Daté du 8 juin, le texte attribué à Val et à Laurence Bloch (directrice adjointe de France Inter) dit : "A plusieurs reprises, au cours de ces dernières semaines, l’antenne a été instrumentalisée à des fins personnelles, au mépris de l’intérêt général qui doit guider les producteurs, les journalistes et les chroniqueurs. Récemment encore, un chroniqueur a répondu sur l’antenne de France Inter à des médias extérieurs à Radio France qui le mettaient en cause. Ce n’est, hélas, pas la première fois que le micro est utilisé au service d’intérêts qui n’ont rien à voir ni avec ceux de l’antenne, ni avec le thème de l’émission. Ceci est intolérable et sera désormais sanctionné comme il se doit. C’est dans l’intérêt de tous, de l’image du service public et de notre radio."

Cette note fait évidemment allusion, sans le nommer, à l'humoriste Didier Porte, qui avait répondu, dans une chronique du Fou du Roi, à sa mise en cause par certains journalistes de la Matinale, sur le plateau de Canal+. Pour entendre les explications de Porte, et le soutien de son collègue François Morel, pour qui "les humoristes morts ne sont pas les seuls humoristes acceptables", regardez vite notre dernière émission Ligne j@une.