Sur les dents car l’affaire Woerth m’a littéralement épuisée. Je n’ai pas manqué un seul épisode du feuilleton Bettencourt, avachie et camée comme devant les Feux de l’amour, les yeux rivés sur le fil d’actualité à voir tomber les révélations les unes après les autres, suivies des démentis, des inscriptions en faux, des « c’est même pas vrai », des « c’est toi qui dis qu’y es ». Puis tel Zorro ou le Beaujolais nouveau, le rapport blanchissant Eric Woerth est arrivé .

Le ministre du travail, de la solidarité, de la fonction publique, anc...