Slate ne parlera ni du Monde, ni de l'Angolagate
"Pour ce qui est des sujets éventuellement sensibles comme Le Monde ou l'Angolagate (un des chroniqueurs de Slate.fr, Jacques Attali, est mis en examen pour trafic d'influence dans le procès de l'Angolagate, ce que ne précise pas Slate.fr NDR), nous n'allons tout simplement pas les traiter. Pourquoi, parce que nous sommes un site magazine dont la vocation est d'apporter de la valeur ajoutée dans la compréhension de l'actualité et de la société avec comme principal atout la distance." "Dans les deux questions que vous évoquez, quelles que soient les précautions que nous prendrons et les murailles de Chine que nous respecterons, nous serons suspects de servir des intérêts ou de participer à une campagne. Autant consacrer notre énergie et nos moyens qui ne sont pas illimités à autre chose et notamment à établir notre crédibilité." explique Leser en réponse à la question d'un internaute. |
Sur le lancement de Slate.fr consultez notre observatoire d'hier : Après Plenel, Colombani lance son site d'information, Slate.fr
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