La "tendresse" de Chazal pour Sinclair
Brève

La "tendresse" de Chazal pour Sinclair

Avis de tempête dimanche soir sur TF1.

Selon Lepoint.fr, "Dominique Strauss-Kahn répondra dimanche aux questions de Claire Chazal dans le 20 heures de TF1". Une information qui contredit la version du site du Monde, lequel indiquait la semaine dernière que DSK avait renoncé à cet entretien : "Ce devait être ce week-end sur TF1 dans un face-à-face avec Claire Chazal, une amie d'Anne Sinclair. Mais la proximité des deux femmes ayant fuité, il a fallu décommander". A en croire Lepoint.fr, DSK aurait donc changé d'avis. Et on peut le comprendre : difficile de trouver mieux qu'une amie d'Anne Sinclair pour un plan com'.

Dans une interview par Marc-Olivier Fogiel pour TVMag, en juillet dernier, Claire Chazal décrivait ainsi sa proximité avec Anne Sinclair : "Je suis avec elle par la pensée et elle le sait... On s'envoie des petits messages de sympathie et de tendresse de temps en temps". Une proximité qui n'est pas sans poser problème quand il faut évoquer "l'affaire" au JT, comme le reconnaît Chazal : "C'est difficile. D'abord, comme pour tout le monde, c'est la sidération, puis la stupéfaction et enfin l'aspect personnel. C'est toujours plus difficile quand on connaît les gens depuis longtemps, forcément, on imagine... On se pose des questions... On compatit avec leur entourage... Néanmoins, cela ne m'empêche pas, avec la rédaction et mon équipe, de faire mon métier avec rigueur et d'être attentive à la victime présumée".

Empathie et professionnalisme ne seraient donc pas incompatibles. Reste à savoir quelle sera la tonalité de cet entretien. Dans une interview à Match, Claire Chazal s'était déjà exprimée sur l'affaire DSK. L'hebdomadaire lui avait notamment posé la question que tout le monde se posait : qu'auriez-vous fait à la place d'Anne Sinclair ?

Réponse de la-femme-Chazal : "Ce qui se passe et ce que se disent deux êtres quand la porte est fermée ne regarde qu'eux. Quant à moi, je reconnais que dans une situation identique, je serais radicale. Je ne supporte ni les compromis ni les demi-mensonges". Heureusement pour DSK, La-journaliste-Chazal est moins radicale dans son métier : "Je ne cherche pas systématiquement à prendre quelqu'un en défaut. D'abord, ce n'est pas mon tempérament. Et puis je n'aime pas brusquer les gens. Je déteste les conflits, je préfère essayer de convaincre plutôt que de heurter", explique la présentatrice en réponse à une question sur son image jugée trop consensuelle.

"Au fond, ça vous fait peur de vous mettre en danger ?" renchérit Match. Réponse de Chazal : "J'avoue que j'aime bien qu'on m'aime". DSK est prévenu.

Un nouvel élement tendresse donc, dans notre dossier : "DSK, l'impossible candidat".

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