Bleus : "voyous" et "divisions ethniques" (Finkielkraut)
"Nous entendons le capitaine de l’équipe de France nous dire que le problème ce n’est pas cette agression […] mais le traître qui l’a dénoncé. […] Nous avons la preuve effarante que l’équipe de France n’est pas une équipe, c’est une bande de voyous qui ne connaît qu’une seule morale, celle de la mafia (...) On a rêvé avec l’équipe de la génération Zidane aujourd’hui on a plutôt envie de vomir avec la génération caillera" |
Ce n'est pas le premier dérapage de Finkielkraut à propos de l'équipe de France, sur le terrain "ethnique". Le 18 novembre 2005, Finkielkraut avait déclaré au quotidien israélien Haaretz « On nous dit que l’équipe de France est admirée parce qu’elle est black-blanc-beur. (…) En fait, aujourd’hui, elle est black-black-black, et on se moque de nous dans toute l’Europe ». Ces phrases ayant provoqué un tollé, Finkielkraut, tout en assurant avoir été mal compris, avait présenté des excuses quelques jours plus tard. "Je présente des excuses à ceux que ce personnage que je ne suis pas a blessés (...).La leçon, c'est qu'en effet je ne dois plus donner d'interview, notamment à des journaux dont je ne contrôle pas, ou dont je ne peux pas contrôler le destin ou la traduction"
Cet article est libre d’accès
En vous abonnant, vous contribuez
à une information sur les médias
indépendante et sans pub.
Déjà abonné.e ? Connectez-vousConnectez-vous