"Les raisons de s'en prendre aux journalistes sont multiples, explique Arlette Chabot (...) Pour Vincent Peillon, c'était une opération de com personnelle. Pour d'autres, il y a l'idée que s'attaquer à la presse, c'est comme s'attaquer au pouvoir, là-haut. Ce qui donne un côté un peu populiste à leur propos."

"Il y a à l'extrême gauche un courant très agressif contre les journalistes" ajoute Jean-Marie Charon. A propos de Mélenchon qui a traité un étudiant en journalisme de "petite cervelle" : "C'est un créneau, note sobrement Arlette Chabot. Jusque-là, il était réservé à Jean-Marie Le Pen"

Le Parisien/Aujourd'hui en France 15 avril