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Le blog lycéen qui avait reçu 12 visites, et faisait peur à la police
Des policiers ont enquêté sur un lycéen qui avait ouvert, avec un de ses amis, un blog sur les réformes de l'enseignement, raconte un article du Parisien le 13 mars.
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Le blog lycéen avait reçu 12 visites?
Gaffe, parce que ce "papier", sur @si, ben, il a juste reçu 12 commentaires, en 24 heures.
Je plaisante, mais faut reconnaître que ça fait pas bien lourd...
(Alors qu'un article idiot sur Michelle Obama, sur un autre "blog" en est à 80 commentaires dans le même temps...C'est à désespérer du genre humain, comme on dit...)
Gaffe, parce que ce "papier", sur @si, ben, il a juste reçu 12 commentaires, en 24 heures.
Je plaisante, mais faut reconnaître que ça fait pas bien lourd...
(Alors qu'un article idiot sur Michelle Obama, sur un autre "blog" en est à 80 commentaires dans le même temps...C'est à désespérer du genre humain, comme on dit...)
La réponse me parait correcte d'un point de vue juridique. après moralement c'est clair que c'est aussi moche que les mômes fumeur de drogue contrôlés dans le sud de la France il y a peut de temps.
Les policiers ont répondu à Rue 89: c'est ici. Résumé: on ne fait que notre boulot, criculez, y'a rien à voir.
Ca fait beaucoup de travail pour nos pandores et les autorités en général, tout ça. Heureusement, quand les fameux logiciels de sécurisation rendus plus ou moins obligatoires par l'Hadopi verront le jour, ils pourront transmettre toutes les informations directement aux serveurs des RG. Beaucoup moins de paperasse, de quoi ménager des économies substantielles pour financer le bouclier fiscal.
C'est ça, le progrès!
C'est ça, le progrès!
Il est encore chanceux, je trouve, ce blogueur...
Parce que...Le dénommé Julien Coupat (vous vous souvenez?)... Ben... ça va lui faire, ce tantôt, son 123ème jour de détention, ou pas loin, pour pas bien pire, en fait, vu qu'on n'a toujours pas la moindre explication plausible à ce régime de privation de liberté.
Comment?
Présomption de quoi, vous dites?
Mais non, il est pas innocent... puisqu'on vous le dit, vous pouvez nous croire, tout de même...
Il est coupable ! On sait pas de quoi, mais coupable, ça c'est sûr !
Parce que...Le dénommé Julien Coupat (vous vous souvenez?)... Ben... ça va lui faire, ce tantôt, son 123ème jour de détention, ou pas loin, pour pas bien pire, en fait, vu qu'on n'a toujours pas la moindre explication plausible à ce régime de privation de liberté.
Comment?
Présomption de quoi, vous dites?
Mais non, il est pas innocent... puisqu'on vous le dit, vous pouvez nous croire, tout de même...
Il est coupable ! On sait pas de quoi, mais coupable, ça c'est sûr !
Ils sont vraiment cinglés ! Ils n'ont pas d'énergie à consacrer à l'éducation ou quoi ?
Franchement... faire intervenir les renseignements généraux sur ce genre d'affaire c'est d'une bêtise extrême.
Maintenant, il faut se méfier de ce qu'on dit. Je ne sais pas si on peut réellement parler d' "atteinte" à la liberté d'expression, la SDIG a le droit d'enquêter et de perdre son temps.
Je crains que les conséquences de ce genre d'imbécilité soit doubles, en plus de titiller 2 lycéens ça donne du grain à moudre aux syndicats lycéens.
Franchement... faire intervenir les renseignements généraux sur ce genre d'affaire c'est d'une bêtise extrême.
Maintenant, il faut se méfier de ce qu'on dit. Je ne sais pas si on peut réellement parler d' "atteinte" à la liberté d'expression, la SDIG a le droit d'enquêter et de perdre son temps.
Je crains que les conséquences de ce genre d'imbécilité soit doubles, en plus de titiller 2 lycéens ça donne du grain à moudre aux syndicats lycéens.
Avec des enquêteurs de cette trempe, journalistes comme services de renseignements, l'avenir s'annonce rose.
Je me demande pour qui, d'ailleurs.
Je me demande pour qui, d'ailleurs.
Voilà le travail des services d'Alliot-Marie :
PARIS, 17 mar 2009 (AP)
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a indiqué mardi qu'il y a aujourd'hui "222 bandes organisées en France" constituées de "2.500 membres permanents et 2.500 membres occasionnels".
"Vous avez recensé aujourd'hui en France 222 bandes. Ces 222 bandes sont à 79% en région parisienne et elles comportent environ 2.500 individus qui sont des permanents de ces bandes, 2.500 autres qui sont des occasionnels", a-t-elle détaillé sur Europe-1.
"Parmi eux, vous avez 47% de mineurs, donc 53% de majeurs et la grande majorité d'entre eux sont des gens désocialisés", a souligné Michèle Alliot-Marie. "Cette désocialisation se marque par des attaques contre tout ce qui représente l'autorité, l'Etat et notamment les policiers".
La ministre de l'Intérieur a déclaré que "(s)on problème, c'est de les empêcher d'agir, notamment le trafic de drogue, une de leurs principales activités", en particulier par l'action des unités territoriales de quartier (UTQ). AP
ljg/mw
PARIS, 17 mar 2009 (AP)
La ministre de l'Intérieur Michèle Alliot-Marie a indiqué mardi qu'il y a aujourd'hui "222 bandes organisées en France" constituées de "2.500 membres permanents et 2.500 membres occasionnels".
"Vous avez recensé aujourd'hui en France 222 bandes. Ces 222 bandes sont à 79% en région parisienne et elles comportent environ 2.500 individus qui sont des permanents de ces bandes, 2.500 autres qui sont des occasionnels", a-t-elle détaillé sur Europe-1.
"Parmi eux, vous avez 47% de mineurs, donc 53% de majeurs et la grande majorité d'entre eux sont des gens désocialisés", a souligné Michèle Alliot-Marie. "Cette désocialisation se marque par des attaques contre tout ce qui représente l'autorité, l'Etat et notamment les policiers".
La ministre de l'Intérieur a déclaré que "(s)on problème, c'est de les empêcher d'agir, notamment le trafic de drogue, une de leurs principales activités", en particulier par l'action des unités territoriales de quartier (UTQ). AP
ljg/mw