Les discrets déjeuners des journalistes avec DSK-candidat
Libé, L'Obs, Marianne, passent à table. Avec retard.
Depuis l'incarcération de DSK, certains convives sont (enfin) passés à table : Nicolas Domenach, directeur adjoint de la rédaction de Marianne et Antoine Guiral, qui dirige le service politique de Libération, ont raconté par le menu la teneur de leur conversation. Et manifestement, DSK voulait faire passer le même message au cours de ces différents déjeuners : il ne laissait planer aucun doute sur sa candidature et s'inquiétait des attaques dont il pouvait faire l'objet pendant la prochaine campagne ("l'argent, les femmes et la judaïté").
Mais pourquoi ne l'apprend-on que quinze jours plus tard, une fois DSK hors-jeu ? Et comment les journalistes o...
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