"De qui se moque-t-on ?", interroge VSD, qui décrit un couple présidentiel "en plein plan com' depuis le début de leurs vacances – et je prends le train pour aller dans le Midi, et je me balade en ville au milieu des touristes". "De toute évidence, Valérie Trierweiler continue de penser qu'elle peut régenter les médias, s'énerve Janin. Et dire qu'elle se rêve en Eleanore Roosevelt, la femme journaliste du président du new Deal. Elle devrait aller prendre des leçons de liberté de la presse aux Etats-Unis…" Certes. Mais si elle attaque en justice, elle a toutes les chances de gagner, puisqu'elle n'a pas donné son accord pour que ces photos soient prises et publiées.

Ce n'est pas la première fois que Trierweiler fait part de sa mauvaise humeur à ses "confrères". En mars, elle s'était plainte publiquement que Paris Match, où elle est salariée, lui consacre sa couverture sans la prévenir. Et selon le Canard enchaîné du 9 mai, elle avait envoyé un texto furibard à un journaliste du magazine parce qu'il avait écrit que Thomas Hollande, était le "fils aîné du couple Royal-Hollande". Et non "de l'ex-couple Royal-Hollande"… On ne sait pas si c'est pour se préserver de sa colère, mais Match s'est contenté pour cette semaine de sages photos en tenue décontractée, mais habillée, de François Hollande et sa compagne.

Avec de tels agissements, la compagne de François Hollande est une cible de choix de notre chroniqueuse Chloé Delaume, qui brosse chaque semaine un portrait (énervé) de Normaland.