Goldman Sachs : s'intéresser aux "bons" e-mails (NY Times)
"La commission du Sénat a concentré son enquête sur les deux plus grandes agences de notation de crédit, Moody’s et Standard & Poor’s (S&P) et ce qu'elle a trouvé confirme nos pires craintes. Dans un e-mail, un employé de S&P explique qu'il faut une réunion pour ajuster les critères de notation sinon il y a un risque de perdre des contrats. (...) La New York University propose que les emprunteurs continuent à payer les agences, mais il faudrait que ce soit la Commission des Opérations Boursières (SEC) qui décide qui remporte le contrat de notation. C'est une option parmi d'autres." "Confortable d'imputer la crise à des erreurs de bonne foi. Mais ce n'est pas le cas, globalement elle est le résultat d'un système corrompu dans lequel la corruption des agences de notation a une large responsabilité." |
The New York Times 26 avril 2010
L'occasion de lire la chronique de Daniel Scheidermann Goldman Sachs, la veuve et l'orphelin
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