la philosophie dans la prison
En page 16 du Libération de ce vendredi 4 novembre 2011, un article de Véronique Soulé sur les études en prison. Avec pour illustration une photographie signée Ludovic Réa :
Photo © Ludovic Réa
Lequel s'est probablement souvenu de Rembrandt, et de ses philosophes :
Philosophe lisant par Rembrandt, 1631,
Nationalmuseum, Stockholm
Philosophe en méditation par Rembrandt, 1632,
Musée du Louvre, Paris
Deux autres philosophes par l'un des suiveurs de Rembrandt :
Un Philosophe par Salomon Koninck, 1635,
Musée du Prado, Madrid
Philosophe avec un livre ouvert par Salomon Koninck,
vers 1640-1650, Musée du Louvre, Paris
"Florence Aubenas, présidente de l’Observatoire international des prisons, a regretté que la possibilité d’étudier «reste soumise à l’arbitraire»", peut-on lire dans l'article. "Pour Serge Portelli, vice-président au tribunal de grande instance de Paris, «rien ne progressera sans une révolution des mentalités à l’égard de la prison»".
Autrement dit, il vaut mieux être philosophe quand on veut étudier derrière les barreaux.
L'occasion de lire ma chronique intitulée L'intericonicité pour les nuls, où il fut notamment question de philosophes en peinture.
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