Laurence Ferrari est pleine d'empathie. Dans la longue page consacrée à l'hôpital public au 20 heures de TF1 hier, on la voyait déambuler dans les couloirs de l'hôpital de Beauvais (Oise), blouse bleue et charlotte sur la tête.

Parmi les points évoqués : les salaires des soignants, peu élevés au vu des heures passées dans l'établissement et des conditions de travail. Mais pour bien montrer qu'elle partage les préoccupations de ses interlocuteurs, Ferrari en fait peut-être un peu beaucoup...

Face à cet anesthésiste, elle semble fort préoccupée par "la précarité"