Brève
"Un week-end sans Libération"
L'étrange feuilleton du licenciement contesté par l'intéressée d'une collaboratrice de Libération continue, après la non parution du journal samedi, la "direction du journal" revient sur les négociations en cours.
"Depuis deux semaines, Libération tente de mettre fin à un conflit douloureux. Le journal a été obligé de se séparer d’une salariée, dans le strict respect de la loi. Dans le but de répondre au mieux aux demandes de cette salariée en grève de la faim – qui avait refusé l’accord négocié avec son organisation syndicale le 14 février – et de lui permettre de sortir de cette crise avec dignité et de réelles perspectives professionnelles, Libération a signé un nouvel accord ce samedi avec les principales organisations syndicales affiliées à la Filpac-CGT. Il comprend l’extension de son préavis à 12 mois, l’augmentation de l’enveloppe indemnités-préavis supplémentaire de 70 000 à 80 000 euros, une formation longue entièrement financée, et un processus de reclassement jusqu’à ce qu’elle trouve effectivement un autre poste." |
Libération lundi 22 février 2009
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