De la crise grecque à Shutter Island
Thérapie de choc et hallucinations
C’est très désagréable cette impression : qu’il y a deux réalités. Ou bien une seule, mais que les manières de la comprendre sont si diamétralement opposées qu’on ne peut les embrasser ensemble sans avoir l’impression de devenir fou. La première "réalité" de la crise grecque nous montre un pays qui a joué avec le feu, un peu truqueur un peu menteur, et qui doit, maintenant que sonne l’heure de vérité, payer l’addition. Ça s’impose comme une évidence mathématique : n’y a plus d’argent, faut arrêter d’en dépenser follement (ces treizième et quator...
Il vous reste 96% de cet article à lire
Cet article est réservé aux abonné.e.s
Rejoignez-les pour une information sur
les médias indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous