire de notre site. A partir d'aujourd'hui, nous vous proposons un abonnement conjoint avec Mediapart.

Plusieurs raisons nous y poussaient. Avec Mediapart, nous partageons beaucoup. Nous nous sommes lancés ensemble dans l'aventure de l'information sur le Web. L'un comme l'autre, nous avons choisi de chercher nos ressources, non chez les annonceurs, mais du côté des abonnés. Nous avons souvent invité nos confrères de Mediapart sur nos plateaux, à la mesure de leur apport à l'investigation politique et économique, dans le paysage d'aujourd'hui.

Nous ne nous considérons pas concurrents, mais complémentaires. Site d'ambition généraliste, Mediapart s'intéresse peu à la réflexion sur les medias, et à la critique des medias, qui est notre centre de gravité. Complémentaires, donc, avec une volonté commune: vous offrir, en cette année électorale 2012, année dont l'importance n'échappera à personne, une alternative d'information réellement indépendante.

L'union faisant la force, nous avons donc décidé de vous proposer un abonnement conjoint. Et Il y en a pour tout le monde. Si vous êtes déjà abonné à @rrêt sur images, vous pourrez profiter de 6 mois d'abonnement à Mediapart pour 35€. Cette offre n'est valable que jusqu'au 28 février, profitez en vite !

Bien entendu (cela va sans dire, mais encore mieux en le disant) cette offre s'ajoute aux offres existantes. Elle ne s'y substitue pas. Vous pouvez évidemment, si vous le souhaitez, rester abonné à notre seul site.

Quand nous avons amorcé ce rapprochement avec Mediapart, en décembre dernier, certains d'entre vous se sont émus: surtout, nous ont-ils adjuré, n'allez pas fusionner avec Mediapart. Qu'ils soient rassurés: il n'en est pas question. Nous n'avons aucune intention de racheter Mediapart, et je crois pouvoir vous dire que la réciproque est vraie. Quant à l'indépendance rédactionnelle des deux sites, elle restera totale, et farouche.

Nous analysons, critiquons, les articles de Mediapart comme ceux de n'importe quel autre media. Quand leurs enquêtes, le plus souvent, nous ont semblé salutaires, et même indispensables, nous les avons relayées et éclairées, dans la mesure de nos moyens (ainsi tout au long de l'affaire Woerth-Bettencourt ou de l'affaire Pastor) Quand nous avons estimé, au contraire, qu'ils faisaient fausse route (ainsi lorsque les dirigeants du foot français avaient été accusés de racisme), nous l'avons dit aussi. Et le cas échéant, nous continuerons (ce qui fait aussi partie d'une complémentarité bien comprise, et d'un partenariat harmonieux).

Pour souscrire à l'abonnement conjoint, c'est ici.

Pour 2012, redoublons d'indépendance !