"La dernière voiture remarquable développée par les Français, était la DS Citroën en 1955, c'était un exemple d'innovation européenne. Depuis lors les constructeurs automobiles français n'ont cessé de plonger d'une manière dramatique, assure Ulf Poschardt, le rédacteur en chef de l'édition dominicale du journal. En conséquence, Peugeot ne peut être sauvé que par une réduction radicale des effectifs. Mais le président socialiste n'en veut pas. Ce plan est inacceptable dit Hollande, un point c'est tout."

"Bienvenue au pays de l'économie d'Etat. En une semaine, le gouvernement socialiste veut proposer un plan pour l'industrie automobile. (...) La conjonction de l'économie étatique, du protectionnisme, de l'augmentation des impôts et de subventions a l'apparence d'une caricature de la gouvernance socialiste", balance le quotidien.

"Les autorités à Paris veulent une Europe statique, qui renationalise et mène ceux qui créent à la baguette. L'exemple de Peugeot-Citroën le montre : voilà des entreprises qui, dans les publicités, voudraient qu'on les prennent pour un produit allemand. Ce sont au mieux de pâles copies, comme Hollande. Une réincarnation de Mitterrand au début de son pouvoir".