Quelle ébullition ! En quelques jours, le projet de suppression de l'enseignement obligatoire d'Histoire en Terminale S a enflammé, bien au-delà des professeurs d'Histoire, de nombreux intellectuels, et journalistes. "L'Histoire en phase terminale", titre ainsi Libération à la Une. L'Histoire est-elle la chouchoute des médias, au détriment des matières scientifiques ?
C'est l'appel lancé dans le Journal du dimanche par vingt intellectuels, historiens dans leur grande majorité, qui a mis le feu aux poudres. Comment s'explique donc cette bruyante émotion, alors que les suppressions d'heures de sciences en filière littéraire passent, elles, quasiment inaperçues ? "La scène médiatico-intellectuelle parisienne est dominée par la culture littéraire", assure Martin Andler, professeur de maths à l'université de Versailles-Saint-Quentin |
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