C'est en 2007 que le porte-parole du réseau Sortir du nucléaire, Stéphane Lhomme, mettait en garde contre les risques de catastrophe nucléaire au Japon. Le 16 juillet de cette année-là, un séisme de magnitude 6,8 avait provoqué une série d'incidents à la centrale nucléaire de Kashiwazaki-Kariwa, gérée par Tepco (la même entreprise qui gère la centrale de Fukushima).
Suite à ce séisme, le porte-parole de Sortir du nucléaire avait réclamé la fermeture de plus d'une dizaine de réacteurs qui se trouvaient à proximité de "failles actives" pour éviter une catastrophe nucléaire. Certes, la catastrophe de Fukushima en 2011 et l'arrêt des systèmes de refroidissement sont avant tout liés au tsunami, lui-même consécutif au tremblement de terre. Mais les propos du porte-parole de Sortir du nucléaire résonnent tout de même d'une bien curieuse manière... quatre ans après Vous pouvez regarder l'intégralité de cette émission sur le site de l'observatoire du nucléaire. |
Un élément supplémentaire pour notre dossier : "Nucléaire, une si longue angoisse".
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