Vous avez raison de le signaler si souvent, Daniel. Ce qu'il se passe à Notre-Dame-des-Landes est révoltant, merci de ne pas lâcher l'affaire.
Et fabuleux décryptage, au passage, de la sémantique employée par le soldat Ayrault, qui parle des opposants à l'aéroport en termes flatteurs d'anarcho-autonomes (tapis dans les arbres, pour changer).
Le changement dans la continuité avec la politique sécuritaire navrante précédemment dénoncée par ces mêmes faux socialistes, vous avez bien fait de relever l'absurdité des propos, vous avez su employer les bons mots.
Ce que j'ai préféré dans tout ça, c'est votre article coup-de-poing en réaction immédiate à la propagande schistienne de Montebourg comme quoi, il vaut mieux l'exploiter que l'importer.
J'espère que ces choix éditoriaux ne vont pas vous créer de problèmes.
Vivement les suivants.

Raison de plus, s'il en fallait une, pour ne pas lui laisser entrer un orteil dans la maison.

Le problème de la pub est un vaste problème.
Mais dans les média, le problème plus spécifique tient à la tentation de complaisance, voire de corruption.
DS passe totalement à coté en refusant la pub et les subventions. La vraie liberté, c'est d'accepter sans en tenir compte.... un peu comme Anne-Sophie qui prend les verres (dans un moment de confusion), nous le dit, et écrit son papier comme elle l'entend...
Pas besoin de la ramener en disant moi ceci, ou moi cela. En plus, on sait bien que DS ne serait pas influencé par des financiers. Il n'écoute jamais ses "patrons", alors des sponsors...

L'occasion de rappeler l'utile distinction formulée par un patron de presse anglais (il y a une centaine d'années):
"News is what somebody somewhere wants to suppress; all the rest is advertising. "

J'ai vu l'autre jour deux fois le "même reportage" sur deux chaînes différentes : l'occasion était "le salon des e.moms blogueuses".
On y apprenait qu'une femme s'est engouffrée dans la brèche de ces blogueuses consommatrices et critiques de produits pour les petits nenfants, pour la maison, pour les maris, pour la famille, etc... (des maîtresses-femmes qui travaillaient toutes en plus de bloguer)... On y apprenait donc que les boîtes (les marques plutôt) leur tenaient les pieds au chaud...
Bref, pas journalistes, les blogueuses, mais consommatrices... et certainement très facilement "récupérables" par le "business".

D.S. est un mec abominable : il saisit (une fois de plus?) l'occasion de faire passer les femmes pour des nunuches.
Je suis très fâchée.

J'avais misé sur un 9/15 dédié au boss du Monde, me suis fait eu !
Du coup je vais aller me boire un Nespresso©
What else ?

Mme ferrari a besoin de faire des ménages ? Carte de presse serpillère ?

Une émission avec "Les déboulonneurs"?

N'essayez pas de détourner l'attention avec des sujets bidons.
L'actu, c'est le feuilleton UMP que Libé.fr suit heure par heure.
9h : "J'en ai marre de ce foutoir", lâche Xavier Bertrand, pro-Fillon... (à suivre).

Faudrait créer des cartes de presse sponsorisées par les "grandes" marques pour différencier un journaliste commercial d'un journaliste indépendant.

C'est quoi cette photo de Dorothée ?

De quel côté qu'on se tourne, la pub étend son emprise sur l'information, et l'on voit bien que la presse en ligne n'y échappe pas, voire même capitule parfois plus rapidement encore que les médias traditionnels.

Voir Rue89, qui se fait régulièrement tacler par ses lecteurs critiques (car ils ont eux aussi leurs fayots) pour des pubs intrusives ou en opposition avec le contenu du "pureplayer".